Covid-19 : top 10 des choses à savoir sur le télétravail

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Mis à jour le 27 septembre 2022


Depuis le 29 octobre 2020, le télétravail à 100 % était devenu la règle pour toutes les activités qui le permettaient. Si les règles s'assouplissent, voici tout de même 10 choses à savoir absolument sur le télétravail, afin de faciliter votre quotidien et de vous aider à conduire votre activité avec sérénité.
 

  • 1.    La règle du 100 %

    Le télétravail chez soi à 100 % n'est plus la règle depuis le mercredi 9 juin. En complément de la dernière version du protocole sanitaire national, la ministre du Travail, Elisabeth Borne, recommande un retour progressif en passant à trois jours de télétravail et deux jours de présentiel par semaine.


    2.    Sans accord d’entreprise, c’est possible 

    En l'absence d’accord collectif ou de charte, le télétravail peut facilement être mis en œuvre, par simple accord entre l’employeur et le salarié, accord qui doit de préférence être formalisé dans un mail, par exemple.

    Le recours au télétravail ne requiert pas non plus d’avenant au contrat de travail, qu’il soit exercé dans des circonstances normales ou exceptionnelles comme maintenant.


    3.     Entre télétravail et activité partielle, il faut choisir !

    Vos collaborateurs ne peuvent pas être en même temps en télétravail et en activité partielle, sinon vous vous exposez à des sanctions, y compris pénales… En revanche, ils peuvent, si besoin, alterner les deux, c’est à vous de le déterminer.


    4.     Télétravail et congés payés ne sont pas compatibles

    À titre exceptionnel, depuis mars 2020 et jusqu’au 30 juin 2021, vous avez le droit d’imposer des congés à vos salariés, mais vous n’avez pas le droit de les faire télétravailler pendant leurs jours de congés. Pour rappel, dans « télétravail », il y a « travail » : le télétravail ne peut être pratiqué que pendant les jours et horaires de travail !


    5.     Des ordinateurs pros à fournir

    À vous de fournir un ordinateur aux collaborateurs qui n’en ont pas pour qu’ils puissent télétravailler. Ils ne peuvent en aucun cas être obligés d’utiliser leur ordinateur personnel.


    6.     Des horaires à respecter par tous

    Vos collaborateurs doivent être opérationnels et disponibles pendant les horaires de travail que vous avez fixés. En revanche, les droits au temps de pause et de déjeuner restent inchangés.

    Attention : la distinction entre temps de travail et temps de repos doit être claire, et garantir le droit à la déconnexion des salariés.


    7.     Des salariés déjà couverts en cas d’accident

    Le Code du travail prévoit déjà que l’accident survenu sur le lieu de télétravail, pendant l’exercice de l’activité professionnelle, est présumé être un accident du travail. Vos salariés en télétravail sont donc couverts pour le risque accident du travail.


    8.     Les titres-restaurant continuent !

    Les télétravailleurs doivent bénéficier des mêmes droits individuels et collectifs que quand ils travaillent physiquement au sein de l’entreprise, que ce soit en matière de rémunération, de politique d’évaluation, de formation professionnelle ou d’avantages sociaux (titres-restaurant ou les chèques-vacances).

    Bon à savoir :

    >  Exceptionnellement, les titres-restaurant pour l’année 2020 arrivant à échéance fin février 2021 peuvent être utilisés jusqu’au 31 août 2021

    >  Jusqu’au 31 août 2021 également, les titres-restaurant peuvent être aussi dépensés les dimanches et les jours fériés, avec un plafond rehaussé à 38 € pour régler un restaurateur.


    9.    Prise en charge partielle des abonnements de transport

    Lorsqu’un salarié télétravaille à domicile pendant toute la semaine ou tout le mois et que, durant cette période, il n’a pas eu à effectuer de trajet domicile-travail, l’employeur n’est pas tenu de prendre en charge la moitié de son abonnement de transport. Néanmoins, les employeurs sont invités à maintenir la prise en charge à 50 % des abonnements de transport annuels, les salariés n’ayant pas pu suspendre leur contrat pendant les mois de confinement.


    10.  Des frais pros à rembourser

    Ramettes de papier, cartouches d’encre pour l’imprimante, frais de connexion Internet ou de téléphone, etc. : les dépenses engagées par les salariés dans le cadre du télétravail sont considérées comme des frais professionnels (sur justificatifs).

    Consultez ici le tableau des frais qui peuvent être remboursés et à quelle hauteur, réalisé par l'Urssaf.


Des masques chirurgicaux à tarif préférentiel pour les entreprises adhérentes à Harmonie Mutuelle

2 minute(s) de lecture
Mis à jour le 24 septembre 2021


Le port du masque reste aujourd'hui l'un des moyens les plus efficaces pour lutter contre la propagation du virus et protéger vos collaborateurs.
Parce que nous savons combien les commandes de masques ont pesé sur la trésorerie de nos entreprises clientes, nous avons décidé de leur proposer des équipements à tarif préférentiel.


Depuis janvier 2021, nos entreprises adhérentes peuvent s'approvisionner en masques chirurgicaux 3 plis type 2R Haute Filtration jetables, directement auprès des agences Harmonie Médical Service.

  • La boite de 50 masques est disponible au tarif préférentiel de 3,90 euros. 

  • Du gel hydroalcoolique est également disponible au prix de 2,60 euros le flacon de 250 ml et 4,50 euros le flacon de 500 ml.

Liste des agences Harmonie Médical Service
partout en France

  • AGEN

    313 avenue du général Leclerc                     

    05 53 87 92 75    

    AMBUTRIX

    D1075 lieu dit "La Prairie"

    04 74 35 36 46

    ANGERS

    65 rue Perreyeux

    02 41 88 33 33

    AVIGNON

    110 Avenue des Sources

    04 32 74 29 42

    BAYONNE

    Route de Bayonne

    05 32 09 14 26

    BELFORT

    79 avenue d'Alsace

    03 84 28 90 37

    BLOIS

    48 bis route nationale

    02 54 90 54 00

    BORDEAUX  - CANEJAN

    Rue Pierre-Paul de Riquet

    05 57 97 37 87

    BORDEAUX - CENON

    70 avenue René Cassagne

    05 56 40 14 43

    BREST

    19 rue de l'eau blanche

    02 98 02 56 13

    BRIGNOLES

    6 cours de la Liberté

    04 94 69 29 30

    CAEN

    88 boulevard Maréchal Lyautey

    02 31 70 76 34

    CARCASSONNE

    690 rue Gaspard Monge

    04 68 32 81 31

    CAVAILLON

    287 avenue Georges Clémenceau

    04 32 50 01 70

    CHAMBRAY

    37 rue de la Berchottière

    02 47 37 38 09

    CHATEAUROUX

    1-9 avenue d'Argenton

    02 54 61 00 46

    CHATELLERAULT

    35 rue Pierre Pleignard

    05 49 21 72 72

    CHOLET

    1 Rue de la Sarthe

    02 85 29 31 22

    CLERMONT FERRAND

    21-23 rue des Clos

    04 73 19 29 90

    COGOLIN

    45-47 avenue Georges Clémenceau

    04 94 54 09 07

    DIJON

    2 rue des Peupliers - BP 90015

    03 80 48 93 50

    DRAGUIGNAN

    185 avenue Général de Gaulle

    04 94 67 27 82

    FREJUS

    1000 av. De Lattre de Tassigny

    04 94 51 31 20

    GRENOBLE

    57 rue Champ Roman

    04 76 42 34 16

    IBOS

    1 chemin de Biberne

    05 32 09 49 04

    ISTRES - MEDIC'ALIZES

    13 boulevard Jean-Jacques Prat

    04 42 56 58 36

    JOUE-LES-TOURS-HANDI ADAPT      

    8 ter rue des artisans

    02 47 53 30 50

    LA ROCHE SUR YON

    26 rue Graham Bell

    02 51 62 62 22

    LA ROCHELLE

    13 Rue du 8 Mai

    05 46 66 94 16

    LAVAL

    78 avenue de Paris

    02 43 01 87 87

    LE CANNET

    40 chemin du Perier

    04 93 45 76 76

    LE COTEAU

    1 avenue de la République

    04 77 23 31 78

    LE HAVRE

    447 rue Irène Joliot Curie

    02 35 43 67 17

    LE MANS

    1009 route de Bonnétable

    02 43 76 38 38

    LE PUY EN VELAY

    2 boulevard de Cluny

    04 71 04 24 80

    LE THOR

    1083 route de l'Isle sur la Sorgue

    04 90 83 96 54

    LIMOGES

    120 rue d'Isle

    05 55 43 84 17

    LORIENT

    41 rue Chaigneau

    02 97 21 91 81

    LYON

    6-8 rue Antoine Lumière

    04 78 78 09 10

    LYON - BUREAUX

    68 Cours Albert Thomas

    04 81 11 36 25

    MARSEILLE

    189 /191 Boulevard de la Valbarelle

    04 88 04 04 04

    METZ

    17 rue des charpentiers

    03 87 39 96 76

    MONTAUBAN

    2 C rue Voltaire

    05 63 20 88 60

    MONTPELLIER

    7 rue Gaston Planté - La valsière

    04 30 78 69 34

    NANTES

    3 rue José Soriano

    02 40 46 10 10

    NANTES - HANDICAR

    3 rue José Soriano

    02 40 46 10 10

    NARBONNE

    20 boulevard Marcel Sembat

    04 68 32 37 04

    NICE

    45 boulevard René Cassin

    04 93 21 90 30

    NIORT

    2 rue de la Démocratie

    05 49 28 46 00

    ORLEANS

    63,rue André Dessaux

    02 34 52 03 75

    PARIS

    109 Boulevard de l'hôpital

    01 44 24 16 17

    POITIERS

    112 avenue Jacques Coeur

    05 49 45 14 19

    RENNES

    5 rue de la Marebaudière

    02 99 23 79 78

    RENNES - ORTHO CONFORT

    7 rue Edison

    02 99 27 60 50

    ROUEN

    1 avenue de la Libération

    02 35 63 30 45

    RUFFEC

    65 Route d'Aigre

    05 45 31 36 00

    SAINT AMAND MONTROND

    32-36 rue du 14 juillet

    02 48 96 03 63

    SAINT BENOIT / SIEGE SOCIAL

    2 avenue des Hauts de la Chaume

    05 49 00 55 45

    SAINT BRIEUC

    20 rue Jules Léquier

    02 72 88 36 93

    SAINT LO

    101 rue Antoine Lavoisier

    02 33 05 66 76

    SAINT NAZAIRE

    6 route du petit Lerioux

    02 40 22 06 10

    ST AVOLD

    29 boulevard de Lorraine

    03 87 91 30 80

    ST ETIENNE

    67 rue Bergson

    04 77 92 80 20

    TOULON

    14 rue Ampère

    04 89 29 72 72

    TOULOUSE

    164 Route de Revel

    05 54 07 04 80

    TOURS

    11 avenue du Danemark

    02 47 41 78 93

    UZES

    30 Avenue Jean Jaurès

    04 66 22 83 69

    VAISON LA ROMAINE

    27 Avenue Victor Hugo

    04 90 37 10 77

    VALENCE

    33 rue Berthelot

    04 75 40 15 56

    VANNES

    16 rue des Vosges

    02 97 42 65 05

    VIENNE

    6-8 bvd Asiaticus

    04 74 85 41 80

    VILLEFRANCHE S/SAONE

    95 av de la Gare

    04 74 65 34 24

    VIRIAT

    122 route de Paris

    04 74 45 29 38

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Covid-19 et protocole sanitaire : les 15 actions à mener en priorité

2 minute(s) de lecture
Mis à jour le 24 septembre 2021


Plus que jamais mobilisée à vos côtés, Harmonie Mutuelle vous propose une synthèse des 15 actions prioritaires à effectuer dans votre entreprise pour assurer la santé et la sécurité des salariés.

  • 1- Désigner un référent Covid-19

    Garant de la mise en œuvre des mesures en vigueur et de la bonne information des salariés, le rôle de référent Covid-19 peut être assuré par le dirigeant, dans les structures de petite taille. L'identité et la mission du référent doivent être communiquées auprès de l'ensemble du personnel.


    2- Faire du télétravail 

    Ce doit être la règle pour toutes les activités qui le permettent. Pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance, le temps de travail effectué en télétravail est alors porté à 100 %. Dans les autres cas, l'organisation du travail doit permettre de réduire les déplacements domicile-travail et d'aménager le temps de présence en entreprise afin de réduire les interactions sociales.


    3- Revoir l'organisation des espaces de travail et, au besoin, des tranches horaires des salariés

    Cette nouvelle organisation permet ainsi d'éviter ou limiter au maximum les regroupements et les croisements. Les réunions en audio ou visioconférence doivent constituer la règle et les réunions en présentiel, l'exception. Adaptez également les horaires de présence, de départ et d'arrivée pour lisser l'affluence aux heures de pointe.


    4- Informer les salariés de l'existence de l'application TousAntiCovid

    Même durant les horaires de travail, l'application "TousAntiCovid" trouve tout son sens et contribue à limiter les interactions. Pensez à en parler et à la recommander.


    5- Veiller au respect de l'ensemble des règles

    Les règles d'hygiène et de distanciation physique doivent être rappelées régulièrement aux collaborateurs :

    • les gestes barrières : se laver régulièrement les mains avec du savon ou un gel hydroalcoolique, ne pas se serrer les mains, ni s'embrasser pour se saluer, éviter les accolades, utiliser des mouchoirs à usage unique, etc.
    • la distanciation physique : permettre à chaque collaborateur de garder une distance d'au moins 1 mètre par rapport à toute autre personne (collègue, client, usager, prestataire, etc.).


    6- Systématiser le port du masque 

    Portez le masque dans tous les espaces de travail clos et partagés : salles de réunion, open spaces, couloirs, vestiaires, bureaux partagés, etc.

    Pour les travailleurs en extérieur, le port du masque est nécessaire en cas de regroupement ou d'incapacité de respecter la distance d'1 mètre entre les personnes. Le port du masque est également obligatoire dans un véhicule en présence de plusieurs salariés, et en complément d'une procédure de nettoyage et de désinfection régulière de ce dernier.


    7- Nettoyer et désinfecter fréquemment les surfaces

    Cela concerne les surfaces ou points de contact (par exemple, les boutons d'ascenseur) et objets régulièrement manipulés sur les postes de travail, dans les sanitaires et les lieux d'hébergement.


    8- Aérer régulièrement les pièces fermées 

    Pendant 15 min toutes les 3h, ou s'assurer d'un apport d'air neuf par le système de ventilation.


    9- Contrôler le fonctionnement et l'entretien de la VMC

    Il est important de vérifier la VMC et le système de climatisation. Pour rappel, ce dernier doit éviter de générer des flux d'air vers les personnes, et de recycler l'air sans le filtrer.


    10- Éliminer les déchets susceptibles d'être contaminés

    Il faut mettre directement les déchets dans des poubelles ayant un système d'ouverture à pédale ou automatique, et non manuel.


    11- Organiser les vestiaires

    Cette mesure vise à faire respecter les règle d'hygiène et de distanciation physique d'au moins 1 mètre. Les vestiaires/casiers doivent être à usage individuel, et faire l'objet d'un nettoyage/désinfection chaque jour.


    12- Définir l'organisation pratiques pour la restauration collective

    Tout en permettant de respecter ces mesures de prévention :

    • respecter une jauge maximale d'une personne pour 4 m2

    • limiter à 6 le nombre de convives par table, sans que les personnes ne puissent s’asseoir face-à-face

    • garantir une distance d'au moins 1 mètre entre les tables

    • supprimer les offres alimentaires en vrac (buffet...) au profit d'un dressage à l'assiette pour éviter les manipulations

    • mettre en place des séparations physiques aux comptoirs et aux caisses, ainsi qu'un marquage au sol pour les files d'attente

    • faire respecter le port du masque pendant les déplacements et à la sortie de l'établissement, etc...


    13- Rédiger préventivement une procédure adaptée de prise en charge et sans délai des personnes symptomatiques

    Avec l'aide du service santé au travail, définissez la procédure : isolement dans une pièce dédiée, avec port du masque, invitation à rentrer chez elles si possible autrement que via les transports en commun et à contacter leur médecin traitant.


    14- Accorder une attention toute particulière aux travailleurs détachés ou saisonniers, ainsi qu'aux intérimaires et titulaires de contrat de courte durée 

    Il est important de s'assurer qu'ils connaissent les modes de propagation du virus, les gestes barrières, les mesures de distanciation physique, ainsi que les dispositifs de protection mis en œuvre au sein de l'entreprise.


    15- Suspendre les moments de convivialité

    Cela concerne les moments où se réunissent les salariés en présentiel dans le cadre professionnel.

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Assurance décès et assurance obsèques, ne les confondez plus

4 minute(s) de lecture
Mis à jour le 17 avril 2024


Bien différentes dans leurs objectifs, l’assurance décès et l’assurance obsèques sont en réalité complémentaires si vous souhaitez une couverture complète et un capital garanti pour vos proches en cas de décès.

À court terme : l’assurance obsèques

L’assurance obsèques a une visée à court terme : il s’agit de vous assurer qu’au moment de votre décès, vos proches n’auront pas assumer la facture liée à vos funérailles.

En effet, les différents frais liés à un décès peuvent vite grimper et l’addition se révéler salée : en 2015, la CPFM (Confédération des Professionnels du Funéraire et de la Marbrerie) évaluait le coût moyen d’une inhumation à 4 000 euros et d’une crémation à 3 500 euros, avec de fortes disparités selon les régions.

Autant dire que devoir payer brusquement une telle somme peut non seulement mettre votre entourage en grande difficulté mais peut aussi susciter des tensions entre les personnes pour savoir qui devra payer quoi.

En anticipant par le biais d’une assurance obsèques, vous évitez cet écueil à vos proches.
 

Comment fonctionne l’assurance obsèques ?

Vous choisissez le montant de capital que vous souhaitez garantir, puis en fonction de ce facteur et d’autres éléments comme votre âge et votre état de santé, l’assureur évalue un montant de cotisations.

Vous pouvez également alimenter votre contrat par un versement unique.

Au moment de la souscription, vous avez le choix entre un contrat en capital – qui prévoit simplement le versement d’une somme d’argent – ou un contrat en prestations.

Dans ce cas, en plus de l’aspect financier, vous pouvez prévoir la cérémonie de votre enterrement jusque dans ses moindres détails.

Inhumation ou crémation, lieu de la cérémonie, religieuse ou non, cela peut éviter à vos proches d’avoir à prendre des décisions délicates et vous assure que toutes vos dernières volontés seront respectées.

Au moment du décès, les fonds sont rapidement débloqués et versés aux bénéficiaires désignés au contrat pour leur permettre de régler les frais.

Héritier, ami sans aucun lien légal, etc., vous êtes tout à fait libre de choisir le ou les bénéficiaires de votre choix. Vous pouvez même désigner directement une entreprise de pompes funèbres, à qui l’assureur versera alors le capital garanti.

Dans tous les cas, si le montant des frais engendrés par vos funérailles est inférieur au capital que vous aviez garanti, le reliquat sera partagé aux bénéficiaires du contrat – si vous aviez désigné une entreprise de pompes funèbres, le surplus revient aux bénéficiaires de second rang – qui pourront en disposer librement. Ces sommes seront traitées hors succession.

A moyen terme : l’assurance décès

L’assurance décès a une visée à plus long terme que l’assurance obsèques, puisqu’il s’agit d’aider vos proches à faire face aux conséquences financières de votre disparition, par le biais d’un capital garanti qui sera versé à vos proches.

Pour déterminer le montant de capital à garantir, de nombreux facteurs entrent en compte, comme par exemple les disparités de salaire entre vous et votre conjoint(e).

Comment fonctionne l’assurance décès ?

Au moment de la souscription du contrat d’assurance décès, vous remplissez une clause bénéficiaire. Comme pour l’assurance obsèques, vous êtes libre de désigner qui vous voulez, y compris en dehors de vos héritiers réservataires.

Vous indiquez également quel pourcentage du capital vous souhaitez voir versé à chacun de bénéficiaires, sans obligations d’équité entre les uns et les autres.

Les bénéficiaires désignés du contrat d’assurance décès seront à leur tour libres d’utiliser les sommes versées comme bon leur semble : financer vos obsèques, faire face aux dépenses du foyer, participer aux études des enfants, poursuivre les projets engagés à vos côtés...
 

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    En cas d'incapacité à rembourser votre prêt immobilier, il est conseillé d'être couvert par une assurance emprunteur. Harmonie Mutuelle fait le point avec vous sur les garanties les plus fréquemment exigées par les banques, et vous aide à personnaliser votre contrat.

Covid-19 : un dispositif « clé en main » pour organiser le dépistage dans votre entreprise

2 minute(s) de lecture
Mis à jour le 24 septembre 2021


Engagée à vos côtés pour faciliter l'accès aux soins pour le plus grand nombre, Harmonie Mutuelle offre à ses entreprises adhérentes la possibilité d'organiser des campagnes de tests antigéniques directement sur site, pour leurs collaborateurs volontaires.

Le dépistage en entreprise est aujourd'hui un excellent moyen de garantir la sécurité sanitaire de vos collaborateurs et de les informer sur le résultat de leur test.

C'est tout particulièrement vrai en cas de suspicion de cluster dans l'entreprise ou en cas de circulation particulièrement active du virus dans votre département.

Harmonie Mutuelle vous propose aujourd'hui
une solution clé en main pour réaliser
des tests antigéniques auprès de :

  • Vos salariés symptomatiques ou « cas contacts », à condition que le test soit réalisé dans un délai inférieur ou égal à quatre jours après le début des symptômes.

  • Des personnes asymptomatiques lorsqu'elles sont personnes contacts (au sens de la définition de Santé publique France) identifiées isolément ou au sein d'un cluster.

  • Des personnes asymptomatiques, dans le cadre d'un diagnostic, lorsque les professionnels de santé l'estiment nécessaire.

Vous souhaitez en savoir plus
sur ce dispositif ?

Mieux comprendre et optimiser votre assurance emprunteur

5 minute(s) de lecture
Mis à jour le 28 juin 2024


Bien que théoriquement elle ne soit pas obligatoire, dans les faits l’assurance emprunteur est exigée par la quasi-totalité des établissements de prêts pour vous consentir un crédit immobilier. Nous décryptons avec vous cet élément essentiel dans la concrétisation de votre projet.

Qu’est-ce que l’assurance emprunteur ?

Déclinaison de l’assurance décès, l'assurance emprunteur vient prendre le relais du remboursement des traites de votre crédit immobilier en cas de décès. Elle est presque toujours élargie à un certain nombre de cas d’incapacités ou d’invalidités, ce qui vous permet d’être couvert si vous ne pouvez plus exercer votre activité professionnelle, par exemple à la suite d’un accident. Elle est souvent exigée par votre organisme de prêt.

Ainsi, en fonction du contrat souscrit, votre assurance emprunteur peut couvrir :

  • L’Invalidité Permanente Partielle (IPP) ou Invalidité Permanente Totale
    (IPT)
     : si l’invalidité est partielle (soit supérieure à 33%), l’assureur rembourse les traites du crédit immobilier au fur et à mesure de leur exigibilité ; si l’invalidité est absolue (soit supérieure à 66%), alors l’assureur prend en charge les mêmes prestations qu’en cas de décès et le crédit est remboursé en un seul versement.

  • La Perte Totale et Irréversible d’Autonomie (PTIA) (article à créer) : lorsqu'elle est déclarée, l’assuré se trouve dans un état particulièrement grave, qui nécessite le recours permanent à une tierce personne pour exercer 3 des 4 actes ordinaires de la vie courante, à savoir se lever, se déplacer, se nourrir et se laver.

  • L’Incapacité Temporaire Totale de travail (ITT) (article à créer) : elle est déclarée lorsque, du fait d’une maladie ou d’un accident, l’assuré est temporairement inapte à exercer son activité professionnelle ou toute activité pouvant lui procurer des revenus. Elle correspond à un arrêt de travail.

Contrat groupe ou individuel ?

Lorsque vous finalisez l’achat d’un bien immobilier, l’établissement prêteur est en droit d’exiger que vous souscriviez une assurance emprunteur, mais vous êtes libre de souscrire ce contrat auprès du partenaire de votre choix.

Il existe deux types de contrats :

  • Le contrat groupe : il est généralement proposé par les établissements bancaires.

Le contrat groupe tient compte du montant et de la durée du prêt mais, contrairement au contrat individuel, votre profil « risque » (âge, état de santé actuel, antécédents, etc.) est mutualisé avec celui de l’ensemble des souscripteurs du contrat collectif.

Le risque étant partagé entre tous, les garanties et les tarifs d’un contrat groupe sont standardisés, ce qui implique aussi que votre couverture peut être mal adaptée si vous avez des besoins spécifiques.

La grande majorité des contrats groupe se base sur le capital initial du crédit et sur l’âge du client à la souscription. La tarification est linéaire, c’est-à-dire que la cotisation sera la même chaque mois de la première à la dernière année du contrat, que vous empruntiez sur 15, 20 ou 25 ans.

  • Le contrat individuel : il est avant tout basé sur votre profil (pratiques sportives, déplacements à l’étranger, âge, état de santé actuel, antécédents, etc.) qui permet d’évaluer votre profil de risque. Vous choisissez un à un les types de garanties et les montants de garanties que vous souhaitez pour construire une couverture qui vous corresponde à 100%.

En tant que délégateur d'assurance, Harmonie Mutuelle vous propose des garanties adaptées à votre situation et vos besoins pour vous soutenir tout au long de votre vie.

N’attendez pas pour chercher votre assurance emprunteur

Commencez à rechercher une assurance emprunteur sans attendre l’acceptation de votre prêt ! Il suffit d'avoir une idée précise du montant que vous allez devoir emprunter pour acheter le bien et de la durée et du taux de l'emprunt qui peuvent vous être proposés par l’établissement prêteur.

En anticipant de cette manière, vous pourrez :

  • Savoir le plus rapidement possible à quelles conditions vous êtes assurable : niveau de couverture, exclusions, tarifs standards ou surprime, etc. En fonction des éléments que vous lui aurez fournis, l’assureur établira ce que l’on appelle votre profil risque en tenant compte notamment de votre âge, de votre état de santé et de la durée de remboursement du prêt. Il vous fera ensuite une proposition tarifaire et vous indiquera les éventuelles exclusions ou surprimes qu’il souhaite vous appliquer.

  • Répondre à des questionnaires de santé ou passer des examens médicaux complémentaires : souvent, le questionnaire de santé est la première étape de votre parcours médical pour l'octroi de votre assurance, et ça peut prendre un peu de temps.

  • Faire jouer la concurrence : vous aurez le temps de comparer les offres.

Choisir la délégation d’assurance chez Harmonie Mutuelle, c'est réaliser en moyenne 10 000 euros d’économies sur l’ensemble de la durée du prêt. Des économies qui vous permettent d'opter pour une couverture plus complète de votre prêt.

S’assurer lorsqu’on est malade

Afin de rendre le crédit accessible au plus grand nombre, les professionnels ont mis au point la convention dite « AERAS » (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) pour les personnes présentant un problème de santé grave.

Celle-ci comporte notamment un « droit à l’oubli », qui permet aux personnes ayant eu une pathologie cancéreuse de souscrire sous certaines conditions – en fonction d’une grille précise – une assurance emprunteur dans les mêmes conditions qu’une personne qui n’a jamais eu de lourds antécédents médicaux (cancer, hépatite C...).

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Assurance décès : quel montant de capital choisir ?

3 minute(s) de lecture
Mis à jour le 17 avril 2024


En souscrivant une assurance décès, vous garantissez à vos proches désignés le versement d’un capital prédéterminé. Comment déterminer le montant du capital décès ? Quel impact sur votre assurance ?

Comment évaluer le bon montant du capital décès ?

En plus du chagrin, la perte d’un proche peut avoir des conséquences financières lourdes. L’assurance décès permet le versement d’un capital destiné à aider votre entourage à pouvoir faire face et à maintenir son équilibre financier.

Lors de la souscription du contrat, vous indiquez à quelles personnes – conjoint, partenaire de PACS, enfants, etc. - vous souhaitez que ledit capital soit versé : c’est ce que l’on appelle « désigner des bénéficiaires ».

En contrepartie vous versez des cotisations à l’assureur, dont le montant varie selon des facteurs comme votre âge et votre état de santé, mais aussi du montant de capital décès que vous souhaitez garantir.

Pour évaluer le montant de capital qui serait nécessaire le cas échéant à vos proches, vous devez prendre le temps de la réflexion et procéder de manière objective en évaluant votre situation : votre conjoint a-t-il une activité professionnelle ? Y a-t-il une différence de revenus importante entre vos deux salaires ? Vos enfants sont-ils en bas âge – et donc dépendant financièrement pour encore plusieurs années – ou entament-ils leurs études supérieures ?

Puis-je modifier le montant du capital ?

L’assurance décès est ce qu’on appelle une assurance « à fonds perdus », c’est-à-dire que si vous résiliez votre contrat avant sa fin ou que le décès n’a pas lieu pendant la période couverte par le contrat, les cotisations versées restent acquises à la compagnie d’assurance.

En revanche, si votre situation évolue et que le montant du capital garanti ne vous parait plus pertinent, gardez à l’esprit que vous pouvez lorsque vous le souhaitez modifier le montant du capital de votre assurance décès, en fonction de l’évolution de votre situation personnelle, familiale ou patrimoniale.

La plupart du temps cette modification se fait sans frais supplémentaires, en informant votre assureur de votre volonté et du nouveau montant de capital que vous souhaitez garantir. Celui-ci recalculera alors un nouveau montant de cotisations.

Certains contrats prévoient toutefois des restrictions comme par exemple une limitation de la majoration du capital.

Certaines conditions générales prévoient par ailleurs la revalorisation du capital garanti en fonction d’un indice de référence indiqué au contrat. Il s’agit souvent du taux d’évolution du plafond annuel de la Sécurité sociale.

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Assurance Décès : la garantie décès accidentel

3 minute(s) de lecture
Mis à jour le 17 avril 2024


Moins connue que d’autres garanties complémentaires de l’assurance décès, la garantie décès accidentel est pourtant à étudier car elle permet versement capital plus important sous certaines conditions.

Quel est le principe de l’assurance décès ?

Si vous veniez à disparaitre, votre décès aurait aussi des conséquences financières sur votre entourage proche.

En souscrivant une assurance décès, vous garantissez le versement d’une certaine somme d’argent (capital garanti) aux bénéficiaires de votre choix.

En contrepartie, vous versez une cotisation à votre assureur, dont le montant dépend de divers facteurs comme votre âge et votre état de santé, ainsi que le montant de capital que vous voulez garantir.

Qu’est-ce que la garantie accident ou garantie décès accidentel ?

En option de votre contrat assurance décès se trouve parfois la « garantie accident » ou « garantie décès accidentel » : si votre décès est dû à un accident, le capital décès versé aux bénéficiaires que vous avez désignés peut être doublé en fonction des conditions prévues au contrat.

Notez que la définition de ce qu’est un « accident » varie d’une compagnie d’assurance à l’autre, chacune étant libre d’établir sa propre définition ; même si la plupart s’accordent à poser de manière très globale qu’il s’agit d’une « cause soudaine, imprévisible et extérieure de décès ».

Afin de ne laisser aucune place à interprétation et éviter ainsi tout litige ultérieur, la définition exacte doit dans tous les cas être clairement expliquée dans les conditions générales qui vous sont remises avec la proposition de contrat d’assurance décès.

Il convient donc de lire avec attention le détail de ce qui est prévu par le contrat, pour bien comprendre quels sont les cas de figure qui déclencheront la garantie, et ceux qui en sont exclus – l’accident de travail est par exemple généralement une clause d’exclusion.

Les exclusions de garanties sont elles aussi propres à chaque contrat, vous devez donc prendre le temps de les examiner et de comparer les différents contrats d’assurance décès qui vous sont proposés pour trouver celui qui correspond à vos attentes.

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Assurance décès : les différentes sortes de capital décès

5 minute(s) de lecture
Mis à jour le 17 avril 2024


Lorsqu’un proche décède, les ayants-droits peuvent toucher plusieurs types de capital décès, pour les aider à la fois à faire face aux dépenses immédiates mais aussi à plus long terme pour leur permettre de maintenir leur équilibre financier. Explications.

Le capital décès versé par la Sécurité sociale

Sous certaines conditions, la Sécurité sociale peut verser aux ayants-droits un capital décès destinés à leur permettre de faire face aux frais liés au décès. Les bénéficiaires prioritaires en sont les personnes qui étaient à la charge effective, totale et permanente du défunt au jour de son décès, comme un conjoint, des enfants ou des parents âgés.

  • Les travailleurs salariés : Pour qu’un capital décès soit versé, le défunt devait être, moins de 3 mois avant son décès, salarié en activité, chômeur indemnisé, bénéficiaire d’une pension invalidité ou bénéficiaire d'une rente d'accident de travail ou de maladie professionnelle (avec un taux d'incapacité d'au moins 66,66 %).

    Le montant du capital décès versé par l'assurance maladie est forfaitaire : 3 910€. (Au 1er Avril 2024). Ce montant est revalorisé chaque année.
  • Les indépendants : Pour un travailleur indépendant qui était en activité ou bénéficiaire d’une pension invalidité, la Sécurité Sociale des Indépendants (SSI) - ex-RSI – versera un capital décès équivalent à 20 % du plafond annuel de la Sécurité sociale.
    De plus, un « capital décès orphelin » équivalent à 5 % du plafond de la Sécurité social, peut être versé pour chaque enfant à charge.

Quelles sont les démarches à effectuer pour bénéficier du capital décès versé par l'assurance maladie ?

  • Remplir le formulaire S3180 "Demande de capital décès" présent sur votre espace Améli ;
  • Transmettre ce formulaire à votre CPAM accompagné des documents suivants : 3 derniers bulletins de salaire du défunt, votre RIB, et un document attestant de votre lien de parenté avec le défunt.

Le capital décès versé par l’assurance décès

Il est possible que le défunt ait souscrit une assurance décès, afin de compléter la protection de ses proches et de leur transmettre un capital.

Le principe de ce type de contrat est simple : en échange du paiement de cotisations, l’assureur s’engage à verser, au décès de l’assuré, un capital dont le montant est garanti à la signature du contrat.

L’assuré est libre de désigner les bénéficiaires de son choix, sans qu’aucun lien de parenté ne soit exigé.

Le versement du capital décès peut se faire soit en un seul versement, soit sous forme de rente, en fonction des conditions choisies par le défunt.

L’assurance décès peut être étoffée avec une garantie complémentaire comme la garantie décès accidentel : en fonction de conditions prévues au contrat, le montant du capital garanti versé aux bénéficiaires peut être doublé voire même triplé, en cas de décès accidentel.

Le capital décès versé par la mutuelle

Même si cela n’est pas automatique, certains contrats d’assurance santé prévoient aussi le versement d’un capital décès aux ayants-droits lors du décès de l’assuré pour leur permettre de financer les frais d’obsèques.

Il peut s’agir d’un montant forfaitaire fixé dans les conditions générales du contrat ou bien d’une prise en charge directement auprès de la compagnie de pompes funèbres d’une partie des frais d’obsèques.

Pour savoir si vous êtes dans ce cas, vous pouvez consulter le contrat d’adhésion signé par le défunt ou contacter directement votre organisme de complémentaire santé.

Dans le cas où un capital décès figure effectivement au contrat, vous devrez rédiger un courrier à adresser en accusé-réception à votre organisme de complémentaire santé, mentionnant toutes les informations utiles que vous aurez pu rassembler – à commencer par l’identité du défunt, son numéro de contrat ou la date de souscription, en y joignant bien sûr une copie de l’acte de décès.

Vous devrez également attester de votre qualité de bénéficiaire désigné au contrat d’assurance décès, en apportant la preuve de votre identité.

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Capital assurance décès : comment le compléter ?

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Mis à jour le 17 avril 2024


Une assurance décès peut aussi couvrir différents cas de figure comme le décès accidentel. Ces garanties complémentaires souscrites en option permettent d’offrir à votre entourage et à vous-même une couverture plus large.

Qu’est-ce que l’assurance décès ?

Le principe de l’assurance décès est de garantir le versement d’un capital – en une fois ou sous forme de rente – aux bénéficiaires de votre choix, dans le cas où vous viendriez à disparaître.

Vous déterminez le montant de capital que vous souhaitez voir garanti puis l’assureur détermine le montant des cotisations en fonction de cet élément mais aussi d’autres facteurs comme votre âge et votre état de santé.

Bien que vous puissiez désigner les bénéficiaires de votre choix, même en dehors de tous liens légaux, cette protection est notamment utile pour assurer l’équilibre financier de votre famille si vous êtes marié et avez des enfants.

Vous pouvez aussi choisir d’étendre cette couverture et d’assurer un capital financier pour vos proches mais aussi pour vous-mêmes avec de nombreuses options de garanties complémentaires, dont voici quelques exemples.
 

La garantie décès accidentel

Parmi les options qui peuvent vous permettre d’étoffer votre couverture assurance décès figure la garantie décès accidentel.

Souscrite dans le cadre de votre assurance décès, elle implique le doublement, voire même dans certains contrats le triplement, du montant de capital garanti qui sera versé à vos bénéficiaires dans le cas où le décès ferait suite à un accident.

Notez que la définition d’un « décès accidentel » peut varier d’une compagnie à l’autre, mais que les cas où le décès est dû à une maladie ou à une crise cardiaque sont généralement l’objet d’exclusion.

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