Une mutuelle qui vous ressemble, c’est une mutuelle qui vous offre le meilleur niveau de garanties santé, au plus proche de vos besoins de retraité.
Mais comment savoir ? En vous posant les bonnes questions et en trouvant le meilleur équilibre possible entre garanties et coûts.

• Quel est mon bilan de santé ?
  Vous rencontrez des problèmes de santé majeurs ? Vous êtes atteint d'une maladie chronique (diabète, maladies cardiovasculaires, asthme...) ? Vous avez des besoins spécifiques en optique, dentaire ou autre ? Vous fumez ?
  > Il est important de prioriser vos besoins et d'en tenir compte lorsque vous souscrivez un nouveau contrat mutuelle santé pour votre retraite.
• Quelle est ma situation familiale ?
  Vous êtes en couple avec enfants ou adolescents ?
  > Optez pour un contrat familial avec des garanties spécifiques selon les besoins de chacun (appareil dentaire pour les uns, lunettes ou encore prothèses dentaires ou auditives pour les autres…).
• Mais encore ?
  Vous êtes jeune retraité adepte des médecines douces ? Vous avez des antécédents médicaux ?
  > Vos besoins évoluent au fil des années. Anticiper, peut tout changer.

Le saviez-vous ?

Lorsque vous partez à la retraite, la loi Evin vous permet de conserver votre complémentaire santé d'entreprise à un tarif privilégié. Si vous souhaitez une couverture plus adaptée à vos besoins actuels, nous vous invitons à découvrir notre garantie Harmonie Essentiel Seniors, dédiée aux plus de 55 ans.

Quels que soient vos besoins et vos attentes, nos conseillers vous accompagnent pour vous proposer la meilleure complémentaire santé pour vous, n'hésitez pas à nous contacter

Face aux imprévus de la vie (accidents, hospitalisation, perte d'autonomie…), choisir une mutuelle qui vous soulage et vous accompagne est la clé ! Harmonie Mutuelle vous épaule grâce à ses services :

• la téléconsultation si vous n'arrivez pas à prendre rdv avec un médecin ou si vous avez besoin d'être rassuré
• le service Deuxième avis médical si vous souhaitez obtenir un second diagnostic sur une maladie ou une pathologie lourde
• l'assistance en cas d'hospitalisation, d'immobilisation, de handicap ou encore de déplacements à l'étranger : vous bénéficiez alors d'aide à domicile, de portage de repas ou de médicaments...
• l'action sociale en cas de difficultés liées à la maladie, à des problèmes familiaux ou financiers
• la protection juridique en cas de litige ou de contentieux médical

La première étape est de se rendre sur le site info-retraite et de cliquer sur « J’accède à mon compte retraite ». A partir de là, vous avez la possibilité de :  
 

• Vous identifier via France Connect, la solution proposée par l’État pour sécuriser et simplifier la connexion aux services publics en ligne.  
   

• Créer un compte sans France Connect. Dans ce cas, vous n'aurez accès qu’à une offre limitée.  

Bon à savoir :  Pour initier une demande de retraite ou encore accéder aux fonctionnalités réservées aux retraités (historique de paiement, attestation fiscale…), il faut obligatoirement se connecter via France Connect. 

Le compte retraite est également utile pour déposer sa demande de retraite et suivre la progression de l’instruction du dossier par les différents régimes. 

Il permet également de télécharger, une fois le dossier finalisé et la retraite servie, des attestations de paiement de la pension ainsi que les attestations fiscales.  

Plus généralement, vous avez accès à des informations concernant le fonctionnement de la retraite avec des fiches pratiques sur des sujets tels que la carrière longue, le rachat de trimestres, les droits à la retraite des personnes en situation de handicap, la prise en compte des temps de formation pour la retraite, etc.

Avec l'arrivée d'un enfant, c'est toute la famille qui est chamboulée. Heureusement, les grands-parents peuvent être un bon relais pour aider à quelques tâches quotidiennes (jardinage, repassage, ménage, cuisine, courses...) et s'occuper de leurs petits-enfants pendant les vacances, ou plus régulièrement : les mercredis par exemple. 

Leurs missions ? Aider leurs petits-enfants à grandir et à s'épanouir dans les meilleures conditions.
Et soulager leurs enfants quand cela est nécessaire.

L’estime de soi possède un rôle important tout au long de la vie − y compris à l’âge de la retraite. Elle est un facteur de bonne santé mentale et physique, tout en étant le gage d’une meilleure autonomie. La bonne nouvelle est qu’à partir de 65 ans, l’estime de soi ne dépend plus de son âge réel, mais de celui que l’on se donne, selon l’INSERM et l’OMS.
Le regard que vous portez sur vous est donc l’une des clés du bien vieillir ! Et pour cause, l’estime de soi n’est pas qu’une vision de ce que l’on est. Elle influe directement sur vos capacités, vos envies et votre motivation à les réaliser, mais aussi l’amour que vous vous portez.
L’autre bonne nouvelle est que l’estime de soi ça s’entretient ! Au programme : bienveillance, pensées positives, lien social et sorties. Bien entendu, l’estime de soi ne sera pas la même d’une personne à l’autre. Toutefois, pour beaucoup, cela repose sur vous !

L’être humain dispose de trois types de mémoire : la mémoire à court terme, la mémoire explicite et la mémoire implicite.
Seule la mémoire à court terme possède des capacités restreintes. C’est elle qui, avec l’âge, vous joue des tours. La cause ? La stimulation cognitive qui, lors du passage à la retraite, est soudainement réduite. En effet, il a été démontré qu’en dehors de son environnement de travail, l’être humain sollicite de moins en moins sa mémoire pour des informations à retenir durant quelques minutes ou quelques heures. Un travail de connexion est pourtant indispensable au bon fonctionnement du cerveau et de la mémoire. Dès lors, pour conserver votre bonne santé mentale longtemps, tout l’enjeu est d’arriver à compenser la stimulation que vous imposiez jusqu’alors quotidiennement à votre cerveau (du fait de vos obligations professionnelles).
Et pour cela vous pouvez faire du sport, lire, écouter de la musique, rencontrer de nouvelles personnes, discuter, faire des mots croisés ou des jeux de cartes, apprendre une nouvelle langue et même découvrir un nouveau pays… Gardez toujours en tête que la mémoire ne s’use que si l’on ne s’en sert pas !

La routine indispensable au cerveau 

• Manger équilibré et varié
• Avoir une activité physique régulière
• Se détendre, se relaxer
• Dormir suffisamment

1. Le rangement ! Aucun objet au sol ne doit entraver votre chemin. Et ce, dans n’importe quelle pièce de votre logement.
    
2. La fixation de tout ce qui pourrait vous faire tomber, à l’image des fils de téléphone, lampe, télévision…
    
3. L’éclairage. Même si l’heure est aux économies d’énergie, il est primordial pour vous d’éclairer chaque pièce avant d’y entrer. Pour vous faciliter la tâche, tous vos interrupteurs doivent être facilement accessibles et visibles. Pensez aux interrupteurs tactiles avec éclairage intégré.
    
4. Rester calme en toute circonstance. Votre téléphone sonne ou quelqu’un frappe à votre porte ? Pas de précipitation ! Le plus embêtant serait de devoir vous emmener aux urgences !
    
5. Le réaménagement. Si autrefois, il vous suffisait de monter sur une chaise pour attraper un objet un peu trop haut, à la retraite mieux vaut éviter ce risque. Avec l’aide de vos proches, réaménagez vos placards pour que tout soit à votre portée. Et s’il vous faut éventuellement prendre un peu de hauteur, grimpez uniquement sur un escabeau bien stable doté d’appuis pour vos mains. Pensez également à ranger tous les objets lourds dans les placards bas. Cela vous évitera des maux inutiles.
    
6. L’anticipation. On ne vous l’apprend pas, les sols peuvent être glissants et les bords de tapis traîtres… Équipez-vous de chaussures et/ou de chaussons avec semelles antidérapantes et pensez à scotcher le dessous de vos recoins de tapis. Dans la salle de bain : même combat ! Que vous ayez une douche ou une baignoire, installez un tapis antidérapant ainsi qu’une barre d'appui.

Comment aménager votre logement pour y vivre en toute sécurité ?

Au quotidien, votre intérieur doit vous permettre de vivre sereinement, confortablement, mais aussi facilement. En ce sens, quelques aménagements peuvent être nécessaires, notamment dans certaines pièces plus propices aux accidents comme la salle de bain.
Si le bain était formidable du temps de vos enfants, mieux vaut aujourd’hui opter pour une douche à l’italienne. Grâce à elle, plus besoin de lever la jambe et quasiment aucun risque de tomber. Soyez bienveillant avec votre corps en lui mettant également à disposition certains équipements de confort et de sécurité : barre d’appui, tabouret de douche, tapis antidérapant, WC surélevé avec barre d’appui, serrure de porte qui s’ouvre depuis l’extérieur en cas d’accident, robinet thermostatique pour éviter les brulures.
Côté cuisine, faites installer des dispositifs de sécurité sur les équipements de cuisson.
Si votre logement est doté d’un escalier, faites installer une deuxième rambarde et des nez de marche antidérapants. Et puis, si un jour, les marches représentent un trop gros effort, pensez au monte escalier automatisé…

Le vieillissement augmente les effets de l’alcool sur l’organisme. Traduction : pour une même quantité d’alcool bue, votre taux d’alcoolémie sera plus important et mettra plus de temps à diminuer si vous êtes senior. Autre mauvaise nouvelle : la consommation d’alcool augmente le risque de nombreux cancers, de maladies cardiovasculaires ou encore d’hypertension artérielle.

Bilan : avec l’âge, mieux vaut réduire votre consommation d’alcool. Par ailleurs, soyez encore plus vigilant au mélange alcool / médicaments. L’alcool peut modifier, diminuer ou amplifier l’effet de votre traitement médicamenteux − si vous en prenez.

C’est un fait, la vision s’altère au fil du temps. Passé 40 ans, une perte de 20 à 25% de l’acuité visuelle nocturne est souvent constatée. La vue se fragilise et se met à diminuer progressivement. En cause ? Différents maux tels que l’hypermétropie, la presbytie ou encore la cataracte. Toutefois, il est bon de rappeler que chaque personne est différente et que seul un ophtalmologue pourra juger efficacement de la cause de votre gène et du traitement le plus adapté ! En effet, si la vision s’altère avec l’âge, son rythme de dégradation ne sera pas identique d’une personne à l’autre.

A quoi devez-vous être attentif ?

Si votre acuité visuelle diminue soudainement, n’attendez pas et consultez immédiatement un spécialiste. Vous pourriez souffrir d’un glaucome ou d’une maladie de la rétine. Ces dernières sont nombreuses : décollement de la rétine, dégénérescence maculaire… Toutes doivent être considérées comme une priorité absolue. En jeu : votre vue !
La DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Âge) est la principale cause de malvoyance chez les personnes de plus de 50 ans. Provoquée par le vieillissement de l'œil et de la rétine, elle serait également amplifiée par différents facteurs génétiques et environnementaux comme la consommation de tabac, la surcharge pondérale, une mauvaise alimentation ou encore une exposition excessive à la lumière. Imperceptibles pour vous (dans un premier temps), les lésions de cette maladie sur votre rétine seront lourdes de conséquences − jusqu’à la perte de votre vision dite centrale en seulement quelques semaines. D’où l’importance d’un suivi régulier de votre vue dès la quarantaine et en urgence aux moindres troubles (picotement, maux de tête…).

Le saviez-vous ? 
 
C’est à vous d’initier votre demande de retraite auprès de vos différentes caisses. Vous devez vous y prendre au moins 6 mois à l’avance pour être sûr d’être payé dans les temps.  
 
Il faudra également prévenir votre employeur en fonction du délai de préavis imposé par votre contrat de travail. 

Pour bien préparer votre dossier retraite et poser toutes vos questions, on vous conseille de demander un entretien d’information personnalisé avec un expert pour évoquer le sujet de votre retraite. Il est accessible gratuitement, pour tout assuré de 45 ans (et plus) auprès du régime de base ou de complémentaire duquel il dépend. 

N’hésitez pas non plus à vérifier l’exactitude de votre relevé de carrière pour vous assurer que tous vos droits seront bien pris en compte dans le calcul de votre retraite.  
Il est également important de prendre le temps de vérifier les dispositifs qui s’offrent à vous et qui peuvent vous intéresser tels que le rachat de trimestres, la retraite progressive, le cumul emploi retraite, etc. 

En France, un arrêt cardiaque a lieu toutes les 10 minutes. Il est donc probable que chaque individu soit un jour confronté à une personne victime de ce malaise potentiellement mortel.
La bonne nouvelle est que sept fois sur dix, ce type « d’arrêt » survient devant des témoins. La mauvaise : seuls 40% de ces témoins savent réaliser les gestes de premiers secours. Dès lors, pour vous permettre d’être aussi efficace que réactif face à un arrêt cardiaque, voici ce qu’il vous faut savoir absolument :

• Une personne est considérée comme étant en arrêt cardiaque si elle est inconsciente et ne respire pas.
• Sa chance de survie diminue de 10% à chaque minute écoulée sans qu’aucun geste de secours ne soit réalisé.
• Votre seul objectif face à ce type de problème médical doit être d’enclencher, le plus rapidement possible, la « chaîne de survie ».

Celle-ci est composée de 3 étapes :
1. Alerter les secours qu’un arrêt cardiaque est en cours.
2. Commencer le massage cardiaque.
3. Utiliser si besoin un défibrillateur.

Si par chance, vous n’êtes pas seul face à la personne en détresse, pensez à vous répartir les étapes pour gagner du temps et donc, augmenter les chances de survie de la victime. À l’inverse, si vous êtes seul, prévenez les secours, munissez-vous d’un défibrillateur et enclenchez ensuite le massage.

Numéros à retenir

Sapeurs-pompiers : 18
SAMU : 15
Numéro européen permettant d’avoir, à l’étranger, une personne parlant votre langue : 112
Pour les personnes sourdes ou malentendantes : une SMS au 114

Au téléphone : soyez calme et précis : répondez aux questions que vous pose votre interlocuteur et ne raccrochez que s’il vous le demande. Gardez en tête que ce secouriste, à l’autre bout du fil, évalue la situation et peut vous guider dans les gestes urgents à accomplir en attendant l’arrivée des secours.

Vous avez prévenu les secours, avez récupéré un défibrillateur et êtes en train de pratiquer un massage cardiaque à une victime au sol. Parfait !
Les Défibrillateurs Automatisés Externes (DAE) sont tous, aujourd’hui, équipés d’une assistance vocale. Cette dernière va pouvoir vous guider pas à pas − du massage cardiaque au placement des électrodes. Inutile de vous demander à quel moment utiliser le défibrillateur ! C’est le DAE lui-même qui vous avertira qu’il est temps de « choquer » la victime.

Bon à savoir 

Les défibrillateurs sont de plus en plus présents dans les lieux publics (gares, mairies, gymnases et même rues très passantes). Ils sont facilement repérables grâce à la signalétique suivante : 

Toutefois, pour être toujours plus rapide et optimiser au maximum les chances de survie d’une personne en détresse, pensez à repérer les défibrillateurs sur vos trajets habituels.