Trophées Harmonie Mutuelle de l’ESS - Les lauréats 2023

3 minute(s) de lecture
Mis à jour le 01 février 2024


Le besoin de protection sociale et d'entraide, depuis toujours au cœur des missions et actions d'Harmonie Mutuelle, demeure encore plus présent dans le contexte actuel. Le champ de l'ESS agit notamment auprès des populations les plus fragiles, c’est un soutien particulièrement attendu.

Harmonie Mutuelle : un acteur impliqué

Cet événement vise à récompenser les associations locales et les coopératives agissant sur les facteurs sociaux, environnementaux et économiques qui améliorent la santé des personnes autant que celle de la société en mobilisant la force du collectif et qui œuvrent dans de nombreux domaines.

Domaines pour lesquels Harmonie Mutuelle développe de nombreux programmes et services destinés à accompagner ses adhérents tout au long de leur vie.

Découvrez les 3 lauréats régionaux

  • 1er prix pour
    "Solidarité à Lilou"

    Une organisation qui vient en aide aux enfants atteints de cancer, à leur famille, et qui se mobilise pour soutenir la recherche contre les cancers pédiatriques.

  • 2e prix pour
    "Les Renards'o"

    Une organisation qui apporte soutien et aide aux enfants handicapés, hospitalisés, et à leur famille.

  • Prix "Coup de cœur salariés" pour
    "Un petit truc en plus"

    Une organisation qui emploie 6 salariés en situation de handicap, porteurs de trisomie 21 et promeut l’insertion professionnelle en milieu ordinaire.

Rendez-vous en 2024 pour les 10 ans du Trophées Harmonie Mutuelle de l'ESS.
Une édition spéciale anniversaire ! 

L’appel à projet sera ouvert du 1er avril au 30 juin 2024


Le Trophée Harmonie Mutuelle de l'ESS récompense 12 structures de l'ESS de la Région Grand-Est qui mènent des actions
innovantes, citoyennes et remarquables dans les domaines suivants :

En partenariat avec l'Université de Lorraine, UFR Droit, Master II, « Économie Sociale et Solidaire », la Région Grand Est et la CRESS Grand Est.


  • Deuxième avis médical

  • 4/5
    "Niveau remboursement"
    Myriam f.
    29 janvier 2024
  • Changement climatique et santé au travail : l'ESS propose des solutions

    1 minute(s) de lecture
    Mis à jour le 23 juillet 2024


    Retrouvez les témoignages d’experts et acteurs de l’économie sociale et solidaire dans la toute nouvelle édition du magazine ACT’ESS publié par l’UDES.

    À l’heure où l’urgence de la crise climatique se confirme, la question des répercussions sur le monde du travail est l’un des défis à relever. L’économie sociale et solidaire en est un acteur central.
    Dans le dernier numéro de son magazine ACT’ESS, l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire a ainsi consacré un dossier spécial sur le "Changement climatique et santé au travail", réalisé en partenariat avec le pôle d'expertise ESS d'Harmonie Mutuelle dans le cadre de sa politique RSE.

    Enjeux de santé et changement climatique

    Paroles d’experts et expériences terrain dans l’ESS

    • Quels impacts sur la santé au travail ?
    • Comment les employeurs de l’ESS se sont-ils déjà adaptés et quels moyens existent-ils pour les accompagner ?


    Autant de questions auxquelles ont répondu dix experts et acteurs du secteur interrogés par l’UDES dont notamment Lionel Fournier, directeur Santé et Ecologie(s) d’Harmonie Mutuelle et directeur développement durable du Groupe VYV ainsi que Franck Truong, salarié administrateur et membre du comité de suivi « entreprise à mission » d’Harmonie Mutuelle.


    En savoir plus sur Harmonie Mutuelle ESS

    Le spécialiste en protection sociale complémentaire exclusivement dédié aux acteurs de l’Économie sociale et solidaire (ESS) qui protège et soutient au quotidien employeurs et salariés dans leurs parcours de vie.

     

    En savoir plus... 

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  • Coaching Santé

  • Comment se libérer de l’hyper-perfectionnisme ?

    2 minute(s) de lecture
    Mis à jour le 29 janvier 2024


    Le perfectionnisme est souvent perçu comme une qualité. On attribue en effet à une personne perfectionniste le fait d’être attentive aux détails, persévérante, rigoureuse. En réalité, l’hyper perfectionnisme peut générer du stress dans le cadre professionnel. Qu’est-ce que le perfectionnisme au travail ? Quelles sont les conséquences de l'hyper perfectionnisme dans une organisation et pour des salariés ?

    On en parle avec Laure Berté Pastour, psychologue du travail et consultante au sein du cabinet Empreinte Humaine.


    Laure Berté

    • D'abord, quelle est la définition du perfectionnisme ?

      Laure BERTÉ PASTOUR : Le perfectionnisme, c’est la tendance à vouloir faire tout avec un souci exagéré de la perfection. Pour aller plus loin, nous devrions définir ce qu’est la perfection… mais il est impossible de définir une chose parfaite, car la perfection est propre à chacun. Elle va dépendre de notre niveau d’exigence, de notre personnalité. En fait, chacun a ses propres critères.


      Comment le perfectionnisme se manifeste-t-il d'un point de vue individuel, dans la sphère professionnelle ?

      Une personne perfectionniste a un niveau d’exigence élevé vis-à-vis d’elle-même ; elle sera rarement pleinement satisfaite de son travail. Le perfectionniste a aussi du mal à accepter la critique et peut facilement perdre confiance en cas de feedback négatif. Un individu perfectionniste est particulièrement sensible aux retours extérieurs - manager, collègues, clients – car il ne veut pas décevoir.

      Autre comportement plus étonnant que l’on retrouve chez les perfectionnistes : la procrastination. Une personne exigeante, qui a la volonté de faire un excellent travail, sait en effet que cela va lui coûter beaucoup d’énergie physique, cognitive et psychique. Elle peut alors mettre en place des stratégies d’évitement en procrastinant, c'est-à-dire en repoussant ce qu’elle doit faire pour éviter l’effort. Pour autant, procrastiner est une source de stress pour un perfectionniste, car il a toujours en tête la tâche à réaliser. Et plus le temps passe, plus la personne est anxieuse quant au travail à réaliser. Ce qui est un contradictoire !

       

      Au final, que doit-on retenir du perfectionniste ?

      Il est très pointilleux. Il va beaucoup s’investir dans une tâche, jusqu’à parfois s'acharner. Cette pression qu’il s’impose à lui-même est une source de stress qui va générer de la fatigue physique, mais aussi mentale. En cela, le perfectionnisme est un facteur d'épuisement professionnel.

       

      Quelles peuvent être les conséquences d'un management perfectionniste ?

      Le perfectionnisme sous l'angle du management est souvent l’œuvre d’un individu qui est lui-même perfectionniste et qui ne voit pas qu'il gère son équipe avec le même niveau d’exigence qu’il a pour lui. Le problème, c'est que ce manager va imposer à d’autres personnes une manière de travailler qui ne sera sûrement pas adaptée. En laissant par exemple des consignes précises et peu de marge de manœuvre, ce qui va diminuer l’intérêt du travail pour les équipes. Un manager perfectionniste va avoir de grandes difficultés à déléguer et il fera beaucoup plus pour compenser le travail de son équipe. Ses horaires vont alors augmenter comme sa charge de travail.


      Est-ce qu’il existe un modèle d'entreprise perfectionniste ?

      Il faut plus plutôt parler de la culture organisationnelle de certaines entreprises qui prônent l’excellence à tout niveau, qui n’acceptent ni le pas de côté ni les erreurs. Avec une culture organisationnelle de ce type, c’est plus l’atteinte des résultats qui est prise en compte que le chemin pour y parvenir. Ici, on va d’abord reconnaitre la réussite plutôt que les efforts réalisés par les équipes, ce qui va avoir un impact sur la santé de l’ensemble des collaborateurs.


      Quels conseils donneriez-vous pour lutter contre l’hyper perfectionnisme ?

      Il faut d’abord prendre conscience du fait que l’on est perfectionniste. Ensuite, il est crucial de ne pas prôner les comportements hyper perfectionnistes au sein d'une organisation. Enfin, il faut agir. Pour un individu, le travail sera plus d’ordre psychologique dans l’optique de revoir son niveau d’exigence et de prendre conscience de ses limites. À l’échelle d’une entreprise, il s’agira d’une évolution culturelle.

      Pour sortir de cette spirale perfectionniste, il faudrait d’abord mettre en place des pratiques managériales saines, valorisant la qualité de vie au travail et l’investissement de chacun. Il est aussi conseillé de mettre du sens dans chaque consigne, de valoriser les réussites tout en reconnaissant le droit à l'erreur.

      Au final, dites-vous bien que ce n'est jamais avec un individu, un management ou une organisation perfectionniste que vous allez développer la performance.

    • Retrouvez l’ensemble des épisodes du podcast sur toutes vos plateformes préférées. Avec le podcast Inspiration RH, Harmonie Mutuelle vous propose d’aborder de façon très pratique les enjeux de protection et de valorisation du potentiel humain en entreprise

  • 5/5
    "Je n'étais pas trés contente de mon ancienne mutuelle ,un peu trop chère pour pas grand chose en prestations et surtout difficile à joindre et mon espace complètement difficile à joindre ."
    Martine r.
    22 janvier 2024
  • Un coup de pouce pour financer des services à la personne !

    1 minute(s) de lecture
    Mis à jour le 26 janvier 2024


    Vous êtes employeur et vous voulez aider vos salariés à faire garder leurs enfants ou à assister leurs parents âgés ? C’est possible, c’est facile et c’est exonéré de charges sociales ! Suivez-nous, on vous explique tout !

    Ménage, jardinage, bricolage, garde d’enfant à domicile ou hors du domicile, soutien scolaire, préparation de repas, livraison de courses, accompagnement de personnes âgées, etc. : entreprise ou Comité social et économique (CSE) d’entreprise, vous pouvez aider vos salariés à bénéficier de ces services à la personne ! Comment ? Soit sous la forme d’une aide financière directe, soit sous la forme d’un préfinancement de CESU.

    Dans tous les cas, votre participation sera exonérée de cotisations sociales. Le 1er janvier dernier, le plafond d’exonération de cette aide a justement été rehaussé à 2 421 € maximum par an et par bénéficiaire*, contre 2 301 € l’année dernière. Et pour vos salariés, cette aide est aussi exonérée d’impôt sur le revenu, dans la même limite. En revanche, cette aide ne peut en aucun cas se substituer à un élément de rémunération !

    * Cumulable pour deux collaborateurs de la même entreprise appartenant au même foyer.

    Mieux concilier vie professionnelle et vie privée

    • Autres particularités : si vous le souhaitez, vous pourrez réserver cette aide à certains salariés de votre entreprise, selon des critères que vous, entreprise ou CSE, aurez prédéfinis (par exemple, des critères de performance ou liés à la nature du contrat de travail).

      Chef d’entreprise, président, directeur général, directeurs généraux, délégués, gérants et membres du directoire : les dirigeants de l’entreprise peuvent en bénéficier à condition que les salariés en bénéficient aussi, et ce, dans les mêmes conditions d’attribution. À noter : les anciens salariés ne sont pas éligibles à ce dispositif.

      Assez méconnu aussi bien des employeurs que des salariés, ce coup de pouce représente pourtant un moyen notable d’aider ses collaborateurs à mieux concilier vie professionnelle et vie privée, à trouver un meilleur équilibre. Or, on le sait, le bien-être est synonyme de bonne santé ! Et en cas de coup dur (hospitalisation, maladie, accident…), vos salariés peuvent toujours bénéficier, grâce à leur complémentaire santé Harmonie Mutuelle, d'une assistance et d’un soutien psychologique via Harmonie Santé Services. Être bien entouré, ça aussi, c’est le pouvoir du collectif ! 


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    Quels grands défis de santé en 2024 ?

    2 minute(s) de lecture
    Mis à jour le 02 octobre 2024


    Dans un contexte de progression continue de l’absentéisme, de transformation du rapport au travail et de difficultés de recrutement, la santé et le bien-être restent des priorités absolues aussi bien pour les entreprises que pour les salariés. Zoom sur les quatre grands défis de santé à relever ensemble en cette nouvelle année.

    1. Préserver la santé mentale de ses salariés

    Depuis la crise sanitaire de la Covid-19, la santé mentale des salariés continue de se détériorer. Selon le 12e baromètre du cabinet Empreinte Humaine*, réalisé en novembre 2023 en partenariat avec OpinionWay, près d'un employé sur deux (48 % précisément) se dit en situation de détresse psychologique, dont 17 % à un niveau élevé, soit + 4 points par rapport à février 2023 !

    Cette dégradation de la santé mentale des salariés est, par ailleurs, accentuée par les transformations rapides que connaît le monde du travail : automatisation, travail hybride ou développement de l’intelligence artificielle. Cette dernière peut devenir un important facteur de stress pour les personnes se sentant submergées ou incapables de s’adapter aux nouvelles technologies… Et pourtant, la santé mentale reste un sujet tabou au sein des entreprises !

    2. Développer le sport-santé

    • À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris qui auront lieu cet été, le président de la République a décidé de faire de la promotion de l’activité physique et sportive la Grande Cause Nationale 2024. Les objectifs ? « Mettre le sport et ses bienfaits au cœur de notre société, et lutter contre les effets dévastateurs de la sédentarité, véritable bombe à retardement sanitaire », selon Amélie Oudéa-Castéra, ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques. Le constat de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est, à ce sujet, édifiant : selon elle, en février 2022, 95 % de la population était exposée à un risque de détérioration de sa santé par manque d’activité physique ou à cause d’un trop long temps passé assis !

      Face à cet enjeu de santé publique, l’entreprise a un rôle essentiel à jouer. Mais la pratique d’une activité physique et sportive en milieu professionnel reste timide : en décembre 2022, seulement 13 % des dirigeants déclaraient avoir mis en place des aménagements ou solutions pour leurs salariés (baromètre Medef/Paris 2024). Et pourtant, les bienfaits de l’activité physique et sportive ne sont plus à démontrer : amélioration de la qualité de vie au travail, de la santé et du bien-être des salariés, augmentation de la productivité de l’entreprise, diminution de l’absentéisme et économies pour les employés et la société.


      Cela correspond, d’ailleurs, à de réelles attentes des collaborateurs : 79 % d’entre eux perçoivent le sport comme un facteur d’attractivité, selon notre baromètre 2023 du sport en entreprise. Une entreprise qui propose une offre de sport, c’est une entreprise dans laquelle on a envie de travailler et de rester !

    3. Faire de la santé environnementale une priorité

    Propagation du virus favorisée par nos modes de vie, par la fragilisation des populations (maladies chroniques) et par la mauvaise qualité de l’air intérieur dans de nombreux bâtiments… : la crise sanitaire liée à la Covid-19 nous a rappelé les liens étroits entre santé, environnement et économie. Depuis, elle pousse les entreprises à développer une vision globale et à long terme de prévention des risques face au changement climatique et à l’émergence de nouvelles épidémies.

    L’idée ? Prendre des mesures en amont pour ne plus avoir à subir ce genre de situations ! D’après le Dr Ragnar Weissmann qui a fondé l’association Objectif Santé Environnement, « on ne peut pas avoir un bien-être social, ni une économie florissante, si on ne se préoccupe pas, au préalable, de santé et d’environnement et qu’on n’en fait pas une dimension stratégique ». D’ailleurs, pour une entreprise, anticiper et prévenir sont toujours plus rentables, car cette posture permet une meilleure maîtrise des coûts, notamment indirects.

    4. Contribuer à une meilleure maîtrise des dépenses de santé

    • L’inflation touche aussi les dépenses de santé qui augmentent d’année en année, sur fond de forte hausse des soins de ville et de crise des hôpitaux publics : +4,8 % en 2023, pour un montant total de plus de 247 milliards d’euros ! Et le déficit de la Sécurité sociale, lui, se creuse : il a atteint 8,8 milliards d’euros l’année dernière… Pour 2024, le Gouvernement prévoit une augmentation des dépenses de santé de 3,2 %, elles dépasseraient alors les 250 milliards d'euros.

    Tout au long de l’année, nous reviendrons sur ces 4 grandes thématiques de santé pour vous accompagner, vous informer et vous donner des clés pour agir :

      • Santé quotidienne des salariés (remboursements, accès aux soins…) 

      • Santé financière (prévoyance, épargne…)

      • Santé au travail

      • Santé environnementale


    • * Cabinet parisien spécialisé dans la qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), ainsi que dans la prévention des risques psychosociaux (RPS).

    Santé des salariés : ce qui a changé au 1er janvier !

    1 minute(s) de lecture
    Mis à jour le 26 janvier 2024


    La loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) 2024 a été adoptée le 4 décembre 2023. Elle avait pour axes principaux notamment le renforcement de la prévention et de l’accès aux soins, ainsi que la transformation du financement et de l’organisation de notre système de santé. Panorama des dispositifs de santé qui sont entrés en vigueur en ce début d’année.

    1. Depuis le 1er janvier 2024, les nouveaux bilans de prévention sont réalisables auprès de médecins, infirmiers, sage-femmes et pharmaciens. Annoncé par le président de la République en 2022, ce dispositif de prévention novateur et ambitieux a été créé par la loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) de 2023.

    Ses objectifs ? Renforcer la santé des adultes, lutter contre les facteurs de risque et prévenir l’apparition de maladies chroniques comme les cancers, le diabète ou les maladies cardiovasculaires. Pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie, ces bilans de prévention peuvent être réalisés à différents âges clés de la vie : 18-25 ans, 45-50 ans, 60-65 ans et 70-75 ans. Ces nouveaux temps d’échange avec un professionnel de santé sont l’occasion de faire le point sur sa santé physique et mentale, ses habitudes de vie, ainsi que son environnement.

    • 2. Le délai de carence en cas d’arrêt maladie consécutif à une fausse couche (ou interruption spontanée de grossesse) a été supprimé, ce qui permet aux femmes qui en sont victimes d’être indemnisées dès le premier jour d’arrêt de travail.

      Aujourd’hui, environ 15 % des grossesses donnent lieu à une fausse couche ; une femme sur dix y serait ainsi confrontée au cours de sa vie... Or, cet événement souvent traumatique a des répercussions importantes sur la vie personnelle et professionnelle des femmes et de leurs partenaires. Mieux accompagner les femmes à la suite d’une fausse couche représente l’une des 161 mesures du plan d’action défini par le Gouvernement pour concrétiser l’égalité entre les femmes et les hommes, grande cause de ce quinquennat.

    • 3. En téléconsultation, la durée des arrêts de travail prescrits ou renouvelés est dorénavant limitée à trois jours maximum. Certes, les téléconsultations sont entrées dans les mœurs, ces dernières années, à la suite de la crise Covid, et leur développement facilite l’accès aux soins. Mais les pouvoirs publics veulent rester vigilants sur la qualité des soins et éviter les dérives en matière d’arrêts de travail non justifiés. Cette mesure a donc pour objectifs d’améliorer la qualité de notre système de santé et de mieux maîtriser les dépenses.

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