❯ En entreprise, le nombre de salariés en situation de souffrance mentale se multiplie.

C’est pourquoi Harmonie Mutuelle a choisi de former ses cadres dirigeants à l’accompagnement des risques psycho-sociaux, au travers la formation aux premiers secours en santé mentale délivrée par PPSM France. 

Et parce que les problématiques de santé mentale peuvent toucher n’importe qui, cette formation est également proposée au grand public dans une démarche citoyenne. 

Vous aussi, devenez un soutien pour vos salariés, vos collègues ou vos proches !
  

Devenez secouriste en santé mentale

Les frais d’inscription à l'université sont fixés chaque année au niveau national et varient en fonction du diplôme préparé. Ils sont obligatoires, et incluent les frais de scolarité, l'affiliation (obligatoire) à la Sécurité sociale étudiante, ainsi qu'un droit annuel à de la médecin préventive. 

Ces frais s'élèvent de 170 euros pour un DUT ou une licence, à 601 euros pour un cursus d'ingénieur démarré avant le 1er septembre 2018, 2 500 euros pour un cursus démarré après. Ils se règlent directement auprès de l'université, au moment de l'inscription, exclusivement par carte de débit, chèque ou en liquide : vous ne pourrez pas régler par carte bancaire. Il est possible de régler en 3 fois sans frais. 

Les étudiants boursiers sont naturellement exonérés de ces frais. 

Pour les connaître dans le détail, rendez-vous sur le site du service public. 

Ce ne sera jamais digne de votre blanquette du dimanche - les traditions culinaires familiales sont imbattables - mais dites bien à votre enfant que la restauration étudiante à changé. Tout en restant accessible au plus grand nombre : 3,30€ le repas, 1€ pour les étudiants boursiers ou en situation de précarité. 

Désormais, on peut notamment troquer son classique plateau repas du Resto'U contre une formule à emporter dans un foodtruck. Mais surtout, on peut manger frais et équilibré sans se ruiner. 

Vous avez pris soin de leur alimentation depuis leur plus tendre enfance : c'est le moment de leur rappeler que bien manger et d'avoir une alimentation saine c'est également indispensable pour bien étudier !

Ce n'est pas tout de régler frais et cotisations, de nombreuses aides existent pour soutenir le financement des études de votre enfant. Mieux vaut se renseigner au plus tôt. Une bourse étudiante peut notamment leur être attribuée, en fonction de vos revenus. Un système de points par enfants à charge et selon la distance qui séparer le lieu des études du foyer familial, permet de préciser le montant de l'aide financière. 

Les étudiants boursiers qui ont obtenu une mention Très bien au bac peuvent également bénéficier d'une aide au mérite, ainsi que de l'aide à la mobilité Parcoursup, d'un montant de 500 euros, s'ils sont contraints de déménager pour entrer dans l'enseignement supérieur. 

Encouragez également votre enfant à se renseigner pour les transports. Des tarifs ou dispositifs leur sont dédiés dans toutes les régions, afin de leur permettre de se déplacer chaque jour à moindre coût. 

Enfin, ce n'est déjà pas simple de trouver un logement, encore faut-il avoir les moyens de financer le loyer. Nous avons recensé dans un article spécifique toutes les aides au logement auxquelles votre enfant peut prétendre. 

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- Il est important que votre enfant ne mange que des légumes bio 
- Il faut faire du sport tous les jours, sinon ça ne sert à rien
Et puis quoi encore ?

Vous avez raison de vous rebeller ! Les injonctions aux parents sont multiples et si vous voulez les suivre à la lettre, elles peuvent mener tout droit au burn out. À force de vouloir se réaliser en tant que femme, en tant qu’homme, en tant que parent, et de devoir veiller au fait que son enfant soit épanoui et réussisse à l’école, le risque est grand de se noyer dans le stress, la fatigue et la culpabilité. Si vous êtes dans cette situation, vous pouvez avoir tendance à abuser des écrans pour vous évader et du café pour tenir le coup. Ces comportements sont néfastes à votre santé, c’est pourquoi nous vous proposons de limiter la pression autrement. 

La première chose à faire est d’accepter d’être imparfait (et de cesser de se comparer aux autres parents). Vous ne jouez pas à la pâte à modeler avec votre enfant parce que vous n’aimez pas ça ? Vous lui proposez en revanche une activité qui vous plaît et que vous pouvez partager avec lui ? C’est un bon début. 

Prendre des temps de repos réguliers, sans forcément dormir mais en se mettant en veille, en écoutant de la musique par exemple, faire des pauses loin du bruit, vous promener seront des atouts pour vous. 
Dans l’attention portée à vos enfants, une seule question doit primer : « Est-ce grave ? » Courir avec un couteau à la main l’est, décider de dormir les pieds à la place de la tête et inversement ne l’est pas. On peut s’approprier un certain nombre de recommandations mais il faut être réaliste, il n’est pas possible de tout faire. Alors, faites le tri de ce qui est important pour vous !

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Nous vivons dans un quotidien « hors-sol » pour la plupart d’entre nous. Et notre société a connu des phases très hygiénistes où l’on voyait les animaux comme des vecteurs de saleté, des porteurs de parasites, à éliminer des logements modernes. Ce qui a laissé un peu d’angoisse dans les esprits, malgré l’envie de se connecter davantage avec la nature.
En réalité, les animaux sont propres, ils se nettoient, et c’est même un signe de leur bonne santé. Des enfants élevés dans leur jeune âge avec des animaux développent moins d’allergies et d’asthme que les autres. En réalité, les animaux domestiques sont favorables à la santé humaine à tous les âges de la vie, et encore plus nettement pour la santé mentale.

Yolaine de la Bigne
 

L’effet le plus général, qui concerne toute la population et qui est largement documenté, est la baisse du stress, dont on sait qu’il sape notre santé en silence. On a pu mesurer que partager sa vie avec un chien fait baisser le taux de cortisol, l’hormone du stress. Les propriétaires de chien ont aussi une tension artérielle, des triglycérides et un cholestérol nettement plus bas que les autres. Une synthèse des études scientifiques sur le sujet a estimé que vivre avec un chien diminuait de 31 % le risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire. Au point que la Fédération française de cardiologie s’est associée en 2019 à une campagne destinée aux seniors pour les inciter à adopter un chien !

Les chats sont aussi de véritables auxiliaires de santé avec leur ronron, des vibrations à basse fréquence qui ont un réel impact sur notre cerveau : le rythme cardiaque baisse, la pression artérielle diminue. Et les fréquences que nous n’entendons pas passent pas nos paumes et augmentent notre production d’endorphines, les hormones du plaisir. 

Yolaine de la Bigne

Ce qui caractérise les animaux et leur intelligence émotionnelle, c’est de vivre dans le présent et d’être en lien avec les humains, sans aucun jugement. Un échange extrêmement agréable, apaisant et stabilisant pour les personnes fragiles, ou qui se sentent diminuées par des difficultés, une maladie ou par l’âge, par exemple. Le lien avec les animaux est de l’ordre de l’émotion toujours positive. Pour un chien, son maître est toujours exceptionnel, merveilleux et il lui fait confiance. Un chat ou un chien ne sera jamais impatient parce que son maître marche mal, lentement, qu’il est fatigué. Cet amour inconditionnel est extrêmement valorisant et apporte un soutien qui a une grande valeur pour ceux qui le reçoivent. 

Yolaine de la Bigne

Oui, et c’est un troisième bénéfice pour ceux qui s’en occupent. Avoir un chien ou un chat est favorable à l’activité physique pour les plus âgés, notamment lorsqu’il faut sortir un chien plusieurs fois par jour, acheter de la nourriture, etc. C’est éducatif et responsabilise les plus jeunes. Les enfants qui prennent en charge un animal (aidé par leur parents) y gagnent de l’estime de soi. Et, cerise sur le gâteau, les animaux sont un médium extraordinaire pour communiquer avec d’autres et rompre l’isolement. 23 % des plus de 65 ans ont moins d’un contact humain par jour, alors que cette proportion se réduit à 6 % parmi les propriétaires de chiens.

Yolaine de la Bigne