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    Joel c.
    24 avril 2023
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    "Je ne pense pas que c'est la meilleure mais je verrais au fil du temps si j'ai fait le bon choix."
    Alain m.
    24 avril 2023

    • Le PER un placement phare pour préparer la retraite

    3 minute(s) de lecture
    Mis à jour le

    Depuis le 1er octobre 2019, le plan d’épargne retraite, dit PER, s'est imposé dans le paysage de la retraite supplémentaire. La raison : il offre une solution souple et fiscalement avantageuse aux dirigeants d'entreprise qui souhaitent préparer leur retraite.

    PER

     

     

     

    Vous souhaitez aborder ce sujet avec vos clients entrepreneurs ? Voici nos conseils.

    Vos nouvelles missions de conseil

    • Dans un contexte de fortes évolutions technologiques et de poussée inflationniste, il vous appartient, en tant qu'expert-comptable, de remettre la relation client au cœur de vos propositions et de vos missions.

      En se positionnant comme premier conseiller des dirigeants, la profession expert-comptable est perçue comme l’interlocuteur privilégié de l’entrepreneur pour toutes ses problématiques fiscales, sociales, patrimoniales et financières.

      Si votre rôle de professionnel du chiffre est d’accompagner le chef d’entreprise dans le développement de son business, de l'aider à se constituer un patrimoine personnel, de poser un diagnostic en protection sociale tout en tenant compte de l’ensemble de sa situation, de ses biens, revenus professionnels et privés, vous devez également sensibiliser vos clients et agir sur l’optimisation de leur retraite.

      Afin d’anticiper une baisse future de revenus, il est en effet primordial pour les dirigeants de préparer leur retraite au cours de leur vie active, et ce, au moins dès lors qu’ils ont franchi le cap de la quarantaine.

    Le succès croissant du PER

    • Il existe de nombreux dispositifs permettant d’améliorer le montant de sa retraite. La loi PACTE a créé en 2019 le Plan d’épargne retraite (PER). Cet outil s’est imposé dans le paysage de la retraite supplémentaire. 

      Fin janvier 2023, selon France Assureurs, les PER comptabilisaient 3,9 millions d’assurés (contre 3,4 millions à fin juin 2022) et ont atteint, pour la première fois, un encours supérieur à 50 milliards d’euros en comptant les nombreux transferts de contrats de retraite Madelin et de PERP (Plan d'épargne retraite populaire). Le PER individuel, qui succède au PERP et au contrat Madelin, peut être à la fois souscrit par le dirigeant assimilé-salarié, le travailleur indépendant et alimenté par des versements volontaires, le transfert d’un ancien produit retraite (Perp, Madelin, article 83), ou recevoir des fonds issus d’autres compartiments du PER. Le PER individuel est constitué de supports d’investissement variés et peut, comme une assurance-vie ou un contrat de capitalisation, offrir le choix d’investir sur un fonds euros garanti en capital, ou des supports en unités de compte, plus risqués mais aussi potentiellement plus rémunérateurs.  

       Le PER d’entreprise collectif (PER COL) ou inter-entreprise, remplaçant du PERCO, est accessible de droit au dirigeant assimilé-salarié, tandis que le travailleur indépendant peut en bénéficier si sa société emploie moins de 250 salariés.  

    Le PER reconnu pour sa souplesse et sa fiscalité

    • Cette enveloppe remplace depuis 2020 les anciennes solutions d’épargne retraite tout en apportant de nouveaux outils avantageux, à savoir la possibilité d’effectuer des versements volontaires déductibles à l’entrée ou à la sortie, au rythme choisi par le souscripteur, d’opter pour une sortie en capital, en rente ou une combinaison des deux, de bénéficier de cas de déblocages anticipés.

      Il est en effet possible de récupérer l’argent sans attendre la retraite. Le PER est déblocable pour acheter une résidence principale –un outil pertinent pour gonfler l’apport personnel des travailleurs non salariés, qui peuvent rencontrer des difficultés à obtenir un crédit immobilier- , pour la révocation ou le non renouvellement de mandataire social (sous conditions), ou encore pour la cessation de l’activité non salariée suite à liquidation judiciaire, ou toute situation justifiant la sortie anticipée du PER selon le président du tribunal de commerce.

      Le PER n’impose par ailleurs aucun versement périodique. Un atout par rapport au contrat Madelin qui devait être alimenté au moins annuellement. Ce mode de fonctionnement correspond ainsi parfaitement au besoin d’épargne-retraite des TNS.

      Si les conditions sont réunies, la « cerise sur le gâteau » est la déduction fiscale et donc une éventuelle économie d’impôt sur le revenu sur les sommes versées. L’économie d’impôts réalisée est liée au taux d’imposition. Plus ce dernier est élevé, plus l’économie sera importante.

      C’est pour cette raison que ce plan d’épargne est particulièrement adapté aux personnes soumises à une imposition élevée. En versant par exemple 10 000 euros, un dirigeant peut réaliser une économie d’impôt de 3000 euros s’il est soumis à une tranche marginale d’imposition de 30%.

      L’économie sera de 4 100 euros pour une tranche de 41%.

    Un plafond à la déduction des cotisations PER

    • Il est cependant possible de déduire de son impôt les versements volontaires et cotisations PER dans une certaine limite.

      Le plafond est égal au plus élevé des deux montants suivants : soit 10 % de ses bénéfices imposables de 2022 (BIC: Revenus des personnes qui exercent une activité commerciale, industrielle ou artisanale, BA: Revenus des personnes qui exercent une activité agricole ou BNC: Revenus des personnes qui exercent une activité non commerciale, par exemple droits d'auteur ou revenus d'une activité en libéral), dans la limite de 351 936 € + 15% du bénéfice imposable compris entre 43 992 € et 351 936 €, soit  4 114 €, auquel s’ajoute 15% du bénéfice imposable compris entre 43 992 € et 351 936 €, si ce montant est plus élevé.

      Le plafond de déduction des cotisations est commun à l’ensemble des contrats d’épargne retraite facultatifs. Ainsi, si le dirigeant possède plusieurs contrats PER, des dispositifs placés anciennement sous le régime Madelin ou encore un Perco, il convient de calculer l’ensemble des versements annuels effectués.

      Dans le cas où le dirigeant n’aurait pas atteint son plafond de versement, le montant de la réduction fiscale non utilisé pourra l’être pendant les trois années suivantes. Concrètement, si en 2022, le montant des cotisations est inférieur au plafond, il est possible de reporter cette réduction non utilisée en 2023, 2024 ou 2025.

    Une solution qui doit être optimisée

    • La fiscalité en sortie dépend de la nature des versements qui ont alimenté le PER, et du mode de liquidation. En cas de sortie en rente viagère, la fiscalité du PER repose sur l’imposition selon le barème progressif de l’impôt sur le revenu de la rente, après un abattement de 10 %, et reste soumise aux prélèvements sociaux (de 17,20 %), mais après un abattement de 30 % à 70 % qui dépend de l'âge lors de la transformation en rente.

      La rente viagère versée au dénouement du plan est imposable au même titre qu’une pension de retraite. La fiscalité appliquée au PER en cas de sortie en capital est la suivante :  la plus-value est taxée à hauteur de 30 %, tandis que le capital est assujetti au barème progressif de l’impôt sur le revenu, mais pas aux prélèvements sociaux.

    Ce qu'il faut retenir pour votre client

    • Avant d’opter pour un PER, il est fortement nécessaire d’établir un bilan retraite afin d’obtenir une projection de la situation financière.

      Chaque solution doit être personnalisée en fonction des projets, du patrimoine et des revenus.

      Pour optimiser au mieux la situation et obtenir des recommandations d’investissement personnalisées, il est enfin possible d’utiliser l’outil de simulation de retraite d’Harmonie Mutuelle.

      Enfin, n'hésitez pas à faire appel à un conseiller Harmonie Mutuelle pour venir présenter les solutions retraite à votre client et répondre à ses préoccupations.

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    L'Europe en tête

    • Étudier à l'étranger

      Si votre enfant rêve des États-Unis ou de l’Australie, vous serez à n’en pas douter là pour lui. 
      Mais vous pouvez aussi lui rappeler :

      • que l’Europe reste la première destination des étudiants internationaux, Chinois et Indiens en tête. Il n’est donc pas indispensable de s’envoler à l’autre bout du monde pour rencontrer des étudiants venus de ses 4 coins.
      • qu’il existe une véritable homogénéisation des systèmes d’enseignement supérieur en Europe : tous les établissements appliquent le principe de 3 cycles du système LMD (licence, master et doctorat) et délivrent des diplômes et qualifications reconnus sur tout le continent.
      • que le programme Erasmus est très apprécié des entreprises qui recrutent et qu’en prime, il donne accès à une aide financière.

    Zoom sur Erasmus

    • Si votre enfant a émis le souhaiter de partir étudier à l’étranger, il connaît déjà les bonnes raisons de le faire : apprendre une langue, découvrir une nouvelle culture, gagner en maturité et en autonomie. 

      Pour réussir son Erasmus, le maître mot de départ est l’anticipation. Mieux vaut en effet s’y prendre à l’avance pour monter un dossier. Le service des relations internationales de son école ou de son université pourra l'aiguiller dans ses démarches. Ils lui préciseront notamment de quelles aides au financement il peut bénéficier, entre bourses de mobilité Erasmus + et bourses étudiantes françaises.

      S’il n’est pas sûr de ses choix, encouragez-le à prendre contact avec d’anciens étudiants des établissements qu’il convoite. Ils seront les meilleurs ambassadeurs de ses attentes sur le plan éducatif, mais également de tout ce qu’il faut savoir sur la destination, en particulier où se loger et à quel prix.
       

    Pensez à l'assurance santé internationale

    • Sauf cas particulier, quand on est jeune, à part un rhume de temps en temps, on est plutôt en bonne santé.

      On a donc tendance à ne pas trop s’en soucier. Mais ce qui n’est déjà pas simple à gérer en France – les urgences dentaires et optiques par exemple – peut vite prendre des proportions difficiles à maîtriser à l’étranger.

      D’autant que les soins, même courants, y sont souvent bien plus coûteux qu’en France.

      Dans le cas présent, votre expérience de parent peut faire la différence : pensez à protéger votre enfant en souscrivant une assurance santé internationale qui prendra en charge les frais médicaux des soins prodigués sur place, qui ne peuvent attendre son retour, mais également l’assistance rapatriement en cas de retour anticipé, ou encore la prise en charge des frais en cas de perte ou vol de ses bagages.
       

    Votre enfant réalise des études ou un stage à l'étranger ?

    • Avec nos solutions sur mesure Yvon, protégez la santé de votre enfant même pendant ses expériences à l'international.

       

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    Comment aider son enfant à trouver le job étudiant qui lui convient ?

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    Un job étudiant est souvent une première expérience professionnelle. Pas facile de savoir par où commencer. Pour aider votre enfant à chercher et trouver le bon job, voici quelques clés à lui transmettre. 

    Le job étudiant : de plus en plus plébiscité par les jeunes !

    • job-étudiantQue ce soit pour arrondir les fins de mois ou acquérir une première expérience, 4 étudiants sur 10 admettent cumuler études et emploi. Concilier les deux n’est pas simple pour autant. Et encore faut-il le trouver, ce job étudiant qui va leur permettre de compléter leurs revenus tout en prenant confiance en eux. 

      Quelles que soient les raisons pour lesquelles votre enfant recherche un job étudiant, il y a quelque chose de l’ordre du rite de passage. Et en tant que parent, il est important d'accompagner son enfant dans cette démarche. Vous avez un rôle à jouer en lui prodiguant conseils et encouragements.

    Apprendre à se connaître pour adapter sa recherche de job étudiant

    • Contrairement à Socrate, votre enfant n’a peut-être pas encore trouvé la voie de la sagesse. Et c’est normal, puisqu’il faut bien que jeunesse se passe.

      Mais il a tout à gagner à s’interroger sur lui-même. Sans nécessairement passer par la case "conseiller d’orientation", invitez-le à se poser les bonnes questions : quels sont ses points forts et ses points faibles ? Quels sont ses centres d’intérêts et ses valeurs ? Au-delà de toute considération financière et même si certains jobs étudiants sont plus rémunérateurs que d’autre, ce sera plus facile pour lui de cibler sa recherche en se positionnant sur des jobs qui correspondent à ses aspirations. 

      S’il apprécie le travail d’équipe, il se dirigera plus facilement vers la vente ou l’accueil dans la grande distribution. S’il préfère travailler seul, le baby-sitting ou le soutien scolaire, souvent plébiscités, seront à privilégier. Il peut aussi rechercher un travail en rapport avec ses études. S’il ne bénéficie pas d’un programme en alternance, ce sera plus difficile. Dans tous les cas, enrichir son CV et ses compétences seront toujours un plus pour la suite de son parcours. 
       

    Où chercher un job étudiant ?

    • Pour augmenter ses chances de trouver le job étudiant idéal, votre enfant doit utiliser les bons canaux. Il est possible de trouver de nombreuses offres d’emploi étudiant, tout au long de l’année scolaire et durant l’été.

      • Votre enfant peut bien sûr écumer les sites spécialisés, tels que Student Job, Jobaviz ou Indeed. Il trouvera également de nombreuses offres sélectionnées par France Travail sur la page dédiée du gouvernement, via le site 1 jeune1solution. 
      • Il peut aussi mener sa recherche sur les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn, contacter les agences d’intérim ou encore, guetter les job dating organisés pendant des salons d’orientation. 
      • Qu’il n’hésite pas non plus à consulter les offres d'emploi affichées sur les panneaux d'affichage de son école ou les petites annonces locales.
      • Enfin, pourquoi ne pas rendre visite aux commerces de son quartier ? Entre les restaurants qui sont souvent à la recherche d’extras et les parents qui passent des annonces de baby-sitting dans la boulangerie du coin, il trouvera peut-être une opportunité à saisir.  

    Du CV à l’entretien d’embauche

    • Maintenant qu’il sait ce qu’il veut et où chercher, votre enfant doit se dire une chose cruciale : il n’est pas tout seul à mener cette quête. Pour faire la différence, son CV et sa lettre de motivation doivent se démarquer.

      De projets associatifs en stages, toutes ses expériences sont bonnes à valoriser. Même personnelles. Il est grand-frère ou grande-sœur ? Qu’il le précise s’il postule pour un job de baby-sitter. Il est cinéphile ? Un exploitant de salle sera ravi d’en avoir connaissance. 

      La motivation est également clé. Quand on n’a pas d’expérience, on doit prouver sa valeur. Encouragez donc votre enfant à personnaliser sa lettre en fonction de l’entreprise et de la mission pour lesquelles il postule. Il prouvera par cette démarche qu’il s’intéresse vraiment à elles et qu’il n’est pas qu’une candidature parmi d’autres. 
       

    • Enfin, qu’il n’hésite pas à faire preuve de transparence : il postule pour financer ses études ? Qu’il le dise. Il n’est pas prêt à travailler de nuit ? Qu’il en informe son futur employeur.

      L’entretien d’embauche peut s’avérer l’occasion idéale d’aborder ces points plus concrets. Avant de s’y rendre : il doit impérativement se renseigner sur l'entreprise et le poste proposé. Réfléchir aux questions qu'on pourrait lui poser et préparer des réponses qu'il pourrait donner.

      N’hésitez pas à l’aider en jouant le rôle du recruteur : il n’en sera que plus à l’aise le jour J. 

    En résumé :

    • Pour trouver un job étudiant, votre enfant doit :

      • Identifier ses centres d'intérêt et ses compétences afin d’orienter ses recherches
      • Consulter les offres d'emploi sur les sites dédiés aux étudiants ou auprès des entreprises locales.
      • Créer un CV attractif et personnalisé en mettant en avant ses expériences, ses compétences et ses réalisations.
      • Préparer des lettres de motivation adaptées à chaque offre d'emploi.
      • Pouvoir compter sur vous !
         

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    Le droit à la santé au menu de l’émission « La Santé D’abord »

    6 minute(s) de lecture
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    A l’occasion de la journée mondiale de la santé, le plateau de La Santé D’abord se délocalise au Ministère de la santé et de la prévention pour une émission spéciale consacrée au droit à la santé.

    Stéphane Junique et François Braun, aux côtés de nombreux acteurs de santé, lancent la réflexion autour des solutions à mettre en œuvre pour que chacun ait accès à la santé.

    Si le Groupe VYV a fait le choix de l’accès à la santé pour tous comme raison d’agir, c’est que la santé ne peut pas se résumer à des soins, des médicaments ou des lits d’hôpitaux.

    La santé est un tout qui nous accompagne tout au long de notre vie. C’est pour ce « tout », à travers un travail profond sur les déterminants de santé, que le droit à la santé doit devenir effectif, afin que chacun ait les mêmes espoirs de vivre et de se soigner.

    Un engagement qui, en cette journée mondiale de la santé, méritait bien qu’une émission lui soit entièrement consacrée, dans le cadre prestigieux de la bibliothèque du ministère de la santé.

    Quatre temps pour parler d’une santé globale

    La santé comme la vie qui passe ! De la naissance à la mort, avec ses accidents, ses craintes, mais aussi les solidarités qui nous aident à nous sentir moins seul dans les moments difficiles, les services et les professionnels qui sont à nos côtés quand la maladie, le handicap ou tout simplement la vieillesse ont bousculé nos quotidiens.

    Ainsi l’émission est déclinée autour de quatre temps de vie :

    • l’enfance et l’adolescence, avec notamment le témoignage de Matthias Savignac, président du Groupe MGEN, pour évoquer les inégalités d’accès aux soins et la santé mentale des jeunes.
    • la santé et le travail avec Thomas Blanchette, président d’Harmonie Mutuelle, qui revient sur l’Accord National Interprofessionnel et la prévoyance, mais aussi des effets du télétravail sur la santé physique et mentale des salariés.
    • la santé dans les territoires, avec Didier Bée, président de la MNT, pour comprendre comment se posent aujourd’hui les questions des déserts médicaux, du renoncement aux soins, de l’adaptation du logement, et comment des solutions innovantes peuvent être imaginées.
    • le bien vieillir avec Didier Hervaux, directeur général délégué de VYV 3, pour une thématique qui sera centrale dans les années à venir aussi bien dans le domaine de l’accueil, de la labellisation de domicile portée par le Groupe Arcade VYV, que dans celui des soins.

    Une approche ancrée dans les réalités

    Notre société est en quête de sens, mais elle est avant tout en quête de solutions. C’est pourquoi chacune de ces thématiques ne se contente pas d’établir un état des lieux, mais invite le téléspectateur à découvrir les solutions concrètes qui ont pu être proposées. A travers une série de témoignages et de reportages, à travers les réponses de ces responsables de santé, c’est tout le rapport que notre société entretient avec la santé qui est questionné, et plus largement, le rapport à notre citoyenneté.


    Consultez le replay de l'émission La Santé D'abord

    • Le droit à la santé
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