Comment aider son enfant à trouver le job étudiant qui lui convient ?

3 minute(s) de lecture
Mis à jour le 26 juin 2024


Un job étudiant est souvent une première expérience professionnelle. Pas facile de savoir par où commencer. Pour aider votre enfant à chercher et trouver le bon job, voici quelques clés à lui transmettre. 

Le job étudiant : de plus en plus plébiscité par les jeunes !

  • job-étudiantQue ce soit pour arrondir les fins de mois ou acquérir une première expérience, 4 étudiants sur 10 admettent cumuler études et emploi. Concilier les deux n’est pas simple pour autant. Et encore faut-il le trouver, ce job étudiant qui va leur permettre de compléter leurs revenus tout en prenant confiance en eux. 

    Quelles que soient les raisons pour lesquelles votre enfant recherche un job étudiant, il y a quelque chose de l’ordre du rite de passage. Et en tant que parent, il est important d'accompagner son enfant dans cette démarche. Vous avez un rôle à jouer en lui prodiguant conseils et encouragements.

Apprendre à se connaître pour adapter sa recherche de job étudiant

  • Contrairement à Socrate, votre enfant n’a peut-être pas encore trouvé la voie de la sagesse. Et c’est normal, puisqu’il faut bien que jeunesse se passe.

    Mais il a tout à gagner à s’interroger sur lui-même. Sans nécessairement passer par la case "conseiller d’orientation", invitez-le à se poser les bonnes questions : quels sont ses points forts et ses points faibles ? Quels sont ses centres d’intérêts et ses valeurs ? Au-delà de toute considération financière et même si certains jobs étudiants sont plus rémunérateurs que d’autre, ce sera plus facile pour lui de cibler sa recherche en se positionnant sur des jobs qui correspondent à ses aspirations. 

    S’il apprécie le travail d’équipe, il se dirigera plus facilement vers la vente ou l’accueil dans la grande distribution. S’il préfère travailler seul, le baby-sitting ou le soutien scolaire, souvent plébiscités, seront à privilégier. Il peut aussi rechercher un travail en rapport avec ses études. S’il ne bénéficie pas d’un programme en alternance, ce sera plus difficile. Dans tous les cas, enrichir son CV et ses compétences seront toujours un plus pour la suite de son parcours. 
     

Où chercher un job étudiant ?

  • Pour augmenter ses chances de trouver le job étudiant idéal, votre enfant doit utiliser les bons canaux. Il est possible de trouver de nombreuses offres d’emploi étudiant, tout au long de l’année scolaire et durant l’été.

    • Votre enfant peut bien sûr écumer les sites spécialisés, tels que Student Job, Jobaviz ou Indeed. Il trouvera également de nombreuses offres sélectionnées par France Travail sur la page dédiée du gouvernement, via le site 1 jeune1solution. 
    • Il peut aussi mener sa recherche sur les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn, contacter les agences d’intérim ou encore, guetter les job dating organisés pendant des salons d’orientation. 
    • Qu’il n’hésite pas non plus à consulter les offres d'emploi affichées sur les panneaux d'affichage de son école ou les petites annonces locales.
    • Enfin, pourquoi ne pas rendre visite aux commerces de son quartier ? Entre les restaurants qui sont souvent à la recherche d’extras et les parents qui passent des annonces de baby-sitting dans la boulangerie du coin, il trouvera peut-être une opportunité à saisir.  

Du CV à l’entretien d’embauche

  • Maintenant qu’il sait ce qu’il veut et où chercher, votre enfant doit se dire une chose cruciale : il n’est pas tout seul à mener cette quête. Pour faire la différence, son CV et sa lettre de motivation doivent se démarquer.

    De projets associatifs en stages, toutes ses expériences sont bonnes à valoriser. Même personnelles. Il est grand-frère ou grande-sœur ? Qu’il le précise s’il postule pour un job de baby-sitter. Il est cinéphile ? Un exploitant de salle sera ravi d’en avoir connaissance. 

    La motivation est également clé. Quand on n’a pas d’expérience, on doit prouver sa valeur. Encouragez donc votre enfant à personnaliser sa lettre en fonction de l’entreprise et de la mission pour lesquelles il postule. Il prouvera par cette démarche qu’il s’intéresse vraiment à elles et qu’il n’est pas qu’une candidature parmi d’autres. 
     

  • Enfin, qu’il n’hésite pas à faire preuve de transparence : il postule pour financer ses études ? Qu’il le dise. Il n’est pas prêt à travailler de nuit ? Qu’il en informe son futur employeur.

    L’entretien d’embauche peut s’avérer l’occasion idéale d’aborder ces points plus concrets. Avant de s’y rendre : il doit impérativement se renseigner sur l'entreprise et le poste proposé. Réfléchir aux questions qu'on pourrait lui poser et préparer des réponses qu'il pourrait donner.

    N’hésitez pas à l’aider en jouant le rôle du recruteur : il n’en sera que plus à l’aise le jour J. 

En résumé :

  • Pour trouver un job étudiant, votre enfant doit :

    • Identifier ses centres d'intérêt et ses compétences afin d’orienter ses recherches
    • Consulter les offres d'emploi sur les sites dédiés aux étudiants ou auprès des entreprises locales.
    • Créer un CV attractif et personnalisé en mettant en avant ses expériences, ses compétences et ses réalisations.
    • Préparer des lettres de motivation adaptées à chaque offre d'emploi.
    • Pouvoir compter sur vous !
       

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Le droit à la santé au menu de l’émission « La Santé D’abord »

6 minute(s) de lecture
Mis à jour le 20 avril 2023


A l’occasion de la journée mondiale de la santé, le plateau de La Santé D’abord se délocalise au Ministère de la santé et de la prévention pour une émission spéciale consacrée au droit à la santé.

Stéphane Junique et François Braun, aux côtés de nombreux acteurs de santé, lancent la réflexion autour des solutions à mettre en œuvre pour que chacun ait accès à la santé.

Si le Groupe VYV a fait le choix de l’accès à la santé pour tous comme raison d’agir, c’est que la santé ne peut pas se résumer à des soins, des médicaments ou des lits d’hôpitaux.

La santé est un tout qui nous accompagne tout au long de notre vie. C’est pour ce « tout », à travers un travail profond sur les déterminants de santé, que le droit à la santé doit devenir effectif, afin que chacun ait les mêmes espoirs de vivre et de se soigner.

Un engagement qui, en cette journée mondiale de la santé, méritait bien qu’une émission lui soit entièrement consacrée, dans le cadre prestigieux de la bibliothèque du ministère de la santé.

Quatre temps pour parler d’une santé globale

La santé comme la vie qui passe ! De la naissance à la mort, avec ses accidents, ses craintes, mais aussi les solidarités qui nous aident à nous sentir moins seul dans les moments difficiles, les services et les professionnels qui sont à nos côtés quand la maladie, le handicap ou tout simplement la vieillesse ont bousculé nos quotidiens.

Ainsi l’émission est déclinée autour de quatre temps de vie :

  • l’enfance et l’adolescence, avec notamment le témoignage de Matthias Savignac, président du Groupe MGEN, pour évoquer les inégalités d’accès aux soins et la santé mentale des jeunes.
  • la santé et le travail avec Thomas Blanchette, président d’Harmonie Mutuelle, qui revient sur l’Accord National Interprofessionnel et la prévoyance, mais aussi des effets du télétravail sur la santé physique et mentale des salariés.
  • la santé dans les territoires, avec Didier Bée, président de la MNT, pour comprendre comment se posent aujourd’hui les questions des déserts médicaux, du renoncement aux soins, de l’adaptation du logement, et comment des solutions innovantes peuvent être imaginées.
  • le bien vieillir avec Didier Hervaux, directeur général délégué de VYV 3, pour une thématique qui sera centrale dans les années à venir aussi bien dans le domaine de l’accueil, de la labellisation de domicile portée par le Groupe Arcade VYV, que dans celui des soins.

Une approche ancrée dans les réalités

Notre société est en quête de sens, mais elle est avant tout en quête de solutions. C’est pourquoi chacune de ces thématiques ne se contente pas d’établir un état des lieux, mais invite le téléspectateur à découvrir les solutions concrètes qui ont pu être proposées. A travers une série de témoignages et de reportages, à travers les réponses de ces responsables de santé, c’est tout le rapport que notre société entretient avec la santé qui est questionné, et plus largement, le rapport à notre citoyenneté.


Consultez le replay de l'émission La Santé D'abord

Harmonie Médical Service et La Maison Saint Gobain : maintien à domicile

5 minute(s) de lecture
Mis à jour le 20 avril 2023


Le partenariat annoncé en janvier 2023 entre les deux sociétés a pour vocation de conjuguer leurs savoir-faire pour proposer aux personnes à mobilité réduite ou en perte d’autonomie des solutions pérennes leur permettant de ne pas quitter leur domicile, tout en bénéficiant d’une sécurisation poussée du logement.

Ce sera sans nul doute le grand défi des décennies à venir : comment faire face au vieillissement de la population ? Comment accompagner dignement l’évolution des besoins dans un contexte que l’on qualifie d’ores et déjà de « mur du grand âge » ?

La solution passera nécessairement par une montée en puissance du maintien à domicile. Mais pour y parvenir, les acteurs de la santé et du logement devront être en mesure de proposer des dispositifs sécurisants, capables d’allier adaptation du logement et équipement médical.

Harmonie Médical Service : un acteur de référence du matériel médical

C’est tout l’enjeu de l’expérimentation qui va se dérouler sur une année. La Maison Saint-Gobain d’un côté : constructeur, aménageur et intermédiaire qualifié. HMS de l’autre : membre de VYV 3, l’offre de soins et d’accompagnement du Groupe VYV, spécialiste des matériels et services médicaux permettant le maintien ou le retour au domicile de personnes en mobilité réduite, séniors, personnes souffrant de handicap, convalescents post pathologie ou opération… Par exemple, un fauteuil releveur, un tabouret anti-dérapant pour la douche, des conseils pour aménager le domicile, et même l’assistance dans la gestion administrative du dossier auprès des organismes payeurs…

A travers ce partenariat, c’est une nouvelle brique qui vient s’ajouter à la démarche globale du Groupe VYV dont la vocation est bien de devenir un acteur majeur du domicile comme déterminant de santé, en accompagnant les personnes tout au long de leur vie. Cela passe par une recherche permanente de solutions concrètes et innovantes, ainsi que par la mise en place de partenariats structurants.

Le Groupe VYV veut conjuguer santé et logement

Le travail réalisé par le Groupe Arcade-VYV autour du logement en tant que lieu de vie, marque depuis longtemps l’importance accordée par le groupe à la question de l’habitat considéré comme l’une des conditions à une pleine santé. C’est pourquoi le choix a été fait par deux des métiers du groupe (l’accompagnement à travers VYV 3, et le logement à travers le Groupe Arcade VYV) de travailler à l’élaboration de preuves tangibles en faveur du maintien à domicile.

111 services d’aide et d’accompagnement à domicile sont désormais regroupés sous la marque VYV Domicile.
Une démarche 360, dédiée aux séniors, est menée par des entreprises sociales de l’habitat (ESH) avec le Groupe Arcade-VYV dans une approche volontairement pragmatique.
Enfin, le dispositif SeniorAdom, la téléassistance du Groupe VYV, continue de se déployer au service du maintien à domicile.

  • Harmonie Médical Service sera présent
    sur le stand de La Maison Saint-Gobain
    du 22 au 25 mars au Salon des Seniors de Paris

Rentrée étudiante : 5 conseils pour aider votre enfant

5 minute(s) de lecture
Mis à jour le 25 juin 2024


Certes, la jeunesse n’a pas attendu la crise sanitaire pour se sentir en perte de repères. Mais cette dernière a accentué leur anxiété : quitter sa vie d’adolescent pour devenir responsable et autonome, ce n’est pas rien. Ils n’en sont pas moins attachés à leurs études et à leur avenir. Alors, quand ils vous disent qu’ils stressent, croyez-les : c’est parce que ces études leur tiennent à cœur. En bon parent, restez à leur écoute et prodiguez-leur quelques conseils concrets pour la rentrée.  Harmonie Mutuelle vous accompagne.

Conseil n°1 – Avoir une bonne hygiène de vie

  • Rentrée étudiante

    Bien dormir pour réduire la fatigue et le stress, bien manger pour avoir un cerveau en pleine forme : ça tombe sous le sens, mais c’est capital pour gérer son stress face à ce profond changement de la vie quotidienne.

    Oui, il faudra encore rappeler à votre enfant que veiller tard sur les écrans n’est pas très propice à un sommeil de qualité, et qu’il est préférable de se coucher tous les jours à la même heure pour garder le rythme. Ça ne fait pas de lui un senior, juste un étudiant en pleine forme. Et ça vaut pour vous aussi.

    Oui, il faudra répéter que les fruits et les légumes sont bien meilleurs pour sa concentration, et que la junk food et les sucreries ne font qu’augmenter la sensation de stress.

    Mais ce sera aussi l’occasion de lui rappeler que prendre le temps de s’amuser, de voir ses amis, d’aller au théâtre, au cinéma, aux concerts : c’est nécessaire pour se changer les idées et emmagasiner une énergie indispensable à la réussite de son année.
     

Conseil n°2 – Pratiquer une activité physique

  • S’il y une activité qui fait du bien du corps et au cerveau, c’est le sport.

    Même s’il n’est pas un grand sportif dans l’âme, encouragez votre enfant à faire du sport30 minutes de marche quotidienne seront un bon début pour le maintenir en bonne santé et prévenir le stress. Encore mieux si c’est dans un parc ou en forêt : contempler la nature réduit notre taux de cortisol. Une hormone que notre organisme a tendance à sécréter en trop grande quantité en situation de stress.

    S’il est de bonne composition sur le sujet, dites lui qu’un footing de 10 minutes, par exemple, peut suffire à évacuer le trop plein d’anxiété d’une journée difficile. Le rapport bénéfices / effort est imbattable.

    Et s’il ronchonne encore, invitez-le à se rendre sur ce site imaginé par le ministère des Sports au sortir du confinement : lebonsportpourmoi.sports.gouv.fr.

    Le principe : un quiz sur le sport plié en 2 minutes, qui va l’aider à définir quel sport lui correspond le mieux parmi 300 activités, de la gymnastique à la danse en passant par la natation et même le paddle, le roller ou le skateboard.
    Qu’il préfère les sports individuels ou collectifs, en intérieur ou en extérieur ; que ce soit pour se détendre, rester en forme ou rencontrer d’autres personnes : il trouvera forcément son bonheur.
     

Conseil n°3 – Se renseigner sur les actions de soutien proposées par son université

  • Il arrive que certaines universités proposent aux étudiants différentes formes de soutien.

    Des ateliers pour les primo-arrivants, qui permettent se familiariser avec le fonctionnement de l’établissement dans lequel ils vont passer leur année. Un accompagnement à l’intégration très utile quand on démarre ce qui peut s’apparenter à une nouvelle vie.

    Des formules de tutorat à l’université, plus orientées vers la réussite pédagogique. Des étudiants expérimentés, en général déjà en master, vont aider les étudiants en difficulté. Cette aide porte aussi bien sur les méthodes de travail (on sait que le travail personnel compte beaucoup à l’université, et certains élèves peuvent vite se retrouver désemparés) que sur le contenu des cours.

    La crise sanitaire a encouragé un renforcement important du tutorat dans les universités. S’il sent qu’il a besoin d’un petit coup de pouce pour s’intégrer ou apprendre à apprendre, votre enfant aurait tort de s’en priver !

Conseil n°4 – Et si vous leur parliez huiles essentielles ?

  • Utilisées à bon escient, les huiles essentielles ont de véritables vertus.

    Par exemple, la mandarine rouge, le lavandin ou encore l’huile de Lédon du Groenland sont réputées pour leurs qualités calmantes et relaxantes.
    Idéales pour lutter contre les troubles du sommeil.

    Pour apaiser leur anxiété, proposez-leur un peu d’huile d’orange douce. Elle met de bonne humeur et engendre l’optimisme. Beaucoup plus puissante, la camomille romaine peut se révéler très utile en cas de crise d’angoisse.

    Pour étudier dans les meilleures conditions, il faut aiguiser ses capacités de concentration. La menthe poivrée, tonique et stimulante, est un booster naturel du cerveau. Le romarin à cinéole, s’utilise en cas de grosse fatigue. Il stimule la mémoire et sera donc un allié de choix en période d’examens.

    Attention, on privilégie l’utilisation par diffusion dans l’atmosphère, massage ou friction. Pour tout autre usage, il est préférable de consulter un médecin / pharmacien spécialisé en aromathérapie.
     

Conseil n°5 – Des applis relaxation pour rester zen

  • Prendre soin de soin, c’est aussi prendre soin de son bien-être mental. Et pas seulement en période d’examen. Pour que la réussite ne soit pas réservée aux étudiants les mieux disposés socialement et culturellement. Et si vous lui glissiez l’air de rien le nom de ces applications au top pour se relaxer par la méditation.

    • Petit Bambou

    20 minutes par jour suffisent pour mieux gérer toutes les situations du quotidien et retrouver confiance en soi.

    • Calm

    Cette application propose une grande variété de contenus : exercices de respiration, histoires, séances de respiration, et même une collection de sons insolites qui détendent, comme des ronronnements de chats. Durée, images d’accompagnement et musique de fond sont totalement personnalisables

    • Headpsace

    Maîtriser ses émotions et ses angoisses, augmenter sa concentration, figurent parmi les objectifs de cette application, qui se distingue par son design très soigné. C’est varié, modulable, on choisit si on préfère des séances accompagnées de vidés, d’animations ou tout simplement de son. Bien pensé et facile à utiliser.

    • Mind

    Encore une application made in France, dont les séances démarrent avec une vidéo de petits personnages qui nous rappellent en douceur qu’il faut apprendre à déconnecter. Elle propose un catalogue de 220 programmes aux thèmes variés : combattre le stress en général mais aussi des sujets plus précis comme mieux dormir ou apprenez à ne pas stresser dans les transports en commun.

Vous avez besoin d'une protection pour les études de votre enfant ?

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5 conseils pour l’aider à gérer le stress des examens

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Mis à jour le 28 mars 2024


Si votre enfant a tendance à perdre ses moyens en période d’examens, et notamment s’il passe l’oral du bac, dévoilez-lui quelques conseils pour reprendre le contrôle de ses émotions et mieux gérer le stress des examens. Harmonie Mutuelle vous accompagne.

Premier point : soyez vous-même rassuré ! Si votre enfant stresse à l'approche de ce type d'échéance, c'est que ça lui tient à cœur. Évidemment, ce n'est agréable ni pour lui, ni pour vous. Mais ce n'est pas une fatalité. 

Conseil n°1 – Bien manger

  • Si vous lui conseillez de bien manger, votre enfant pourrait bien lever les yeux au ciel en soupirant. Alors, n’hésitez pas à lui préciser que c’est scientifiquement prouvé : certains aliments réduisent vraiment le stress et l’anxiété. S’il vous parle soda et barres chocolatées, rappelez-lui que les produits industriels transformés produisent exactement l’inverse de l’effet escompté. Poisson, volaille, fruits, légumes et produits laitiers sans graisses saturées : voilà les bons ingrédients pour nourrir son cerveau. S’il vit encore à la maison, donnez-lui un coup de main en passant derrière les fourneaux. Et pour le petit déjeuner, pourquoi pas des flocons d’avoine ? Des champions pour réduire son stress avant les examens.

Conseil n°2 – Bien dormir

  • Un autre conseil de bon sens. Pas toujours facile à mettre en œuvre, même pour nous, adultes. Mais c’est ainsi : bien dormir est indispensable pour réussir. On ne parle pas d’un « sommeil réparateur » par hasard : lorsqu’on dort, on régénère le corps et l’esprit. Et par la même occasion, on évacue le stress de la journée. Certes, il n’y a pas de recette miracle pour bien dormir. Mais avec quelques bonnes habitudes, on gagne en qualité de sommeil. A minima : pas d’aliments excitants après 16 heures. Pas d’exposition à la lumière bleue des smartphones en soirée : ça perturbe la sécrétion de mélatonine et retarde le cycle naturel. Et surtout : arrêter de réviser au moins une heure avant de rejoindre les bras de Morphée.

Conseil n°3 – Faire du sport

  • Pas besoin d’en faire trop mais c’est prouvé : à raison d’au moins 30 minutes par jour, l’activité physique a des effets bénéfiques sur la santé psychique. Elle est donc toute indiquée pour réduire le stress des examens. Et en plus – vous pouvez vous faire mousser en le rappelant à votre enfant – le sport stimule les neurones. En d’autres termes, faire fonctionner ses muscles fait mieux fonctionner le cerveau. Exactement ce dont il a besoin en période d’examens ! Le sport est également un formidable régulateur d’émotions, et il apprend la respiration : un atout non négligeable lorsqu’il faut garder son calme juste avant l’examen.

Conseil n°4 – Préparer sa tenue

  • Une astuce très simple à mettre en œuvre ! Mais c’est un fait : on est toujours plus à l’aise quand on se sent bien dans ses vêtements. Plutôt que de se demander quoi mettre le jour J, qu’il prépare donc sa tenue pour ses examens en amont. C’est un souci en moins et un atout en plus pour garder le contrôle et booster la confiance en soi. Idéalement, même si ses compétences et sa motivation ne résident pas dans l’apparence, qu’il reste le plus neutre possible, afin de ne pas être jugé à la première impression. D’autant qu’il ne peut pas savoir à l’avance s’il va tomber sur des juges qu’il connait déjà ou non.

Conseil n°5 – Prendre des notes

  • Un dernier conseil pratique, lorsque l’oral fatidique est arrivé. Votre enfant a posé son stylo pour éviter de le tripoter sans raison tout au long de l’entretien ? Mais rien ne lui interdit de l’utiliser pour la prise de notes. Écrire les mots clés de la réponse à venir, par exemple. Au contraire, c’est même autorisé ! Cela prouve à l’examinateur qu’il a en face de lui une personne rigoureuse et méthodique. Et en cas de trou face à une question à rallonge, il lui suffira de consulter ses notes. Naturellement, avant de répondre : on repose son stylo.

Dernier conseil : encouragez-le !

  • Et notre dernier conseil, alors même qu'il pourrait être le plus important : pensez à rassurer votre enfant, à l'encourager et à lui faire comprendre que, quel que soit le résultat, il aura votre soutien ! 

    Cela lui permettra de retirer de ses épaules le poids de la peur de vous décevoir ! 

Vous vous posez des questions sur les études de votre enfant ?

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