L’assurance vie est un placement qui suscite de nombreuses questions. Pour investir en toute sérénité, les experts Harmonie Mutuelle répondent à vos questions sur ce placement, à travers 4 podcasts d'une minute chacun.

mar 25/05/2021 - 12:28 victor.delile experts discutant dans un bureau
Particuliers
Assurance Vie
3

3 questions à se poser avant de souscrire une assurance vie


Votre projet consiste à :

  • Diversifier votre épargne ?

  • Préparer votre avenir ?

  • Transmettre un capital à vos proches ?

L’assurance vie répond à tous ces objectifs. Axelle Chambaud, Directrice distribution chez Harmonie Mutuelle, répond aux 3 questions à vous poser avant de souscrire une assurance vie.



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Assurance vie, quelle stratégie d'investissement adopter ?


15 % des Français envisagent de souscrire une assurance vie.

Pourquoi et comment souscrire ? Axelle Chambaud, Directrice distribution chez Harmonie Mutuelle, vous répond.


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Faut-il ouvrir une assurance vie ? Y a-t-il
un risque de tout perdre ?


Avec sa variété de supports de placement, l'assurance vie respecte votre appétence pour le risque ou la sécurité, en restant toujours plus attractive qu'un livret A ou un PEL.

Amélie Brau, Responsable d'animation commerciale chez Harmonie Mutuelle, vous explique pourquoi l'assurance vie est d'années en années décrite comme le placement préféré des Français. 


 

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L'assurance vie : un placement, plus qu'une assurance ?


Financer les études de ses enfants ou les protéger en cas de décès, préparer votre transmission... 

Amélie Brau, Responsable d'animation commerciale chez Harmonie Mutuelle, vous explique les multiples raisons de choisir l’assurance vie comme solution de placement pour votre épargne et comme outil de transmission de votre patrimoine.


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mar 25/05/2021 - 12:28 victor.delile experts discutant dans un bureau

Vie d’entreprise : quand le boss va, tout va ?

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La loi impose de préserver la santé de ses salariés, mais qui se soucie de celle du chef ? La question se pose alors que la relation entre le bien-être du dirigeant et la prospérité de l'entreprise est clairement établie.

Dans un environnement hypercompétitif, le patron qui admet ses faiblesses est très souvent cloué au pilori par les financiers comme par le grand public, par ses pairs comme par ses employés.

Pour preuve, la sincérité d’Elon Musk immédiatement sanctionnée par les marchés après la parution d’un entretien dans le New York Times, en août dernier. «L’année écoulée a été la plus difficile et la plus douloureuse de ma carrière, c’était atroce», avait confié le très médiatique patron de Tesla, visiblement au bout du rouleau, avant d’ajouter : «Ça ne va pas fort. Mes amis sont très inquiets.»

En plus de s’épancher sur son état d’épuisement, en partie dû aux difficultés rencontrées par son entreprise, le PDG avait affirmé travailler cent vingt heures par semaine (dix-sept heures par jour), avoir du mal à se passer d’Ambien (un puissant sédatif) pour dormir, ne pas avoir pris plus d’une semaine de vacances depuis 2001 et souffrir de ne pas consacrer assez de temps à ses proches. L’action de Tesla avait aussitôt chuté de 8,8%.

Déléguer pour se préserver

  • L’image du dirigeant rassurant et fédérateur, capable de guider son équipe en toute circonstance quel que soit son état, en prend un sacré coup… L’aveu d’Elon Musk confirme que le sentiment d’infaillibilité cultivé par un grand nombre de managers peut avoir un effet doublement négatif : en les empêchant de s’écouter, il peut affecter leur équilibre, voire les mener au burn-out, et nuire à l’organisation qu’ils dirigent, jusqu’à la déstabiliser.

    Ce constat largement partagé en amène un autre : si l’entrepreneur est responsable de l’entreprise, de ses enjeux économiques et sociaux, il n’en reste pas moins un être humain dont la santé – mentale et physique – doit être préservée comme celle de n’importe quel salarié. Compte tenu des responsabilités et des obligations propres à la fonction, ce bien-être devrait même être considéré «comme un actif intangible de l’entreprise, une dimension à intégrer dans le bilan financier au même titre que la prévention des risques psychosociaux dans le bilan social», selon Richard Delaye, directeur de la recherche et de l’innovation du groupe de formation IGS.

Ces dernières années, de nombreuses recherches ont été menées pour explorer la relation entre la santé du manager et celle de l’entreprise.

  • Présenté en juin 2017, l’Observatoire Harmonie mutuelle- Soregor-Viavoice de la santé et du bien-être des dirigeants dans les Pays de la Loire a étudié les indicateurs économiques d’un certain nombre de sociétés (chiffre d’affaires, résultats, investissements, etc.) et les a mis en rapport avec les pratiques de santé de leurs boss.

    • Premier constat : le nombre d’heures travaillées par semaine profite à l’entreprise certes, mais jusqu’à un certain point seulement. L’enquête montre qu’à partir de soixante heures hebdomadaires le travail n’est plus productif. Il peut même devenir contre-productif.
    • En deuxième lieu, l’étude révèle que «la possibilité de s’absenter, notamment en cas de problème de santé, est facteur de performance», explique Lionel Fournier, directeur de région chez Harmonie mutuelle.
    • Enfin, les activités extraprofessionnelles (sports et loisirs, au-delà de trois heures par semaine), les congés (cinq semaines et plus par an) et la durée du sommeil (à partir de sept heures) favorisent la productivité et la prise de décision.

Réalisée en ce début d’année, l’étude «Santé des dirigeants, santé des entreprises»(1) apporte un nouvel éclairage. «Certes, il existe une forte corrélation entre la santé du dirigeant et celle de l’entreprise, commente Benoît Journé, l’un des pilotes du projet, responsable du département gestion et conseil de l’IAE Nantes. Mais on distingue aussi des situations « décorrélées », avec un tiers des sondés qui vont mal dans une entreprise qui se porte bien, lorsque la croissance est subie, par exemple. Cela signifie que la position d’un dirigeant est dynamique. Avec le temps, selon les cas, il peut rejoindre la zone d’équilibre, celle du patron et de la société en bonne santé, ou au contraire tomber dans la zone d’alerte, la zone rouge où tout va mal.»

L’analyse montre également des disparités selon la taille des sociétés. «Les dirigeants d’entreprises de taille intermédiaire, poursuit Benoît Journé, ont les moyens de déléguer. Ils sont dans un système qui leur permet de se préserver tout en développant l’activité. Ce qui est impossible pour les micro entrepreneurs, par exemple.» Disparités encore selon les secteurs : «Dans le médico-social, l’information et la communication, les dirigeants semblent nettement plus exposés que dans l’industrie et le conseil.» Les dernières conclusions de l’étude valident celles d’études antérieures, reprend Benoît Journé : «La diffculté à recruter et l’isolement apparaissent comme les plus grandes sources de stress et de dégradation de la santé du dirigeant et, corollairement, de l’entreprise.»

Espaces de respiration

  • Quels leviers faut-il alors activer pour assurer l’épanouissement du chef d’entreprise, condition sine qua non de la réussite collective ?

    Avant toute chose, qu’il soit mieux informé sur l’importance de tenir compte de son état physique et psychique, tant par les acteurs publics responsables de la santé et de la sécurité au travail que par les organismes privés spécialisés, notamment les assureurs.

    «Il semblerait, précise Richard Delaye, qu’un dirigeant conscient de sa santé se montre davantage responsable vis-à-vis de celle de ses collaborateurs.» C’est en tout cas ce qui permet à l’intéressé de «se saisir d’espaces de respiration qui sont autant de lieux et d’opportunités où il s’autorise à douter, où il pourra prendre du recul, développer sa capacité à identifier ce qu’il pense et ressent, écouter son intuition et celle de ceux qui l’entourent», observent Xavier Michel, Nicolas Schmit et Noël Barbu, auteurs d’une analyse détaillée de l’étude de 2017 (2).

    Concrètement, cela signifie que ce manager éclairé est plus à même d’exercer son droit à la déconnexion et d’établir un bon équilibre vie pro-vie perso. Côté boulot, il peut vouloir se former ou intégrer un club de dirigeants afin d’enrichir ses compétences (techniques, managériales, émotionnelles…) et sortir de l’isolement. Ou encore pratiquer la méthode éprouvée du «Thinking outside the box» avec un coach, pour s’ouvrir à de nouvelles perspectives.

  • Pour Benoît Journé, «la gestion des tensions est au cœur de la relation entre la santé de l’entreprise et celle du dirigeant». Les tensions en question, de différentes natures, relèvent des rapports au temps, à la taille de l’organisation, aux parties prenantes et, enfin, à soi-même.

    Le manager doit ainsi concilier : le court terme opérationnel et le long terme stratégique, la réussite (avec la menace de perte de contrôle) et les difficultés (de pilotage et de recrutement en cas de croissance), les exigences souvent divergentes de tous les intervenants, et ses investissements personnel et professionnel.

    Pour aider l’entrepreneur à se positionner, l’analyste suggère la conception d’un outil d’autodiagnostic, combiné à «un tableau de bord structuré autour de trois ou quatre indicateurs clés pour mesurer sa santé».

    Objectif : atteindre l’«ambidextrie», autrement dit «la capacité à satisfaire simultanément les injonctions contradictoires inhérentes à chaque tension. Cette aptitude est propice à créer une situation d’équilibre où patron et société se portent bien sur le long terme.»

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  • Faire face à la détresse des entrepreneurs

    Harmonie Mutuelle protège les entrepreneurs à chaque étape de leur vie, professionnelle ou personnelle. Parce que nous savons que la santé du dirigeant, comme la santé financière, joue un rôle clé pour son entreprise, Harmonie Mutuelle s’engage auprès du réseau APESA afin de soutenir les chefs d'entreprise.

     

  • Se relever après un échec : Harmonie Mutuelle s’engage pour les entrepreneurs

    45 % des dirigeants déclarent se sentir isolés et 75 % pas assez entourés, révèle une enquête* réalisée auprès de 2 400 dirigeants de PME. Soucieuse de cette problématique, Harmonie Mutuelle s'engage auprès des Rebondisseurs Français, une association œuvrant pour positiver l'échec de l'entrepreneur.

Entrepreneurs : 5 idées reçues sur vos droits en cas d'arrêt de travail

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Par manque de temps ou parce qu’il n’en voit pas l’intérêt, 1 entrepreneur indépendant sur 2 ne souscrit pas de couverture prévoyance. Que ce soit en cas d’arrêt de travail ou d’accident, une absence de longue durée peut mettre en péril l'entreprise. Attention aux mauvaises surprises.

  • Idée reçue N°1
    Pas besoin d’une assurance en plus, je ne m’arrête pas quand je suis malade.


    C’est vrai, de nombreux entrepreneurs indépendants continuent leur activité lorsqu’ils sont souffrants. Toutefois, dans certaines situations, la poursuite de l’activité est impossible, comme dans le cas d’une fracture, d’une maladie grave ou d’un problème handicapant de dos.

    Les chiffres démontrent ainsi qu’au cours de leur carrière, les entrepreneurs indépendants s’arrêtent moins souvent mais lorsqu’ils sont en arrêt maladie, cela dure plus longtemps.

    Si vous êtes travailleur indépendant, vous devez savoir que l’arrêt maladie indépendant peut avoir un impact négatif sur votre activité. Et si celui-ci dure longtemps, cela peut même entraver le développement de votre entreprise. Il est donc essentiel de vous préparer à cette éventualité.

    Êtes-vous alors vraiment sûr de ne jamais devoir vous arrêter ?

    Bon à savoir :
    12,2 % des indépendants ont déclaré au cours de leur vie professionnelle un arrêt maladie travailleur indépendant au moins quatre semaines consécutives contre 9,6 % chez les cadres.

  • Idée reçue N°2
    Si je dois vraiment m’arrêter, je pourrai me débrouiller avec le « demi-salaire » versé par la Sécurité sociale

     

    Si vous êtes travailleur indépendant et que vous êtes contraint de stopper votre activité professionnelle pour une durée indéterminée, vous pouvez prétendre à une indemnité d'arrêt de travail indépendant. Cette indemnité journalière sera calculée sur la base de votre revenu moyen des trois dernières années. Cependant, il est important de souligner que pour être éligible à cette indemnité, vous devez être affilié depuis au moins un an à la branche du régime général de l’Assurance-Maladie dédiée aux travailleurs indépendants. De plus, cette indemnité est plafonnée à 63,52 € bruts par jour en 2024.

    En cas d'incapacité partielle ou totale, vous pouvez également prétendre à une pension pour incapacité partielle ou totale d'exercer votre métier en tant que travailleur indépendant. Cette indemnité, en cas d’invalidité, peut représenter entre 30% et 50% de votre revenu annuel, en fonction de la nature de votre incapacité. Cependant, cette indemnité ne pourra pas remplacer l'intégralité de vos revenus. Il est donc essentiel de prévoir une solution pour faire face à une éventuelle perte de revenus en cas d'arrêt maladie et/ou d'accident.

    En effet, en tant que travailleur indépendant vous pouvez être confronté à une perte de revenus considérable, qui peut mettre en péril votre entreprise et votre vie personnelle. Les charges fixes liées à votre activité (crédit véhicule, loyer de votre local) continuent de courir, tandis que les dépenses du quotidien doivent être couvertes. Dans ce contexte, il est important de vous poser la question suivante : êtes-vous prêt à faire face à une telle perte de revenus ?

     

    Indemnisation en cas d'arrêt de travail et invalidité pour les artisans et commerçants

     

    Chiffres 2023

     

    Indemnisation en cas d'arrêt de travail et invalidité pour les professions libérales

     

    Chiffres 2023

     

  • Idée reçue N°3
    Les indemnités de la Sécurité Sociale sont versées rapidement.


    En cas d’arrêt de travail auto entrepreneur ou TNS, le versement de l’indemnité journalière ne commence que le 4ème jour de la constatation de l’incapacité de travail liée à un accident ou une maladie, lorsque l’assuré a un arrêt de travail de plus de 7 jours. En cas d’arrêt inférieur ou égal à 7 jours, le délai de carence est de 7 jours.

    En somme, si vous êtes un travailleur indépendant, notamment un auto-entrepreneur, et que vous devez vous arrêter de travailler plus de 7 jours en raison d'un accident ou d'une maladie, vous pourrez bénéficier d'indemnités journalières. Mais il convient de bien prendre en compte le délai de carence, ainsi que le plafond annuel des indemnités, pour être sûr de pouvoir faire face à une éventuelle perte de revenus pendant cette période difficile.

  • Idée reçue N°4
    Le plus important, c’est d’avoir une bonne protection sociale complémentaire.


    Bien entendu, une bonne couverture santé est indispensable. Mais il est important de réfléchir à votre budget Santé-Prévoyance de façon globale. Si vous êtes jeune, sans problème de santé particulier, il est ainsi préférable de reporter une partie de votre budget santé sur votre prévoyance. Vous risquez probablement plus de vous casser une jambe que de devenir subitement myope. De plus, ces risques auront des conséquences financières également beaucoup plus lourdes.

    Assurer sa personne c’est donc aussi assurer son activité. Il existe suffisamment d’offres prévoyance entrepreneur pour trouver le contrat parfaitement adapté à vos besoins. Et dans le cas d’une réflexion Santé-Prévoyance plus globale, il existe dorénavant des contrats de mutuelle et prévoyance santé pour entrepreneur.

  • Idée reçue N°5
    Si je décède, ma famille touchera des aides de l’État.


    À la différence d’un arrêt de travail avec des indemnités journalières qui permettent de subvenir aux besoins, le capital décès de la Sécurité sociale, lui, n’est versé qu’une seule fois et permet rarement à votre famille de faire face à votre disparition.

    En effet, le montant du capital décès n’est que de 20 % du plafond de la Sécurité sociale, soit 9 273,60 € en 2024. Les enfants de moins de 16 ans peuvent également bénéficier d’un capital pour orphelin égal à 5 % du plafond de la Sécurité sociale, soit 2 318,40 € en 2024.

    Des sommes qui permettront de faire face dans un premier temps, mais pas de subvenir aux besoins financiers de votre famille sur le long terme, en particulier si vos enfants désirent suivre des études. Dans l’optique de protéger au mieux vos proches, il convient alors de souscrire à un contrat de prévoyance capable de prendre en charge votre famille et de les aider à faire face à votre disparition, particulièrement en l’absence d’épargne complémentaire.


    Quel type d'entrepreneur êtes-vous ? Faites le quiz !

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    Depuis le 1er novembre 2019, la Complémentaire Santé Solidaire remplace l'Aide à la Complémentaire Santé (ACS) et la Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMU-C). La vocation de ce nouveau dispositif est de faciliter les conditions d'accès à une couverture complémentaire pour tous, y compris les travailleurs indépendants.

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Préparer la rentrée de votre enfant

Moment important dans la vie de tout écolier, la rentrée scolaire, si elle est bien préparée, est un évènement vécu en confiance. Voici quelques pistes pour vous permettre d'accompagner votre enfant en toute sérénité lors de sa prochaine rentrée.

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vous accompagne

4 conseils pour bien préparer la rentrée scolaire de votre enfant

    • Fournitures, garde-robe : faites le point

    Un conseil : n'attendez pas le dernier moment pour effectuer les achats de fournitures scolaires de votre enfant. Mieux vaut s'en préoccuper dès le début des vacances : vous avez plus de chances de trouver du choix dans les rayons. Votre enfant a sans doute à cœur de choisir certaines de ses fournitures : cartable, trousse, agenda... La perspective de la rentrée des classes est aussi à l'occasion de faire le point sur la garde-robe de votre enfant : vêtements, chaussures... En quelques mois, il est possible qu'il ait changé de taille.

    • Reprenez le rythme : réveil, repas...

    A quelques jours de la rentrée, il peut être utile de reprendre des horaires de lever et de coucher qui se rapprochent du rythme scolaire et ce, même si les vacances sont encore là. De même pour le temps des repas souvent pris en décalés ou à des heures irrégulières durant la période estivale.

    • Anticipez les démarches administratives

    Il est aussi préférable de prendre les devants en ce qui concerne les différentes formalités administratives : assurance scolaire, inscriptions à la cantine, à l'accueil périscolaire. Pensez aussi à refaire les photos d'identité de votre enfant qui vous seront certainement demandées à l'école en début d'année. Pourquoi pas également anticiper les certificats médicaux en vue des activités extra-scolaires ?

    • Et pour sa première rentrée ?

    Pensez à visiter l'école avec lui afin qu'il y prenne ses marques en douceur. Impliquez-le dans la préparation de son sac d'école, parlez-lui régulièrement de cette nouvelle vie qui s'annonce pour lui, sans en faire de trop... Et le jour J ? Rien de mieux que des parents sereins et apaisés pour l'accompagner lors de cette première journée d'école.

Allocation de Rentrée Scolaire : ce qu'il faut savoir

  • Il n'est pas toujours facile d'assumer un tel coût pour permettre à son enfant de vivre pleinement sa scolarité.

    Sous conditions de ressources, une Allocation de Rentrée Scolaire (ARS) est versée aux familles ayant au moins un enfant scolarisé entre 6 et 18 ans. Le montant de l'ARS varie selon son âge, entre 370,31 et 404,28€.

    Si vous êtes allocataire de la CAF et remplissez les conditions d'attribution de l'ARS, vous n'avez aucune démarche à effectuer.

    Bon à savoir : À la rentrée 2020/2021, les dépenses moyennes pour un élève rentrant en sixième étaient
    de 407,68 € (soit plus de 12% d'augmentation par rapport à 2019)

Assurance scolaire : comment bien protéger votre enfant ?

  • Obligatoire, l'assurance scolaire responsabilité civile couvre votre enfant s'il est responsable de dommages à l'encontre d'un camarade de classe lors de ses activités scolaires. Mais elle ne le protège pas s'il est lui même victime.

    Harmonie Mutuelle a développé une Garantie Accidents de la Vie dédiée aux familles, qui vous protège, vous et votre enfant, contre les accidents de la vie courante, à la maison, dans les loisirs, mais aussi dans le cadre scolaire et extra-scolaire.

    Notre garantie accidents de la vie vous accompagnement également si votre enfant est victime de harcèlement ou de cyber-harcèlement !

  • Votre protection accidents de la vie

Les services Harmonie Mutuelle

En souscrivant à un contrat Harmonie Mutuelle, vous et vos salariés bénéficiez de services permettant de simplifier votre quotidien, préserver votre santé et votre pouvoir d'achat.

Découvrez vos services en vidéo !

Nos autres services

  • Espace Mon Entreprise et Harmonie

  • Gestion dématérialisée des indemnités journalières

  • Aides psychologiques

  • Action sociale

  • Réseau d'initiative

  • Réseau de solidarité

La perte d'un proche

Vous êtes confronté au décès d'un membre de votre famille ? A la tristesse, s'ajoutent des formalités administratives fastidieuses, mais essentielles pour bénéficier de certaines aides. Harmonie Mutuelle est à vos côtés pour vous guider et vous accompagner.

Harmonie Mutuelle
vous accompagne

Quelles sont les démarches à accomplir suite à la perte d'un proche ?

    • Réaliser la déclaration de décès en mairie dans les 24 heures.

    • Organiser et financer les funérailles selon les dernières volontés de votre proche (crémation, inhumation, don du corps à la science...)

    • Prévenir l'ensemble des organismes sociaux, fiscaux et établissements bancaires afin de clôturer les comptes bancaires du défunt et prétendre à certaines aides.

    • Avertir l'employeur du défunt s'il exerçait une activité professionnelle.

    • Acquitter les démarches liées au logement : résiliation de bail si le défunt était locataire, transmission des nouvelles coordonnées administratives et bancaires du nouveau bénéficiaire des loyers si le défunt était propriétaire.

    • Régler la succession. Celle-ci intervient dans les 6 mois suivants le décès.

    Dans la gestion des démarches liées au décès, ne refusez pas le soutien psychologique et logistique proposé par vos proches.


    Bon à savoir : Lors de la perte d'un proche, vous bénéficiez d'un congé spécifique. Sa durée varie selon votre degré de parenté avec le défunt (conjoint, ascendant, enfant...) et la convention collective dont dépend votre entreprise. 
    En savoir plus

Sollicitez certaines aides pour vous aider financièrement

  • En cas de décès de votre conjoint

    • Si vous avez plus de 55 ans, vous bénéficiez, sous certaines conditions, d'une pension de réversion versée par l'assurance retraite de votre conjoint. Ce revenu correspond à une partie de la retraite que touchait ou aurait touché le défunt.

    • Si vous avez moins de 55 ans, vous pouvez prétendre à une allocation veuvage forfaitaire versée par la Sécurité Sociale pour une durée maximale de 2 ans.

     

  • En cas de décès de votre enfant

    Si votre enfant avait moins de 25 ans, la Caisse d'Allocations Familiales (CAF) vous verse une aide forfaitaire dont le montant varie entre 1000 et 2000€ selon vos ressources. Si vous êtes déjà allocataire, vous n'avez aucune démarche à effectuer : l'aide vous est versée automatiquement

     

    En cas de revenus modestes

    Grâce à la Complémentaire santé solidaire, vous pouvez bénéficier de remboursements performants sur vos dépenses de santé, à moindre coût ! 

Mettre sa famille à l'abri du besoin

  • Lors du décès d'un proche, vous devez faire face à des dépenses inattendues et urgentes liées à ses obsèques et à sa succession. Comptez entre 3 800€ et 4 500 € de frais d'obsèques et 5 000€ voire davantage pour le règlement de la succession.

    En plus de ces premières dépenses, le décès d'un proche a également un impact sur la vie quotidienne de ceux qui restent. Au delà de l'organisation du foyer qui sera amenée à évoluer, il faudra aussi assurer les charges habituelles du quotidien (loyer, factures, prêts en cours, études des enfants...) avec un revenu en moins.

    Pour vous aider à faire face lors de ces moments douloureux, Harmonie Mutuelle vous propose des garanties protectrices pour votre famille.

  • Votre protection obsèques

  • Votre protection décès

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