Sous +5°C de température extérieure, travailler réclame un certain nombre de précautions comme le rappelle l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) qui précise que les risques ne se limitent pas à l’hypothermie mais concernent également les glissades, les gelures, la fatigue accrue ou encore les assoupissements.

Souvent associée aux vacances d’été, la chaleur peut également constituer un risque pour la santé des salariés qui travaillent quand la température augmente. Certains salariés sont quant à eux exposés à la chaleur toute l’année. Voici quelques conseils pour éviter les effets de la chaleur et travailler en toute sécurité.

Liés à des gestes répétitifs, les troubles musculo-squelettiques (TMS) se manifestent par des douleurs. S’ils sont la cause de certains arrêts de travail, ils peuvent toutefois être évités et /ou soulagés. Le duo gagnant : amélioration de l’environnement professionnel et adoption de bonnes postures au quotidien.

Les troubles musculo-squelettiques (TMS) touchent les salariés, aussi bien dans leur vie professionnelle que personnelle. Le plus souvent, ils peuvent être évités grâce à des méthodes de prévention adaptées.

Les maux de dos sont les troubles musculo-squelettiques (TMS) les plus fréquents. Le travail n’en est pas la principale cause, ils sont en général à la conjonction de plusieurs facteurs.

Le syndrome du canal carpien est un des troubles musculosquelettiques (TMS) les plus répandus. Il correspond à une compression du nerf médian de la main, nerf moteur du pouce qui donne la sensibilité aux 4 doigts principaux : pouce, index, majeur et annulaire.

La consommation d’alcool peut être la cause d’accidents du travail, d’absentéisme ou même de dépression. Si la législation fait preuve d’une certaine tolérance, les entreprises sont libres de fixer leurs propres limites par le biais du règlement intérieur. Un dispositif de prévention santé peut aussi aider les salariés en difficultés.

Accros au travail, bourreaux de travail, travailleurs hyperactifs, stakhanovistes… autant de termes qui définissent le « workaholism », autrement dit une forme d’addiction particulière puisqu’elle se traduit par le besoin irrépressible de travailler.

Le tabagisme passif consiste à respirer involontairement la fumée de cigarette d’un fumeur à proximité, que l’on soit non-fumeur ou fumeur. Les fumeurs subissent eux-mêmes les effets du tabagisme passif avec leur propre fumée et ce, à leur insu. Explications.

Alcool bien sûr, mais aussi dérivés opiacés, cannabis, amphétamines et même ecstasy… autant de substances psychoactives pour lesquelles des tests existent et sont commercialisés, en plus des dépistages urinaire ou sanguin d’usage médical. Mais qu’en est-il de leur utilisation en entreprise ?