L’entreprise, lieu de santé

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Mis à jour le 06 octobre 2023


« L’entreprise : lieu de santé », c'est la conviction que porte Harmonie Mutuelle. Pour éclairer sur les enjeux et leviers pour faire de l'entreprise un lieu de santé et pour comprendre comment agir aux côtés des entreprises, Virginie Malnoy était présente sur le plateau « La santé d’abord », une émission hebdomadaire diffusée sur les chaînes de TV locales.


Le bien-être sur le lieu de travail n'est désormais plus négociable puisque 76% des salariés du privé estiment que l'employeur est le garant de la santé mentale de ses collaborateurs1.


  
L’entreprise a plusieurs rôles à jouer, en premier lieu, elle peut faciliter l'accès aux soins à ses salariés.

  • Chez Harmonie Mutuelle, nous mettons en œuvre des solutions de téléconsultation ou des check-up santé organisés au sein de l'entreprise.
  • Nous agissons également en amont en exploitant les bienfaits du sport comme moyen de prévention. En effet, l'activité physique limite le risque d'entrer en maladie chronique et permet le maintien d’une activité professionnelle équilibrée. Elle renforce également la convivialité entre les équipes et le lien social, déterminant de santé majeur.
  • Avec la solution Harmonie service social, Harmonie Mutuelle propose des solutions concrètes pour accompagner les salariés à traverser les situations personnelles difficiles. Ce service permet aux collaborateurs de se confier en toute confidentialité et les aide à résoudre les problèmes personnels qui les touchent.


Notre raison d'être repose sur notre engagement à agir sur les facteurs sociaux, environnementaux et économiques.
Découvrez comment l'entreprise peut agir sur ces trois facteurs !

Regardez le replay
du 16 septembre 2023
« L'entreprise, lieu de santé ».

Regardez l'émission "l'entreprise, lieu de santé"

   

Extraits de l'émission…


6 millions de Français n'ont pas accès aux soins2.


   
Les conséquences du non-accès aux soins sont nombreuses. Dans le cadre de l’entreprise, on en retient deux principales :

  • Le présentéisme consiste, pour un salarié, à se rendre au travail avec un problème de santé physique ou psychologique, ce qui l’empêche d’être productif.
  • L’absentéisme au travail se caractérise par des absences répétées d’un salarié de son lieu de travail. 

La santé des salariés est donc primordiale pour la santé de l’entreprise !

Des salariés qui sont moins absents, sont plus engagés, la relation entre les salariés est facilitée, le discours qu’ils portent sur l’entreprise est plus positif.


En France, l’activité physique augmente la productivité des entreprises de 3 à 9 % et leur rentabilité de 4 à 14 %3



L’activité physique et sportive impacte la performance des entreprises. Elle agit sur l’engagement et la motivation des salariés, réduisant notablement l’absentéisme. En d’autres termes, des salariés en meilleure santé font des entreprises en meilleure forme !

Entreprise Mutualiste à Mission, nous avons fait de la préhension des déterminants de santé l’axe fondamental de notre action pour la santé. Parce que l’activité physique est un déterminant-clé de santé, promouvoir le sport c’est agir directement sur le bien-être physique et mental des collaborateurs. Aider les salariés à bouger davantage doit devenir une ambition collective.

Forte de ses convictions et de son expertise, Harmonie Mutuelle accompagne les entreprises pour leur permettre d’améliorer le bien-être des salariés et leurs conditions de travail et de vie. Nous avons une approche complète de la santé : nous aidons les entreprises à développer la pratique de l’activité physique mais aussi à soulager la charge mentale de leurs salariés.

Découvrez notre offre !


1) Rapport parlementaire, 2019
2) Sondage CNAM, 2021
3) Sondage OpinionWay, 2021


Comment faire cohabiter les différentes générations en entreprise ?

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Mis à jour le 25 septembre 2023


Avec le recul de l’âge de départ à la retraite, ce sont désormais 4 générations qui sont amenées à travailler ensemble au sein des entreprises : les baby-boomers nés entre 1946 et 1965, la génération X entre 1965 et le milieu des années 80, la génération Y entre 1985 et le début des années 2000, et enfin la génération Z qui va jusqu'à 2010. Cette cohabitation intergénérationnelle est un vrai défi pour les dirigeants et les managers. Quel rapport au travail ces différentes générations ont-elles ? Comment faire cohabiter les salariés, quel que soit leur âge ?

Le point avec Jérôme Bouchet, Directeur et consultant senior au sein du cabinet Empreinte Humaine, spécialisé dans la qualité de vie au travail.

Jérôme Bouchet

  • Existe-t-il réellement un conflit intergénérationnel ou toutes les générations cohabitent-elles bien ensemble.

    Jérôme Bouchet : Bien entendu, on ne peut pas nier l’existence dans les organisations d’un certain nombre de conflits entre générations. Mais d’abord, il me semble important de partager avec vous un point de vigilance sur ces différentes générations, X, Y ou Z. En effet, ces différentes catégories ne correspondent à aucune réalité scientifique. On est plus sur un concept de stéréotypes qui nous permet une lecture simplifiée de notre environnement. Donc, restons prudents !


    Quelles sont les sources de conflits entre les générations ?

    JB : De façon très globale, un certain nombre de tensions s'expriment directement au niveau du travail lui-même. Elles concernent les critères de qualité ou les modalités de réalisation du travail, par exemple. Il existe aussi des tensions, de façon indirecte, autour de la conciliation entre vie privée et vie professionnelle.


    On pense que la génération Z va privilégier sa vie personnelle par exemple, ce qui n'est pas le cas pour la génération X ?

    JB : Pour une bonne analyse, Il est intéressant de lire attentivement les résultats du baromètre déployé par le cabinet Empreinte Humaine en février de cette année. Sur l’ensemble des résultats, et si l’on se concentre sur les données concernant les seniors et les jeunes en entreprise, on observe notamment que :

    • 8 salariés sur 10 considèrent que les jeunes sont moins motivés au travail que les autres générations.
    • 8 salariés sur 10 ont vu des personnes de la génération précédente qui ont trop sacrifié leur vie personnelle par rapport au travail.
    • 7 salariés sur 10 estiment que les jeunes générations ont raison de bousculer les normes managériales de l’entreprise.
    • 6 salariés sur 10 estiment que la façon dont sont traités les seniors dans l’entreprise a un impact direct sur la motivation des jeunes générations.

    Concrètement, comment se visualisent ces différences ?

    JB : Les principales caractéristiques associées à la génération X sont le cynisme, l’apathie, la paresse, le manque de confiance dans les valeurs traditionnelles et dans les institutions, le matérialisme… Concernant la génération Y, on a davantage tendance à insister sur les questions d’autonomie et de reconnaissance, sur la valorisation du travail en équipe. Et surtout sur le besoin de réalisation de soi.


    Avec toutes ces différences, comment faire cohabiter toutes les générations sur un même lieu de travail ?

    JB : Il existe un certain nombre de bonnes pratiques, notamment au niveau managérial. Comme, évidemment, le fait de prendre en compte les différences d’attentes, de motivation ou de reconnaissance. Avec aussi la nécessité de privilégier les équipes intergénérationnelles. J’ai évoqué la question des stéréotypes ; le fait de travailler ensemble va permettre de développer le lien social et de dépasser ces préjugés entre générations. Même s’il est impossible d’imposer une culture intergénérationnelle, on peut créer les conditions de sa réalisation via un certain nombre de bonnes pratiques, avec la mise en place d’espaces de collaboration régulée ou de moments de convivialité, tout simplement. L'objectif est de mettre en place les conditions qui vont permettre une co-construction de valeurs communes.


    Quel rôle attendre des managers ? C'est à eux d'impulser cette culture du partage, de faire en sorte que toutes les générations travaillent ensemble…

    JB : De mon point de vue, on ne peut pas imputer cette responsabilité uniquement au niveau du management. Il s’agit plus d’un objectif, d’un mouvement organisationnel global. L’importance est de prendre en compte les différences entre les générations, peu importe la façon dont on les nomme, pour construire une organisation où chaque génération se retrouve. Où chaque génération considère les bénéfices de la collaboration intergénérationnelle.

  • Retrouvez l’ensemble des épisodes du podcast sur toutes vos plateformes préférées. Avec le podcast Inspiration RH, Harmonie Mutuelle vous propose d’aborder de façon très pratique les enjeux de protection et de valorisation du potentiel humain en entreprise

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Cet appel d’offres dédié à la mise en place d’un régime collectif obligatoire de protection sociale complémentaire santé concerne environ 370 000 civils et militaires ressortissants du ministère (sans compter leurs ayants-droits). Ce nouveau régime santé sera appliqué au 1er janvier 2025.

La convention, signée entre les trois partenaires dans le cadre de cet appel d’offres, précise les obligations et le rôle de chacun en matière de couverture des risques santé, de prévention et d’actions sociales à destination des personnels concernés.

Ce groupement entre trois acteurs affinitaires, ayant chacun une connaissance approfondie de la communauté Défense et Sécurité, permet de conjuguer les expertises en assurance individuelle et collective, de disposer d’une surface financière et d’une solvabilité robustes. Partageant des valeurs fortes, ils consacrent chaque année plus de 60 M€ à l’accompagnement social individuel ou collectif.

  

« Ce groupement entre trois mutuelles qui protègent chacune historiquement les personnels civils et militaires du ministère nous permettra de construire une réponse sur mesure pour cette population très spécifique. »

Catherine Grandpierre-Mangin,
Présidente de KLESIA Mut’

  

« Le groupe AGPM se réjouit de la constitution d’un pôle affinitaire qu’il a appelé de ses vœux depuis plusieurs années. La conjugaison des forces de chacun est de nature à offrir un véritable supplément de valeur à nos clients affinitaires. »

Patrice Paulet,
PDG du Groupe AGPM

  

« Harmonie Mutuelle accompagne depuis 1946 les personnels civils du ministère des Armées en matière de prévention, de santé et de prévoyance. Nous protégeons à ce jour plus de 80 000 civils et militaires, et assurons, à l’échelle du Groupe VYV, la gestion du parc de logement du ministère des Armées. Quotidiennement engagés à leurs côtés, c’est tout naturellement que nous avons choisi d’allier nos expertises historiques à celles du Groupe AGPM et de Klésia Mut’ dont nous partageons pleinement les valeurs et la volonté de toujours rester au plus près des besoins spécifiques de ces personnels. »

Thomas Blanchette,
Président de Harmonie Mutuelle

pour répondre à l’appel d’offres de protection sociale complémentaire santé du ministère des Armées. 

La mutuelle AGPM, KLESIA Mut’ (groupe Klesia), et Harmonie Mutuelle (Groupe VYV) mutualisent leurs expertises afin d’apporter une réponse permettant de couvrir l’ensemble des besoins du ministère des Armées, dans le cadre de l’appel d’offres dédié à la Protection Sociale Complémentaire (PSC) des personnels civils et militaires.

Acteur majeur de la protection sociale de la communauté civile de la Défense et spécialiste des régimes collectifs, Harmonie Mutuelle associe son savoir-faire aux compétences historiques du Groupe AGPM en matière de couverture santé et prévoyance des militaires en contrats individuels et à celles du Groupe KLESIA, spécialiste des régimes collectifs de branche et 2e assureur historique de la communauté civile de la défense.

Ce groupement réunit, à ce jour, trois des quatre mutuelles affinitaires historiques du ministère de la Défense. Toutes sont par ailleurs référencées depuis 2010 pour couvrir, en santé et en prévoyance, l’ensemble de ces personnels militaires et civils.

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PME-TPE : prêtes à booster votre politique de rémunération ?

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Mis à jour le 25 octobre 2024




Déjà obligatoire dans les moyennes et grandes entreprises, le partage de la valeur s’étendra à partir du 1er janvier 2024 à toutes les entreprises de plus de 11 salariés. Zoom sur une dynamique positive attendue.

Le 29 juin dernier, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture, avec modifications, le projet de loi qui transpose l'accord national interprofessionnel (ANI) sur le partage de la valeur en entreprise. Cet ANI a été signé le 10 février dernier entre les syndicats et le patronat, alors que l’inflation en France atteignait un pic à 7,3 % !

L'idée de cet accord ? Redonner du pouvoir d’achat aux salariés en les associant davantage aux performances de l’entreprise, notamment dans les TPE et PME.

Le partage de la valeur, quèsaco ?

  • Le partage de valeur consiste à mettre en place un dispositif de participation ou d’intéressement, à abonder un plan d’épargne salariale  ou bien encore à verser une prime de partage de la valeur (PPV). Cette dernière a déjà été adoptée, d’ailleurs, par de nombreuses entreprises après la crise sanitaire. En 2022, par exemple, cette prime d’un montant moyen de 789 euros a bénéficié à 5,5 millions de salariés pour un montant total de près de 4,4 milliards d’euros !

    Selon ce nouveau projet de loi, le partage de la valeur représente ainsi « un facteur essentiel de compétitivité des entreprises, de valorisation du travail, de justice sociale et de cohésion nationale ». Bien sûr, le texte ne manque pas de rappeler le principe de non-substitution : les sommes versées au titre du partage de la valeur ne doivent en aucun cas se substituer aux salaires !

Un enjeu majeur déployé depuis 2019

Ces dernières années, plusieurs lois sont ainsi venues simplifier et renforcer les dispositifs de partage de la valeur à disposition des entreprises. D’abord, la loi PACTE1 de 2019 a rendu la participation obligatoire dans les entreprises de 50 salariés ou plus. Depuis cette loi, il n’y a plus aucune charge sociale sur le versement des primes d’intéressement pour les entreprises de moins de 250 salariés, ni sur l’intéressement et la participation pour les entreprises de moins de 50 salariés.

Ensuite, la loi ASAP2 de 2020 a introduit la possibilité pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, de conclure des accords d’intéressement pour une durée comprise entre un et trois ans. Elle a aussi élargi aux entreprises de moins de 50 salariés la possibilité d’une acceptation unilatérale des accords de branche en matière d’intéressement et de participation.

Une démarche concertée

  • Malgré cela, aujourd’hui encore, seulement 20 % des salariés des PME sont couverts par un accord de participation ou d'intéressement contre 80 % dans les grands groupes ! Dans le contexte actuel de forte tension sur le pouvoir d’achat et de questionnements autour du sens du travail, le Gouvernement et les partenaires sociaux ont donc souhaité aller encore plus loin et favoriser davantage le développement de ces dispositifs dans les TPE et PME. Ainsi, ce nouveau projet de loi étend le partage de la valeur aux petites entreprises de 11 à 49 salariés. A partir du 1er janvier 2024, si ces entreprises sont rentables3, elles devront, à leur tour, mettre en place au moins un dispositif de partage de la valeur.

    À noter : ne sont pas concernées les entreprises déjà couvertes par un dispositif de partage, ni les entreprises individuelles. Cette nouvelle mesure revêt un caractère expérimental pour une durée de cinq ans, à compter de l’entrée en vigueur de la loi. Un bilan et un suivi annuel seront réalisés par le Gouvernement.

De nouveaux leviers pour fidéliser et recruter

  • Simples à mettre en œuvre, l’intéressement, la participation, l’abondement d’un plan d’épargne salariale ou la PVV ont tous déjà fait largement leurs preuves en matière de politique RH! Tous ces dispositifs existent déjà et de nombreux partenaires, comme Harmonie Mutuelle Entreprises, peuvent vous conseiller et vous aider à faire le bon choix, ainsi qu’à définir les meilleures modalités de mise en place, selon vos priorités et vos attentes.

    Ce nouveau projet de loi fait donc figure de bonne nouvelle, il offre aux employeurs des leviers supplémentaires pour redynamiser leur politique salariale, motiver leurs collaborateurs, les fidéliser et attirer de nouveaux talents. Comme l’explique Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, « sans se substituer aux salaires, ces dispositifs permettent aux salariés de mieux se sentir embarqués et impliqués dans la bonne marche de l’entreprise et l’atteinte d’objectifs communs. Ce sont des outils de reconnaissance de l’impact du travail accompli et de motivation pour les salariés. Complétant le salaire de ceux qui en bénéficient, ils améliorent aussi leur pouvoir d’achat. C’est enfin un levier d’attractivité important pour les entreprises ».

  • Découvrez nos solutions d'épargne salariale

     

  • (1) Plan d'Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises.

    (2) Accélération et Simplification de l’Action Publique.

    (3) C'est-à-dire dont le bénéfice net est égal à au moins 1 % du chiffre d'affaires de l'entreprise pendant au moins trois années consécutives.

Le boom de la démarche d’expérience collaborateur

1 minute(s) de lecture
Mis à jour le 25 septembre 2023


66 % des entreprises françaises ont initié une démarche d’expérience collaborateur en 2023, alors qu’elles n’étaient que 25 % en 2019 et 50 % en 2022 ! Ces résultats du 6e baromètre national de l’expérience collaborateur réalisé par Parlons RH1 confirment « la croissance spectaculaire de cette notion ».

Vous avez dit « expérience collaborateur » ?

Selon l’agence conseil experte en marketing RH, éditorial et Social Media, la démarche d’expérience collaborateur est « une démarche de marketing RH qui implique la mesure et l’analyse des feedbacks2 des collaborateurs en vue de définir une offre RH ciblée qui améliore leur expérience au travail ». Auparavant pouvant être perçue « comme une simple option opérationnelle », cette démarche apparaît aujourd’hui de plus en plus comme « stratégique, globale et structurante ». Selon l’agence, la crise sanitaire aurait fonctionné « comme une démonstration publique grandeur nature de l’utilité de l’expérience collaborateur ».

À noter : en 2023, tous les secteurs du privé franchissent la barre des 50 %, à l’exception de l’industrie et de la construction. Et comme les années précédentes, ce sont les services aux entreprises, le secteur informatique, communication, télécommunications et médias, la banque et l’assurance qui affichent les meilleurs résultats dans ce domaine.

Petites et grandes entreprises, toutes concernées !

  • Harmonie Mutuelle Entreprises vous propose la solution Harmonie Potentiel Humain©, un diagnostic scientifique complet pour mesurer et maximiser l’énergie de vos salariés. Identifier les sources d’énergie et, a contrario, d’épuisement chez vos salariés vous permettra d’adapter votre politique RH et sociale par des actions concrètes et ciblées. Pensez-y !

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(1) Auprès de 683 professionnels des RH ou managers, travaillant dans des entreprises de tous secteurs et de toutes tailles, et qui ont répondu à un questionnaire en ligne entre le 5 décembre 2022 et le 16 février 2023.

(2) Retours d’expérience.

  • 3/5
    Cette personne n’a pas laissé de commentaire.
    Entreprise cliente s.
    12 septembre 2023
  • 4/5
    "Tarif sénior pour couple"
    Michele m.
    12 septembre 2023
  • 3/5
    "J’aimerais une garantie qui prend plus en charges les frais sur les lentilles "
    Saliha b.
    12 septembre 2023
  • 3/5
    "Je n’ai pas assez de recul sur la garantie souscrite mais me paraît adapté à mes besoins."
    Mathias o.
    12 septembre 2023
  • 3/5
    "Le prix "
    Avis anonymisé.
    13 septembre 2023
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