Les acteurs de l’ESS réunis pour le Congrès des 10 ans
Pendant 2 jours les professionnels de l’Economie Sociale et Solidaire se retrouvent en congrès pour célébrer les 10 ans de la loi du 31 juillet 2014 qui a constitué le socle de la dynamique ESS.
C’était il y a 10 ans !
Certes, un ministre de l’Economie Sociale avait, pour la première fois, été nommé en 1981, mais ce n’est qu’en 2014 que l’ESS allait bénéficier d’une réelle définition juridique lui permettant d’être enfin reconnue et de se développer. En décembre 2021, le 1er Congrès de l’ESS permettait l’adoption d’une déclaration d’engagement « Pour une République sociale et solidaire », marquant ainsi l’aboutissement du projet de la République de l’ESS qui visait à rassembler l’ESS autour d’un projet politique commun.
10 ans après, quelles sont les ambitions de l’ESS ?
Face à un public de salariés et de bénévoles venant de toutes les familles de l’ESS, les participants se posent trois objectifs :
- Débattre et échanger autour des grands défis qui animent l’ESS,
- Envisager les prochaines étapes du développement de l’ESS à 10 ans et construire des feuilles de route communes,
- Interpeller les pouvoirs publics.
Le Groupe VYV, acteur majeur de l’ESS soutient évidemment cet évènement, et entend au quotidien promouvoir l’ESS, seul modèle capable de concilier solidarité, performance économique et utilité sociale.
Emilie Banny-Ducelier, administratrice référente ESS du Groupe VYV, interviendra le 12 juin à 15H45 dans le cadre de l’atelier « Dans 10 ans… l’ESS permettra à toutes et à tous une protection à la hauteur des enjeux du XXIème siècle ».
Mais l’ambition ultime du congrès est bien de dessiner la stratégie de développement de l’ESS pour les dix ans à venir. Si certaines thématiques semblent d’ores et déjà faire partie du débat, notamment les questions liées à ce que l’on désigne comme « activités essentielles » (sécurité alimentaire, habitat, accès à l’eau et à l’énergie…) afin de les préserver des risques et dérives de la prédation financière, nul doute que d’autres sujets feront l’objet de propositions : la protection sociale, la préservation des espaces naturels et de la biodiversité, la démocratie numérique, l’éducation, la culture…
Évènement d’ampleur, le Congrès permettra aux acteurs de l’ESS et aux citoyens de débattre, de dialoguer, de se rencontrer pour poursuivre les échanges et les travaux qui auront été engagés.
Défricher les pistes pour de futures propositions
Pour amorcer le Congrès, un premier travail a été demandé à l’ensemble des participants : réfléchir à ce que pourraient être les priorités de demain pour les acteurs de l’ESS.
Les entités du Groupe VYV ont déposé leurs copies avec, pour chacune d’entre elles des grands axes qui posent le cadre des développements à venir.
- Pour l’Union mutualiste du groupe (UMG) : repenser le logement en réaffirmant le lien entre santé et climat ; créer un nouveau droit à l’alimentation ; développer une éducation populaire pour une transition écologique juste et enfin, définanciariser le médico-social et le sanitaire pour répondre aux nouveaux enjeux.
- Pour Harmonie Mutuelle: requestionner le sujet des inégalités en santé, avancer sur le lien entre santé et développement durable et bien sûr poursuivre le travail engagé autour des thématiques de santé au travail et de changement climatique.
- Pour MGEN: la prise en charge de la santé des femmes, de la santé mentale et de la santé des personnes en situation de handicap. Plus largement encore, reposer la question de la démocratie en santé.
- Enfin la MNT entend repositionner les enjeux de démocratie en santé au niveau local, améliorer la coopération entre les différents acteurs de l’ESS et les pouvoirs publics, encourager le développement du modèle redistributif porté par l’ESS, intégrer les nouveaux enjeux de santé dans la construction des filières stratégiques de l’ESS (alimentation, réemploi solidaire, mobilités…) et enfin, réfléchir à la création de nouveaux métiers pour couvrir les besoins à venir (mutuelle alimentaire, production de médicaments en SCIC, ressourcerie de matériel médical…)
Toutes ces questions seront intégrées aux débats et débattues afin de constituer, sous la forme d’un manifeste, la feuille de route de l’ESS pour les prochaines années.
Découvrez les contribution de nos différentes entités.
Les résultats de l’enquête flash « Santé mentale dans l’ESS : où en êtes-vous ? »
Près de 3 000 professionnels de l’ESS ont partagé leur ressenti en matière de santé mentale en répondant à l’enquête flash du pôle d’expertise dédié à l’ESS d’Harmonie Mutuelle. Découvrez les résultats de cette enquête et plus encore au travers du replay d’une Agora mutualiste !
Le replay de l’Agora mutualiste « Santé mentale au travail : l'impact (in)visible »
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Santé et Qualité de Vie au Travail :
ayez le réflexe Harmonie Mutuelle ESS
Les résultats du 4e Baromètre national qualité de vie au travail dans l'ESS
Harmonie Mutuelle ESS
Le spécialiste en protection sociale complémentaire exclusivement dédié aux acteurs de l’Économie sociale et solidaire (ESS) qui protège et soutient au quotidien employeurs et salariés dans leurs parcours de vie.
Le sport en entreprise permet aux salariés d’être en meilleure forme et plus productifs. C’est aussi un vecteur de lien social qui permet de développer l’esprit collectif. Et pour l’entreprise, c’est aussi un moyen d’attirer et de fidéliser les talents. C’est du gagnant-gagnant !
nathalie.galaisPourquoi introduire le sport dans son entreprise ?
Stéphane Diagana, double champion du monde d’athlétisme et ambassadeur Sport-Santé Harmonie Mutuelle nous parle de l’importance de l’activité physique pour préserver la santé de ses salariés.
Vous souhaitez en savoir plus sur notre solution Sport en entreprise ?
Découvrez le témoignage de Caroline Iweins, Psychologue du travail et Chargée de cours à l’Université catholique de Louvain, qui explique les recherches scientifiques à l’origine de la solution Harmonie Potentiel Humain©.
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Découvrez le témoignage de Loïc Hénaff, PDG du Groupe Jean Hénaff, qui a décidé de tout mettre en oeuvre pour prévenir l'épuisement professionnel dans son entreprise de l'agro-alimentaire.
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Rémunération du dirigeant : comment profiter au mieux des dispositifs salariés ?
L’attractivité de l’entreprise et la rétention des salariés constituent un défi majeur pour les chefs d’entreprise. Vous devez redoubler d'efforts pour proposer des conditions de travail et des avantages compétitifs, en particulier si vous êtes à la tête d'une TPE / PME.
Cependant, en réalisant cet exercice, vous avez tendance à vous oublier alors que certains dispositifs pourraient vous permettre de véritablement optimiser votre rémunération. Au travers du présent article, nous vous proposons d’explorer les mécanismes de rémunération qui peuvent autant intéresser les salariés que vous-même.
Partage de la valeur : prendre en compte l’intérêt du dirigeant d’entreprise dans le choix du dispositif
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Prime de partage de la valeur : une législation toujours plus favorable aux entreprises de moins de 50 salariés
Le succès de la Prime de Partage de la Valeur (PPV) ne se dément pas depuis août 2022 : les entreprises du secteur privé ont ainsi versé plus de 5,2 milliards d’euros de PPV en 2023, après en avoir versé 4,5 milliards l’année précédente. La moyenne des primes perçues par les salariés s’élevait, quant à elle, à 790 euros au 4ème trimestre 2023, selon les données recensées par l’URSSAF.
Découvrez dans cet article, tout ce qu'il faut savoir lorsqu'on est entrepreneur et dirigeants de TPE au sujet de la prime de partage de la valeur.
16% des salariés présentent des signes avant-coureurs d’un burn-out. Heureusement, des solutions existent pour comprendre et combattre ces situations d’épuisement professionnel qui affectent de plus en plus d’entreprises.
nathalie.galaisTémoignage d'expert sur notre solution Harmonie Potentiel Humain©
Harmonie Potentiel Humain© est un diagnostic scientifique qui permet de mesurer à 360 degrés le niveau de stress et de fatigue des salariés tout en cartographiant les risques d’épuisement pour identifier les leviers d’actions prioritaires à mettre en place. Cécile Goxe, Responsable Marketing pour les entreprises chez Harmonie Mutuelle nous en dit plus sur cet outil.
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6 actifs sur 10 considèrent la prévoyance comme un critère important dans le choix de leur employeur*
Raison de plus pour bien protéger vos salariés en cas d’incapacité, d’invalidité, de décès ou de dépendance, et pour les prémunir contre les aléas de la vie grâce à un contrat de prévoyance collectif ! Chez Harmonie Mutuelle, acteur majeur de la prévoyance, nous vous accompagnons pour mettre en place une couverture prévoyance d’entreprise optimisée. La preuve en chiffres.
L’absentéisme, une réalité qui concerne toutes les entreprises
Pleins feux sur les principaux résultats de notre diagnostic de l’absentéisme réalisé auprès d’entreprises privées. Premier constat partagé : la durée des arrêts de travail a augmenté. Quel que soit le secteur d’activité, les RH des entreprises considèrent que les arrêts longs (de plus de trois mois) ont fortement augmenté depuis la crise du Covid : +26 % dans l’industrie, +23 % dans le commerce et +17 % dans le secteur des services !
Des sources qui varient selon les secteurs d’activité
Bien que l’absentéisme au travail soit une réalité qui concerne toutes les entreprises, les sources de l’absentéisme, elles, varient selon les secteurs d’activité. Dans l’industrie, l’absentéisme semble provoqué en premier par l’usure, la pénibilité physique du travail et les horaires décalés, en second par la charge de travail et, en troisième lieu, par le manque de reconnaissance et l’insatisfaction sur la rémunération.
En revanche, dans les secteurs du commerce et des services, c’est la perte de sens et le désengagement qui arrivent en tête. Dans le commerce, ce premier facteur est suivi par le manque de reconnaissance et l’insatisfaction sur la rémunération, puis par l’usure, la pénibilité et les horaires décalés. Dans le secteur des services, c’est la fatigue psychique d’origine professionnelle et le burn-out qui arrivent en second, suivis par la charge de travail.
L’absentéisme, un enjeu prioritaire de prévention
89% des salariés estiment qu'une entreprise qui propose du sport à ses collaborateurs est une entreprise qui veille à leur bien-être
A l’occasion de la semaine pour la qualité de vie et des conditions de travail, Harmonie Mutuelle et Amaury Sport Organisation (A.S.O) dévoilent les résultats de la 2e édition de leur baromètre consacré au sport en entreprise, réalisé avec l’Institut CSA.
Selon l’étude, alors que près d’un tiers des salariés (31 %) ne pratiquent aucune activité physique, ces derniers manifestent un fort intérêt pour la pratique d’une activité physique dans le cadre professionnel : 58 % des collaborateurs dont l’entreprise ne propose pas d’offre sportive souhaiteraient ainsi qu’elle le fasse et 89 % des salariés sondés estiment qu’une entreprise qui propose des activités sportives à ses collaborateurs est une entreprise qui veille à leur bien-être.
Pour la première fois, le baromètre interroge également les dirigeants sur leur perception du sport en milieu professionnel. Ceux qui l’ont mis en place se réjouissent de son impact positif sur le bien-être au travail des salariés (75 %), sur leur capacité à travailler en équipe (53 %) et même sur l’engagement des salariés (30 %). Toutefois, parmi ceux qui voudraient proposer à leurs salariés une offre de sport, certains rencontrent des difficultés dans la mise en place d’activités sportives, faute de temps, de moyens financiers ou humains.
La sédentarité, une problématique prégnante chez les salariés
Les résultats de ce baromètre dédié au sport en entreprise, réalisé par l’Institut CSA pour Harmonie Mutuelle et A.S.O, révèlent que 31 % des salariés ne pratiquent aucune activité physique : 57 % d’entre eux ne font pas de sport par manque de motivation et près de la moitié par manque de temps.
Une large majorité d’entre eux reconnaît pourtant les bienfaits d’une activité physique régulière sur la santé. Pour 81 % des salariés sondés, le sport permet d’avoir une bonne condition physique et pour 62 % une meilleure santé mentale (un chiffre qui monte à 67 % chez les femmes salariées). Au global, 90 % des sondés pensent que la pratique régulière d’une activité physique permet d’agir sur leur bien-être.
Si nombre de salariés sont insuffisamment actifs, l’essor du télétravail leur a néanmoins permis de mieux organiser leur temps pour faire du sport : 80 % des télétravailleurs indiquent ainsi pratiquer régulièrement une activité physique (contre 69 % pour l’ensemble des salariés). Les salariés soulignent par ailleurs que le télétravail a eu un impact positif sur leur santé physique (73 %) et mentale (82 % de l’ensemble des salariés et 88 % des femmes salariées). Toutefois, ce mode d’organisation du travail a également un impact sur le temps passé assis, et peut accroître le risque de sédentarité : en moyenne, les salariés passent 5h par jour assis et ce chiffre monte à 7h pour 66 % des télétravailleurs.
Catherine Touvrey, directrice générale d’Harmonie Mutuelle : « Prévenir la sédentarité au travail est un enjeu majeur de santé. Les entreprises ont un rôle de premier plan à jouer pour aider leurs salariés à se mettre en mouvement, de manière quotidienne et ce, même à distance. Les résultats de notre étude démontrent d’ailleurs que les salariés attendent de leur employeur qu’il s’empare du sujet. Proposer des activités sportives, régulières ou quotidiennes, sur le lieu de travail ou bien à l’extérieur permet de préserver, dans la durée, la santé et le bien-être de ses collaborateurs. Des salariés en meilleure santé, ce sont des équipes plus engagées, plus soudées et une entreprise globalement plus attractive et performante. Un constat partagé par les dirigeants qui expérimentent déjà le sport en entreprise. En tant qu’entreprise mutualiste à mission, nous accompagnons nos 88 700 entreprises clientes et leurs salariés dans l’amélioration des conditions de travail et de vie. »
Florent Garrigoux, directeur commercial et partenariats adjoint A.S.O. : « Favoriser le développement du sport dans le cadre professionnel est essentiel pour préserver la santé des salariés dans la durée, et lutter contre les conséquences de la sédentarité, à large échelle, même si cela demande un engagement important des dirigeants. Encourager la pratique du sport auprès du grand public et notamment en entreprise est, à ce titre, l’un des axes de notre activité d’organisateur d’événements et de courses. Nous proposons des offres dédiées permettant aux dirigeants, DRH, directions de la communication ou comités d’entreprises de proposer aux salariés de courir sur nos épreuves. Cela donne lieu souvent dans l’entreprise à un mouvement d’engagement positif pour préparer l’épreuve en amont. Une partie de l’inscription est par ailleurs reversée à une association que nous soutenons avec notre partenaire ».
Le sport organisé dans le cadre professionnel plébiscité par les salariés
Les salariés manifestent un très fort intérêt pour la pratique d’activités sportives dans le cadre professionnel et aimeraient que leur entreprise se saisisse du sujet. Ainsi, 58 % des collaborateurs dont l’entreprise ne propose pas d’offre sportive souhaiteraient qu’elle le fasse. Cette part augmente même à 67 % chez les télétravailleurs et chez les salariés qui pratiquent déjà du sport. Par ailleurs, la plupart des salariés sondés se disent prêts à consacrer du temps à la pratique d’une activité sportive organisée ou soutenue par leur entreprise, autant sur leur temps de loisirs (78 %) que sur leur temps de travail (72 %).
Les bienfaits du sport en entreprise sont, d’ailleurs, largement reconnus par les salariés qui le pratiquent déjà. Ainsi, parmi les salariés qui pratiquent une activité sportive dans le cadre de leur entreprise, 94 % soulignent les bienfaits sur leur santé physique et 91 % sur leur santé mentale.
Les collaborateurs sondés dans le cadre de l’étude affirment également que le sport est vecteur d’attractivité et de performance pour l’entreprise. Ainsi, pour 89 % des salariés, une entreprise qui propose du sport à ses salariés est une entreprise qui veille à leur bien-être et qui réduit leur stress (86 % de l’ensemble des salariés et 89 % des femmes salariées) ; c’est aussi une entreprise qui renforce la cohésion entre ses équipes (87 %) et qui lutte contre l’isolement des salariés (83%). Pour 82 %, c’est une entreprise dans laquelle ils ont d’avantage envie de travailler et qui est plus performante (80 %).
Chez les dirigeants, un engouement autour du sport en entreprise mais des freins dans la mise en place des activités
Les dirigeants interrogés se disent intéressés par le sport en entreprise principalement au bénéfice de la santé et du bien-être de leurs salariés. 34 % estiment ainsi que l’instauration d’une offre sport au sein de l’entreprise est indispensable ou prioritaire. Parmi eux, 76 % pensent que cela permet d’améliorer la santé des salariés et 68 % y voient un moyen de renforcer l’esprit d’équipe.
Parmi les dirigeants sondés, 17 % ont déjà mis en place des offres sport à destination de leurs salariés et 97 % d’entre eux déclarent que cette initiative a été accueillie positivement par leurs collaborateurs. Les bénéfices identifiés sont nombreux : 75 % des dirigeants estiment que cela a eu un impact positif sur la santé et le bien-être de leurs salariés, 53 % ont identifié un impact positif sur la capacité des collaborateurs à travailler en équipe, 30 % ont constaté un impact positif sur l’engagement de leurs salariés, 29 % sur la performance de l’entreprise et 12 % ont identifié une baisse de l’absentéisme.
Toutefois, malgré l’engouement des dirigeants pour la pratique du sport en entreprise, 39 % de ceux qui ont pour projet de mettre en place des activités physiques au sein de leur entreprise rencontrent des difficultés. Pour 63 % d’entre eux, il s’agit d’un problème de financement et pour 44 %, les difficultés sont liées à des contraintes d’organisation (manque de temps ou de ressources humaines).
1/ Méthodologie du baromètre : l’étude a été réalisée en ligne, sur la base d’un questionnaire auto-administré, auprès d’un échantillon de 1 303 salariés et 400 dirigeants travaillant dans des entreprises de 50 salariés ou plus, dans le secteur privé. L’échantillon des salariés a été constitué d’après la méthode des quotas sur la base des critères suivants : sexe, âge, profession, taille d’établissement, secteur, UDA 5 (découpage du territoire métropolitain français en 5 régions). L’échantillon des dirigeants a été constitué d’après la méthode des quotas sur les critères suivants : UDA 5, raisonné sur la taille d’établissement (170 pour les étab. de 50-99 sal., 130 pour les 100-249 sal. et 100 pour les 250 sal. et plus), et sur le secteur (minimum 30 dans la Construction).
2/ La sédentarité (ou comportement sédentaire) correspond au temps passé assis ou allongé entre le lever et le coucher. Elle est à distinguer de l’inactivité physique qui se caractérise par un niveau insuffisant d’activité physique régulière de l’individu - Source : HAS – Guide des connaissances sur l’activité physique et la sédentarité
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