Les acteurs de l’ESS réunis pour le Congrès des 10 ans

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Mis à jour le 19 juin 2024


Pendant 2 jours les professionnels de l’Economie Sociale et Solidaire se retrouvent en congrès pour célébrer les 10 ans de la loi du 31 juillet 2014 qui a constitué le socle de la dynamique ESS.

C’était il y a 10 ans !

Certes, un ministre de l’Economie Sociale avait, pour la première fois, été nommé en 1981, mais ce n’est qu’en 2014 que l’ESS allait bénéficier d’une réelle définition juridique lui permettant d’être enfin reconnue et de se développer. En décembre 2021, le 1er Congrès de l’ESS permettait l’adoption d’une déclaration d’engagement « Pour une République sociale et solidaire », marquant ainsi l’aboutissement du projet de la République de l’ESS qui visait à rassembler l’ESS autour d’un projet politique commun.


10 ans après, quelles sont les ambitions de l’ESS ?

Face à un public de salariés et de bénévoles venant de toutes les familles de l’ESS, les participants se posent trois objectifs :

  • Débattre et échanger autour des grands défis qui animent l’ESS,
  • Envisager les prochaines étapes du développement de l’ESS à 10 ans et construire des feuilles de route communes,
  • Interpeller les pouvoirs publics.

Le Groupe VYV, acteur majeur de l’ESS soutient évidemment cet évènement, et entend au quotidien promouvoir l’ESS, seul modèle capable de concilier solidarité, performance économique et utilité sociale.

Emilie Banny-Ducelier, administratrice référente ESS du Groupe VYV, interviendra le 12 juin à 15H45 dans le cadre de l’atelier « Dans 10 ans… l’ESS permettra à toutes et à tous une protection à la hauteur des enjeux du XXIème siècle ».

Mais l’ambition ultime du congrès est bien de dessiner la stratégie de développement de l’ESS pour les dix ans à venir. Si certaines thématiques semblent d’ores et déjà faire partie du débat, notamment les questions liées à ce que l’on désigne comme « activités essentielles » (sécurité alimentaire, habitat, accès à l’eau et à l’énergie…) afin de les préserver des risques et dérives de la prédation financière, nul doute que d’autres sujets feront l’objet de propositions : la protection sociale, la préservation des espaces naturels et de la biodiversité, la démocratie numérique, l’éducation, la culture…

Évènement d’ampleur, le Congrès permettra aux acteurs de l’ESS et aux citoyens de débattre, de dialoguer, de se rencontrer pour poursuivre les échanges et les travaux qui auront été engagés.


Défricher les pistes pour de futures propositions

Pour amorcer le Congrès, un premier travail a été demandé à l’ensemble des participants : réfléchir à ce que pourraient être les priorités de demain pour les acteurs de l’ESS.

Les entités du Groupe VYV ont déposé leurs copies avec, pour chacune d’entre elles des grands axes qui posent le cadre des développements à venir.

  • Pour l’Union mutualiste du groupe (UMG) : repenser le logement en réaffirmant le lien entre santé et climat ; créer un nouveau droit à l’alimentation ; développer une éducation populaire pour une transition écologique juste et enfin, définanciariser le médico-social et le sanitaire pour répondre aux nouveaux enjeux.
  • Pour Harmonie Mutuelle: requestionner le sujet des inégalités en santé, avancer sur le lien entre santé et développement durable et bien sûr poursuivre le travail engagé autour des thématiques de santé au travail et de changement climatique.
  • Pour MGEN: la prise en charge de la santé des femmes, de la santé mentale et de la santé des personnes en situation de handicap. Plus largement encore, reposer la question de la démocratie en santé.
  • Enfin la MNT entend repositionner les enjeux de démocratie en santé au niveau local, améliorer la coopération entre les différents acteurs de l’ESS et les pouvoirs publics, encourager le développement du modèle redistributif porté par l’ESS, intégrer les nouveaux enjeux de santé dans la construction des filières stratégiques de l’ESS (alimentation, réemploi solidaire, mobilités…) et enfin, réfléchir à la création de nouveaux métiers pour couvrir les besoins à venir (mutuelle alimentaire, production de médicaments en SCIC, ressourcerie de matériel médical…)

Toutes ces questions seront intégrées aux débats et débattues afin de constituer, sous la forme d’un manifeste, la feuille de route de l’ESS pour les prochaines années.

Découvrez les contribution de nos différentes entités.

Les résultats de l’enquête flash « Santé mentale dans l’ESS : où en êtes-vous ? »

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Mis à jour le 17 septembre 2024


Près de 3 000 professionnels de l’ESS ont partagé leur ressenti en matière de santé mentale en répondant à l’enquête flash du pôle d’expertise dédié à l’ESS d’Harmonie Mutuelle. Découvrez les résultats de cette enquête et plus encore au travers du replay d’une Agora mutualiste !

Le replay de l’Agora mutualiste « Santé mentale au travail : l'impact (in)visible »

  • Visuel d'une femme se tenant la tête (pour symboliser la surcharge mentale) et discutant avec un personnel de santé pour l'accompagner


    Avec 1 salarié sur 2 qui s'estime en détresse psychologique, la santé mentale au travail constitue un véritable enjeu pour les dirigeants.

    De l’état des lieux en passant par les démarches de prévention, cette agora mutualiste organisée le 18 juin par le pôle d’expertise ESS d’Harmonie Mutuelle et en partenariat avec le média Harmonie Santé, vous permet de bénéficier du décryptage de spécialistes et de conseils pratiques pour prendre en charge l’épuisement professionnel.

  • Avec les interventions de :

    • Jean-Luc Douillard, Psychologue clinicien, Coordinateur de projet en santé mentale, Co-fondateur d'APESA France ;
    • Margaux Gelin, Docteure en psychologie, Responsable du pôle recherche et psychologie chez Moodwork ;
    • Emilie Leclercq, Assistante sociale du travail, Harmonie Mutuelle ;
    • Victoria Leroy, Co-fondatrice, Lead destigmatisation, Association La Maison Perchée ;
    • Olivier Milcamps, Directeur Etudes et Prospective Assurance, Harmonie Mutuelle ;
    • Magali Ollier, Cheffe de projet en Santé au travail, Harmonie Mutuelle ESS.

    Agora animée par Jean Chezaubernard, Rédacteur en chef d'Harmonie Santé.


Partagez !

  • Pour vous permettre de diffuser les résultats de cette enquête et le replay de l’Agora mutualiste du 18 juin auprès de vos collaborateurs, collègues, votre réseau… nous mettons à votre disposition un kit de communication.

  • ❱ Les éléments de langage pour communiquer<
    Télécharger le kit de communication

     

    ❱ Un visuel pour habiller vos communications
    Télécharger le visuel

     

    ❱ Sur les réseaux sociaux
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Santé et Qualité de Vie au Travail :
ayez le réflexe Harmonie Mutuelle ESS

  • Vous avez besoin de conseils pratiques en santé, qualité de vie et conditions de travail adaptés à votre activité ?

    Bénéficiez de notre accompagnement dédié aux métiers de l’économie sociale et solidaire :

    • une gamme de solutions clés en main ou sur-mesure ;
    • des intervenants terrain spécialisés en sciences humaines et sociales ;
    • un soutien de proximité de l’identification de vos besoins jusqu’à la mise en œuvre de vos actions.

  • visuel de la couverture de la brochure santé, qualité de vie et condition au travail, cliquez dessus pour télécharger la brochure au format pdf

Les résultats du 4e Baromètre national qualité de vie au travail dans l'ESS

  • Près de 5 000 salariés et dirigeants de l’économie sociale et solidaire ont participé au 4e baromètre national qualité de vie au travail dans l'ESS, mené par le pôle d'expertise dédié à l'ESS d'Harmonie Mutuelle.
    Avec la conviction qu’agir sur la qualité de vie et les conditions de travail contribue à améliorer efficacement la satisfaction et la performance des salariés, Harmonie Mutuelle ESS a ainsi donné la parole, fin 2022, aux professionnels l’ESS afin qu'ils partagent leur ressenti sur leur qualité de vie au travail et les changements vécus dans leur structure.
    Que nous révèle cette enquête ? Quelles sont les évolutions depuis la précédente édition du baromètre en 2020 ?


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Le spécialiste en protection sociale complémentaire exclusivement dédié aux acteurs de l’Économie sociale et solidaire (ESS) qui protège et soutient au quotidien employeurs et salariés dans leurs parcours de vie.

 

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Le sport en entreprise permet aux salariés d’être en meilleure forme et plus productifs. C’est aussi un vecteur de lien social qui permet de développer l’esprit collectif. Et pour l’entreprise, c’est aussi un moyen d’attirer et de fidéliser les talents. C’est du gagnant-gagnant !

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Pourquoi introduire le sport dans son entreprise ?

Stéphane Diagana, double champion du monde d’athlétisme et ambassadeur Sport-Santé Harmonie Mutuelle nous parle de l’importance de l’activité physique pour préserver la santé de ses salariés. 

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Découvrez le témoignage de Caroline Iweins, Psychologue du travail et Chargée de cours à l’Université catholique de Louvain, qui explique les recherches scientifiques à l’origine de la solution Harmonie Potentiel Humain©.

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Harmonie Potentiel Humain
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Découvrez le témoignage de Loïc Hénaff, PDG du Groupe Jean Hénaff, qui a décidé de tout mettre en oeuvre pour prévenir l'épuisement professionnel dans son entreprise de l'agro-alimentaire.

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Harmonie Potentiel Humain
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Rémunération du dirigeant : comment profiter au mieux des dispositifs salariés ?

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Mis à jour le 20 novembre 2024


L’attractivité de l’entreprise et la rétention des salariés constituent un défi majeur pour les chefs d’entreprise. Vous devez redoubler d'efforts pour proposer des conditions de travail et des avantages compétitifs, en particulier si vous êtes à la tête d'une TPE / PME.

Cependant, en réalisant cet exercice, vous avez tendance à vous oublier alors que certains dispositifs pourraient vous permettre de véritablement optimiser votre rémunération. Au travers du présent article, nous vous proposons d’explorer les mécanismes de rémunération qui peuvent autant intéresser les salariés que vous-même.


Partage de la valeur : prendre en compte l’intérêt du dirigeant d’entreprise dans le choix du dispositif

  • Les dispositifs de partage de la valeur vont devenir obligatoires en 2025 pour toutes les entreprises comptant entre 11 et 50 salariés et ayant réalisé des bénéfices à hauteur d’au moins 1% de leur chiffre d’affaires durant les 3 années précédentes. Celles qui auront atteint ce niveau de résultat entre 2022 et 2024 seront donc concernées.

    Ce partage de la valeur pourra se faire par le biais de plusieurs mécanismes : 

    • la mise en place d’un dispositif de participation volontaire
    • la mise en place d’un dispositif d’intéressement
    • le versement d’une prime de partage de la valeur
    • le versement d’un abondement sur un plan d’épargne salarial

    Analysé sous l’angle uniquement “salarié” certains dispositifs paraissent plus avantageux ou plus simples à mettre en place que d’autres : c’est le cas, par exemple, de la prime de partage de la valeur.

    Cependant, lorsque l’on prend en considération votre intérêt en tant que dirigeant d’entreprise, les conclusions peuvent être différentes. Ainsi, vous ne pourrez pas bénéficier de la prime de partage de la valeur dans la mesure où cette dernière est réservée aux salariés de l’entreprise ainsi qu’aux intérimaires. De facto, cela exclut les mandataires sociaux.

    À l’inverse, d’autres dispositifs peuvent  vous concerner, sous certaines conditions. C’est notamment le cas de la participation volontaire (dans les entreprises de moins de 50 salariés) et de l’accord d’intéressement (dans les entreprises de moins de 250 salariés). Dans ces derniers cas, vous pourriez vous octroyer un complément de rémunération exonérée de cotisations sociales et d’impôt sur le revenu si les sommes issues de ces mécanismes sont placées sur des dispositifs d’épargne salariale.

    Attention : pour pouvoir bénéficier de tels dispositifs, le dirigeant doit être une personne physique et non une personne morale. De plus, votre entreprise doit compter au moins 1 salarié.

    Pour vous convaincre de l’intérêt de recourir à ce mécanisme, nous vous proposons de regarder l’écart que représente une prime d’intéressement tant en termes de coût entreprise, que de pouvoir d’achat vous concernant par rapport à une prime brute (nous avons pris l’exemple d’un dirigeant de SAS dont la rémunération brute est assimilée à du salaire pour le calcul des contributions sociales, d’où l’utilisation des termes “cotisations patronales” et “cotisations salariales”).


Quelles obligations et opportunités pour votre entreprise ? Faites votre simulation en ligne

  • Suite à différentes réglementations, l'épargne collective s'appuie sur de nouveaux leviers pour faciliter le partage de la valeur au sein des entreprises :

    • Répondez à quelques questions en 5 minutes
    • Visualisez immédiatement les obligations et opportunités qui se présentent à votre entreprise
    • Comparez l'efficacité fiscale et sociale des différents mécanismes de partage de la valeur
    • Téléchargez gratuitement votre bilan détaillé
    Aperçu simulateur épargne salariale et retraite
  • Au-delà de l’attractivité fiscale et sociale du dispositif, cela permet également de lier une partie de votre rémunération et de celle de vos salariés aux résultats de l’entreprise. En ce sens, vous vous trouvez liés à vos salariés par un intérêt commun.

    Outre le partage de la valeur, les régimes de prévoyance et frais de santé collectifs peuvent également revêtir un intérêt particulier.


Pourquoi les régimes collectifs de mutuelle et de prévoyance revêtent un intérêt pour le dirigeant d’entreprise ?

  • À la différence de vos salariés, aucun dispositif légal ne vous impose d’adhérer à un contrat de frais de santé (mutuelle) ou de prévoyance.

    Cette adhésion est pourtant fortement recommandée pour prévenir les conséquences potentiellement coûteuses d’un arrêt de travail, d’une invalidité, ou pire, d’un décès.

    Cependant, de telles protections peuvent coûter relativement chères lorsqu’elles sont souscrites à titre individuel. En effet, ces régimes sur-mesure ne bénéficient pas de la tarification appliquée aux régimes collectifs qui profite aux salariés.

    Résultat : le coût de cette adhésion, pour des garanties équivalentes, est bien plus élevé.

Pourquoi une telle différence ?

  • Un rapport de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) de 2022 indique que “les contrats collectifs apparaissent plus avantageux pour les assurés, 86 % de leurs cotisations étant reversées en prestations en 2021 contre 74 % en individuel. Cet écart s’explique principalement par des contrats collectifs déficitaires. Les entreprises qui souscrivent ces contrats collectifs au profit de leurs salariés sont en effet davantage en position de négocier des garanties au meilleur prix que des particuliers dans le cas des contrats individuels. De plus, les charges de gestion sont un peu plus faibles en collectif, en raison d’économies d’échelle”.

    Parfois, le caractère collectif peut être difficile à faire jouer dans les petites entreprises. Il peut alors être opportun de s’affilier auprès d’un organisme qui couvrira l’ensemble d’une branche professionnelle pour mutualiser le risque et réduire les tarifs.

    Mais choisir le même régime frais de santé que ses salariés peut être assez limitant car il ne sera pas possible d’individualiser les garanties.

    Pour parer à cette problématique, il est pertinent de proposer un régime de base commun à tous (salariés et chef d’entreprise) avec une ou plusieurs formule(s) optionnelle(s) permettant d’accroître les garanties et financer uniquement par les salariés ou le chef d’entreprise. Cela pourrait représenter pour vous le meilleur équilibre coût / garanties.

Retraite du chef d’entreprise : comment tirer au mieux parti des dispositifs d’épargne salariale

  • Comme vous avez également le bénéfice de l’intéressement et de la participation volontaire, il est important que vous puissiez placer les sommes issues de ces dispositifs pour bénéficier des exonérations fiscales associées.

    En conséquence, si vous dirigez une entreprise de moins de 250 salariés, vous pourrez bénéficier du plan d’épargne entreprise comme du plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCOL). C’est ce dernier qui est particulièrement avantageux pour préparer votre retraite.

    Par quel biais ?

    Une première manière de profiter de ce dispositif consiste à y placer les sommes issues de la participation volontaire ou de l’intéressement afin de bénéficier des exonérations fiscales associées. Le régime des sommes placées est particulièrement attractif : le coût entreprise sera limité au montant brut versé tandis qu' en tant que chef d’entreprise vous ne supporterez que la CSG/CRDS (équivalant à 9,7% du montant brut de la prime).

    Grâce à ces versements, en tant que dirigeant, vous ne paierez aucun impôt sur le revenu lors de la liquidation, sous forme de capital, du PERCOL (seuls les prélèvements sociaux sur les intérêts des placements seront dus - à hauteur de 17,2%)

    Une seconde manière de préparer votre retraite grâce à ce dispositif consiste à réaliser des versements volontaires (qui peuvent s’élever jusqu’à 25% de la rémunération brute du dirigeant) qui feront l’objet d’une exonération d’impôt à l’entrée sur le plan. Cependant, contrairement aux sommes provenant de l’intéressement et de la participation, elles seront assujetties à l'impôt sur le revenu lors de la liquidation du plan. 

    Cette exonération d’impôt à l’entrée est donc surtout intéressante si vous disposez d’une tranche marginale d’imposition plus élevée durant vos années d’activité qu’au moment de votre retraite.

    À côté des attraits fiscaux, recourir à un PERCOL pour l’épargne retraite a l’avantage de diminuer les frais associés à la gestion du plan. En effet, tout comme pour les contrats collectifs santé, ces plans bénéficient généralement de frais plus bas. En outre, l’entreprise peut prendre à sa charge l’intégralité des frais (à condition de les prendre également en charge pour les salariés). Ces éléments représentent autant d’économie par rapport à un contrat individuel. Il faudra cependant s’assurer que les produits de placement proposés dans le plan sont également intéressants. La vigilance sur ce point s’impose donc lors de la mise en place du plan.

  • En définitive, raisonner uniquement avec des dispositifs individuels et sur-mesure pour votre rémunération n’est pas toujours la formule la plus avantageuse.

    Au contraire, particulièrement  si vous êtes dirigeant d'une TPE ou d'une PME, il est intéressant d’analyser comment associer les intérêts de vos salariés aux vôtres.

    Et pour vous accompagner dans la mise en place de ces dispositifs, nos conseillers Harmonie Mutuelle sont à votre disposition.


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  • Comprendre l’épargne salariale et découvrir tous ses avantages

    Comment développer l'engagement de vos salariés et les associer à la réussite de votre entreprise ? Quels sont les avantages pour les collaborateurs et pour l’entreprise ? N'est-ce pas compliqué à mettre en place et à gérer ?

  • Prime de partage de la valeur : une législation toujours plus favorable aux entreprises de moins de 50 salariés

    Le succès de la Prime de Partage de la Valeur (PPV) ne se dément pas depuis août 2022 : les entreprises du secteur privé ont ainsi versé plus de 5,2 milliards d’euros de PPV en 2023, après en avoir versé 4,5 milliards l’année précédente. La moyenne des primes perçues par les salariés s’élevait, quant à elle, à 790 euros au 4ème trimestre 2023, selon les données recensées par l’URSSAF.

    Découvrez dans cet article, tout ce qu'il faut savoir lorsqu'on est entrepreneur et dirigeants de TPE au sujet de la prime de partage de la valeur.

     

16% des salariés présentent des signes avant-coureurs d’un burn-out. Heureusement, des solutions existent pour comprendre et combattre ces situations d’épuisement professionnel qui affectent de plus en plus d’entreprises.

nathalie.galais Cécile Goxe
Entreprises
Harmonie Potentiel Humain
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Témoignage d'expert sur notre solution Harmonie Potentiel Humain©

Harmonie Potentiel Humain© est un diagnostic scientifique qui permet de mesurer à 360 degrés le niveau de stress et de fatigue des salariés tout en cartographiant les risques d’épuisement pour identifier les leviers d’actions prioritaires à mettre en place. Cécile Goxe, Responsable Marketing pour les entreprises chez Harmonie Mutuelle nous en dit plus sur cet outil.

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Vous souhaitez en savoir plus sur notre solution Harmonie Potentiel Humain© ?

nathalie.galais Cécile Goxe

6 actifs sur 10 considèrent la prévoyance comme un critère important dans le choix de leur employeur*

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Mis à jour le 24 juin 2024


Raison de plus pour bien protéger vos salariés en cas d’incapacité, d’invalidité, de décès ou de dépendance, et pour les prémunir contre les aléas de la vie grâce à un contrat de prévoyance collectif ! Chez Harmonie Mutuelle, acteur majeur de la prévoyance, nous vous accompagnons pour mettre en place une couverture prévoyance d’entreprise optimisée. La preuve en chiffres.

  • 63 %

    des Français jugent leur situation financière "moyenne" ou "fragile".

  • 45 %

    des actifs ne tiendraient pas plus de 3 mois face à une baisse de 30 % de leurs revenus*.


  • 41 %

    des Français seront confrontés au cours de leur vie à l’un de ces 4 risques : incapacité, invalidité, décès ou dépendance*.

  • 11 300

    entreprises du secteur des services sont accompagnées en prévoyance collective par Harmonie Mutuelle.

  • 3 200 

    entreprises du commerce.

  • 3 700

    entreprises de l’industrie.

  • 182 millions

    d'euros d’indemnités journalières versées par Harmonie Mutuelle aux salariés en arrêt de travail en 2023.

  • 43 000

    prestations d’aides à domicile par an sont financées et mises en place par Harmonie Mutuelle pour soutenir ses adhérents dans un moment difficile.

  • Plus de 5 000

    salariés Harmonie Mutuelle sont présents partout en France pour vous accompagner.

L’absentéisme, une réalité qui concerne toutes les entreprises

2 minute(s) de lecture
Mis à jour le 24 juin 2024


Pleins feux sur les principaux résultats de notre diagnostic de l’absentéisme réalisé auprès d’entreprises privées. Premier constat partagé : la durée des arrêts de travail a augmenté. Quel que soit le secteur d’activité, les RH des entreprises considèrent que les arrêts longs (de plus de trois mois) ont fortement augmenté depuis la crise du Covid : +26 % dans l’industrie, +23 % dans le commerce et +17 % dans le secteur des services ! 

Des sources qui varient selon les secteurs d’activité

Bien que l’absentéisme au travail soit une réalité qui concerne toutes les entreprises, les sources de l’absentéisme, elles, varient selon les secteurs d’activité. Dans l’industrie, l’absentéisme semble provoqué en premier par l’usure, la pénibilité physique du travail et les horaires décalés, en second par la charge de travail et, en troisième lieu, par le manque de reconnaissance et l’insatisfaction sur la rémunération.

En revanche, dans les secteurs du commerce et des services, c’est la perte de sens et le désengagement qui arrivent en tête. Dans le commerce, ce premier facteur est suivi par le manque de reconnaissance et l’insatisfaction sur la rémunération, puis par l’usure, la pénibilité et les horaires décalés. Dans le secteur des services, c’est la fatigue psychique d’origine professionnelle et le burn-out qui arrivent en second, suivis par la charge de travail.

L’absentéisme, un enjeu prioritaire de prévention

  • Néanmoins, quelle que soit l’origine d’un arrêt de travail, ses impacts restent les mêmes dans tous les secteurs d’activité : désorganisation des équipes, épuisement des autres salariés, coûts supplémentaires pour l’entreprise et baisse de la productivité.

    C’est pourquoi l'absentéisme au travail représente un enjeu prioritaire de prévention. D’ailleurs, 58 % des entreprises interrogées considèrent que la mise en place d’actions de prévention a un impact bénéfique sur la réduction des arrêts de travail (fréquence, durée) !


    Pour en savoir plus sur l’absentéisme au travail et les solutions d’Harmonie Mutuelle

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89% des salariés estiment qu'une entreprise qui propose du sport à ses collaborateurs est une entreprise qui veille à leur bien-être


A l’occasion de la semaine pour la qualité de vie et des conditions de travail, Harmonie Mutuelle et Amaury Sport Organisation (A.S.O) dévoilent les résultats de la 2e édition de leur baromètre consacré au sport en entreprise, réalisé avec l’Institut CSA. 

Selon l’étude, alors que près d’un tiers des salariés (31 %) ne pratiquent aucune activité physique, ces derniers manifestent un fort intérêt pour la pratique d’une activité physique dans le cadre professionnel : 58 % des collaborateurs dont l’entreprise ne propose pas d’offre sportive souhaiteraient ainsi qu’elle le fasse et 89 % des salariés sondés estiment qu’une entreprise qui propose des activités sportives à ses collaborateurs est une entreprise qui veille à leur bien-être.
Pour la première fois, le baromètre interroge également les dirigeants sur leur perception du sport en milieu professionnel. Ceux qui l’ont mis en place se réjouissent de son impact positif sur le bien-être au travail des salariés (75 %), sur leur capacité à travailler en équipe (53 %) et même sur l’engagement des salariés (30 %). Toutefois, parmi ceux qui voudraient proposer à leurs salariés une offre de sport, certains rencontrent des difficultés dans la mise en place d’activités sportives, faute de temps, de moyens financiers ou humains.

La sédentarité, une problématique prégnante chez les salariés


Les résultats de ce baromètre dédié au sport en entreprise, réalisé par l’Institut CSA pour Harmonie Mutuelle et A.S.O, révèlent que 31 % des salariés ne pratiquent aucune activité physique : 57 % d’entre eux ne font pas de sport par manque de motivation et près de la moitié par manque de temps. 


Une large majorité d’entre eux reconnaît pourtant les bienfaits d’une activité physique régulière sur la santé. Pour 81 % des salariés sondés, le sport permet d’avoir une bonne condition physique et pour 62 % une meilleure santé mentale (un chiffre qui monte à 67 % chez les femmes salariées). Au global, 90 % des sondés pensent que la pratique régulière d’une activité physique permet d’agir sur leur bien-être.


Si nombre de salariés sont insuffisamment actifs, l’essor du télétravail leur a néanmoins permis de mieux organiser leur temps pour faire du sport : 80 % des télétravailleurs indiquent ainsi pratiquer régulièrement une activité physique (contre 69 % pour l’ensemble des salariés). Les salariés soulignent par ailleurs que le télétravail a eu un impact positif sur leur santé physique (73 %) et mentale (82 % de l’ensemble des salariés et 88 % des femmes salariées). Toutefois, ce mode d’organisation du travail a également un impact sur le temps passé assis, et peut accroître le risque de sédentarité  : en moyenne, les salariés passent 5h par jour assis et ce chiffre monte à 7h pour 66 % des télétravailleurs


Catherine Touvrey, directrice générale d’Harmonie Mutuelle : « Prévenir la sédentarité au travail est un enjeu majeur de santé. Les entreprises ont un rôle de premier plan à jouer pour aider leurs salariés à se mettre en mouvement, de manière quotidienne et ce, même à distance. Les résultats de notre étude démontrent d’ailleurs que les salariés attendent de leur employeur qu’il s’empare du sujet. Proposer des activités sportives, régulières ou quotidiennes, sur le lieu de travail ou bien à l’extérieur permet de préserver, dans la durée, la santé et le bien-être de ses collaborateurs. Des salariés en meilleure santé, ce sont des équipes plus engagées, plus soudées et une entreprise globalement plus attractive et performante. Un constat partagé par les dirigeants qui expérimentent déjà le sport en entreprise. En tant qu’entreprise mutualiste à mission, nous accompagnons nos 88 700 entreprises clientes et leurs salariés dans l’amélioration des conditions de travail et de vie. » 


Florent Garrigoux, directeur commercial et partenariats adjoint A.S.O. : « Favoriser le développement du sport dans le cadre professionnel est essentiel pour préserver la santé des salariés dans la durée, et lutter contre les conséquences de la sédentarité, à large échelle, même si cela demande un engagement important des dirigeants. Encourager la pratique du sport auprès du grand public et notamment en entreprise est, à ce titre, l’un des axes de notre activité d’organisateur d’événements et de courses. Nous proposons des offres dédiées permettant aux dirigeants, DRH, directions de la communication ou comités d’entreprises de proposer aux salariés de courir sur nos épreuves. Cela donne lieu souvent dans l’entreprise à un mouvement d’engagement positif pour préparer l’épreuve en amont. Une partie de l’inscription est par ailleurs reversée à une association que nous soutenons avec notre partenaire ».
  

Le sport organisé dans le cadre professionnel plébiscité par les salariés


Les salariés manifestent un très fort intérêt pour la pratique d’activités sportives dans le cadre professionnel et aimeraient que leur entreprise se saisisse du sujet. Ainsi, 58 % des collaborateurs dont l’entreprise ne propose pas d’offre sportive souhaiteraient qu’elle le fasse. Cette part augmente même à 67 % chez les télétravailleurs et chez les salariés qui pratiquent déjà du sport. Par ailleurs, la plupart des salariés sondés se disent prêts à consacrer du temps à la pratique d’une activité sportive organisée ou soutenue par leur entreprise, autant sur leur temps de loisirs (78 %) que sur leur temps de travail (72 %). 
Les bienfaits du sport en entreprise sont, d’ailleurs, largement reconnus par les salariés qui le pratiquent déjà. Ainsi, parmi les salariés qui pratiquent une activité sportive dans le cadre de leur entreprise, 94 % soulignent les bienfaits sur leur santé physique et 91 % sur leur santé mentale. 
Les collaborateurs sondés dans le cadre de l’étude affirment également que le sport est vecteur d’attractivité et de performance pour l’entreprise. Ainsi, pour 89 % des salariés, une entreprise qui propose du sport à ses salariés est une entreprise qui veille à leur bien-être et qui réduit leur stress (86 % de l’ensemble des salariés et 89 % des femmes salariées) ; c’est aussi une entreprise qui renforce la cohésion entre ses équipes (87 %) et qui lutte contre l’isolement des salariés (83%). Pour 82 %, c’est une entreprise dans laquelle ils ont d’avantage envie de travailler et qui est plus performante (80 %). 
 

Chez les dirigeants, un engouement autour du sport en entreprise mais des freins dans la mise en place des activités


Les dirigeants interrogés se disent intéressés par le sport en entreprise principalement au bénéfice de la santé et du bien-être de leurs salariés. 34 % estiment ainsi que l’instauration d’une offre sport au sein de l’entreprise est indispensable ou prioritaire. Parmi eux, 76 % pensent que cela permet d’améliorer la santé des salariés et 68 % y voient un moyen de renforcer l’esprit d’équipe. 


Parmi les dirigeants sondés, 17 % ont déjà mis en place des offres sport à destination de leurs salariés et 97 % d’entre eux déclarent que cette initiative a été accueillie positivement par leurs collaborateurs. Les bénéfices identifiés sont nombreux : 75 % des dirigeants estiment que cela a eu un impact positif sur la santé et le bien-être de leurs salariés, 53 % ont identifié un impact positif sur la capacité des collaborateurs à travailler en équipe, 30 % ont constaté un impact positif sur l’engagement de leurs salariés, 29 % sur la performance de l’entreprise et 12 % ont identifié une baisse de l’absentéisme. 


Toutefois, malgré l’engouement des dirigeants pour la pratique du sport en entreprise, 39 % de ceux qui ont pour projet de mettre en place des activités physiques au sein de leur entreprise rencontrent des difficultés. Pour 63 % d’entre eux, il s’agit d’un problème de financement et pour 44 %, les difficultés sont liées à des contraintes d’organisation (manque de temps ou de ressources humaines). 

1/ Méthodologie du baromètre : l’étude a été réalisée en ligne, sur la base d’un questionnaire auto-administré, auprès d’un échantillon de 1 303 salariés et 400 dirigeants travaillant dans des entreprises de 50 salariés ou plus, dans le secteur privé. L’échantillon des salariés a été constitué d’après la méthode des quotas sur la base des critères suivants : sexe, âge, profession, taille d’établissement, secteur, UDA 5 (découpage du territoire métropolitain français en 5 régions). L’échantillon des dirigeants a été constitué d’après la méthode des quotas sur les critères suivants : UDA 5, raisonné sur la taille d’établissement (170 pour les étab. de 50-99 sal., 130 pour les 100-249 sal. et 100 pour les 250 sal. et plus), et sur le secteur (minimum 30 dans la Construction).

2/ La sédentarité (ou comportement sédentaire) correspond au temps passé assis ou allongé entre le lever et le coucher. Elle est à distinguer de l’inactivité physique qui se caractérise par un niveau insuffisant d’activité physique régulière de l’individu - Source : HAS – Guide des connaissances sur l’activité physique et la sédentarité

 

  


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