Le logement contribuera à la santé du futur !

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Pilier fondamental de la santé, le logement est aujourd’hui un déterminant essentiel de santé globale. Le Groupe Arcade-VYV en a fait l’un de ses combats et allie le meilleur de la maîtrise d’ouvrage immobilière à l’excellence des services de santé du Groupe VYV, pour proposer des logements à l’expérience de vie plus qualitative.

Basés sur un référentiel de 10 engagements socles, et de 30 autres additionnels, ces logements offrent l’assurance de conditions de vie améliorées et créatrices de lien social. Expérimenté en 2020, puis déployé à plus grande échelle depuis 2022, le label « Mon Logement Santé » vient souligner les caractéristiques intrinsèques des programmes immobiliers développés et labellisés par le groupe. Julie Savary, Directrice déléguée à l’habitat au sein du Groupe VYV, revient sur les principales solutions déployées sur l’ensemble du territoire, à chaque moment de vie des résidents, et nous invite à plonger dans l’habitat de demain. Rencontre…

Quels sont les standards mis en œuvre par le Groupe VYV qui rendent votre proposition de valeur unique ?  

Nous avons la conviction profonde que le logement est un vecteur de santé à part entière et que son rôle va prendre de plus en plus d’importance dans les prochaines années.

Cette conviction nous l’avons depuis toujours, mais la période du Covid l’a renforcée. Nous nous sommes collectivement aperçus à quel point le logement pouvait être source de bien-être autant que de mal-être. En réunissant nos experts de la santé et de l’habitat au sein du Groupe VYV, nous avons tout d’abord travaillé sur un certain nombre de sujets standards, au même titre que nos confrères, comme le confort d’usage, l’isolation thermique adaptée aux fortes chaleurs comme aux hivers rigoureux, ou encore la qualité de l’air intérieur.


« Le confort d’été est aujourd’hui un véritable enjeu de santé publique ! » 

Toutefois, en tant qu’acteur de santé, et en lien avec tous les argumentaires précités, nous avons également cherché à aller plus loin pour développer des logements favorables à la santé par le bâti, par les services, et par les liens humains. Sur le bâti, nous proposons des bâtiments favorables à la pratique d’activité physique, par exemple avec des escaliers avenants et lumineux. .

En matière de services, nous mettons à disposition Ecoute Santé, un dispositif d’écoute et de conseil santé qui est accessible 7/7 jours, 24/24 heures pour accueillir les besoins de santé essentiels, 

Sur le volet humain, nous visons à connecter les résidents les uns aux autres et à lutter contre l’isolement. Ainsi nous dédions des espaces aux rencontres et au partage dans nos logement santé, et nous développons des animations pour entretenir le lien social entre les habitants parce que le lien c’est la vie, c’est la santé aussi !


Quelles dynamiques se mettent en place localement grâce au logement santé ?  

L’humain est au centre de tout. Nous cherchons à développer des espaces qui respirent la vie ! Pour vous donner des exemples très concrets, au sein de la résidence Simone Veil à Amfreville-la-Mi-Voie, les résidents ont exprimé un enthousiasme palpable suite aux activités sportives et festives organisées. Des liens intergénérationnels se sont tissés et des solidarités ont émergé autour des petits gestes du quotidien entre voisins.

« Cette promesse de mieux vivre, nous la construisons avec l’ensemble des acteurs locaux. Les logements santé concernent tout autant la résidence que son environnement direct. » 

Notre action ne se limite pas uniquement aux intérieurs, mais englobe aussi les extérieurs de nos résidences et en proximité immédiate. Autant que faire se peut, nous travaillons main dans la main avec les collectivités territoriales puisque nous ne sommes pas les seuls en responsabilité, mais nous sommes portés par une volonté commune d’un mieux vivre ensemble. Nous travaillons par exemple très concrètement sur l’apport de mobilités douces aux abords de nos résidences comme le vélo ou la création de parcours santé.


Les principes du label Mon Logement Santé s’appliquent-ils également aux projets de rénovation ?  

Il y a une réalité plus complexe mais pas impossible. Nous apportons notre expertise sur l’isolation des bâtiments, la végétalisation de manière renouvelée mais aussi et surtout sur l’accompagnement humain.

Nous avons conscience qu’avec le logement nous touchons à l’intime, et qu’un projet de rénovation peut être un moment très important dans la vie des gens. 

Nous commençons donc toujours nos opérations par un diagnostic social. C’est pour nous l’occasion de regarder les marqueurs de santé des habitants et de leur proposer des solutions d’accompagnement personnalisées en tenant compte de leur vie à 360°.

Aujourd’hui nous avons 15 opérations pilotes sur l’ensemble du territoire.

En intégrant les préoccupations de santé dans la conception et la gestion des logements, le Groupe VYV redéfinit ainsi les normes du secteur immobilier en proposant une approche holistique du bien-être domiciliaire. En plaçant l’humain au cœur de ses initiatives, il crée des espaces qui encouragent le lien social, la solidarité intergénérationnelle et l’autonomie des individus. Le label « Mon Logement Santé » façonne quant à lui un avenir où le logement devient véritablement un levier de santé et de qualité de vie pour tous. 


Chiffres Clés 2024 Mon Logement Santé  

  • 2 000 logements neufs labelisés Mon Logement Santé depuis sa création 
  • Diffusion d’Ecoute Santé aux 200 000 ménages logés par le Groupe Arcade VYV (dans les logements neufs et existants) 

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Intéressement et participation : des dispositifs attractifs pour les TPE / PME ?

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Attirer et fidéliser les salariés : voilà un défi auquel toutes les entreprises sont confrontées. Cependant, TPE et PME sont souvent moins bien armées pour faire face à ces enjeux puisqu’elles ne disposent que rarement des compétences d’experts en interne.



Il n’existe cependant pas de fatalité. Pour améliorer leur attractivité, ces entreprises doivent travailler sur leurs conditions de travail, leur image et leur politique salariale. Mais parler salaire, ce n’est pas raisonner uniquement en salaire brut. Bien au contraire ! Plus que jamais, les entreprises se doivent de proposer des dispositifs de partage de la valeur afin d’améliorer la rémunération nette proposée à leurs salariés.

  • De nouvelles contraintes légales vont d’ailleurs s’appliquer en la matière, y compris dans les entreprises de 11 à 50 salariés. En effet, dès 2025, celles qui réaliseront un bénéfice net fiscal d’au moins 1% du CA pendant 3 exercices consécutifs devront soit : 

    Si les entreprises de moins de 11 salariés ne sont pas concernées par cette obligation, elles risquent de subir la concurrence, à l’embauche, d'entreprises à peine plus grandes qui proposeront ces dispositifs. De quoi les inciter, elles aussi, à mettre en place ces outils.

    Alors, qu’il s’agisse de renforcer son attractivité ou de répondre à de nouvelles exigences légales, quels dispositifs de partage de la valeur recommander à vos clients ?

    Pour tâcher d’y voir plus clair, nous proposons dans cet article, une évaluation des avantages et des inconvénients des trois dispositifs suivant : 

    • Prime de partage de la valeur
    • Participation
    • Intéressement

Prime de partage de la valeur : un outil flexible mais avec certaines limites

  • Avantages du dispositif :

    Comme évoqué dans notre édition de mars 2024, la Prime de Partage de la Valeur semble aujourd’hui être le dispositif à privilégier dans les entreprises de moins de 50 salariés, au moins durant les 3 années à venir. En effet, de 2024 à 2026, ce dispositif bénéficie encore d’exonérations totales sur le plan fiscal et social sous réserve de respecter les conditions suivantes : 

    • ne pas dépasser 3000 euros de prime versée (ou 6000 euros si l’entreprise bénéficie également d’un accord d’intéressement)
    • le salarié ne doit pas avoir perçu une rémunération supérieure à 3 fois le montant du SMIC au cours des 12 derniers mois précédant le versement de la PPV
    • le versement de la PPV doit avoir lieu avant le 31 décembre 2026

    Outre ces régimes social et fiscal avantageux, la PPV revêt l’avantage de pouvoir être versée trimestriellement, ce qui est toujours positif pour le pouvoir d’achat des salariés. 

    De plus sa mise en place est relativement simple puisqu’une décision unilatérale de l’employeur suffit et il est possible de moduler le montant versé aux salariés, à condition que cela repose sur des critères objectifs (ancienneté, séniorité…)

    Limites du dispositif

     Si le régime social et fiscal est encore avantageux pour les entreprises de moins de 50 salariés jusqu’à fin 2026, il bénéficiera ensuite des mêmes règles que l’intéressement : 

    • exonération de forfait social pour les entreprises de moins de 250 salariés
    • exonération de cotisations sociales salariales, à l’exception de la CSG/CRDS
    • exonération d’impôt sur le revenu uniquement en cas d’affectation sur un PEE ou un PERCOL

    Le second inconvénient de ce dispositif est qu’il ne peut pas bénéficier de manière avantageuse aux rémunérations supérieures à trois fois le smic / an. La PPV paraîtra donc moins adaptée aux entreprises employant des cadres très qualifiés.

    Le plafonnement du montant versé constitue également une limite du dispositif. Certes, 3000 euros peut sembler important pour certaines structures mais ce point sera à évaluer en fonction du secteur d’activité et de la rémunération moyenne de l’entreprise.

    Enfin, la prime de partage de la valeur revêt une dimension “court-termiste” : l’entreprise verse une prime lorsqu’elle le décide sans prendre d’engagement sur le futur. Si ce point peut être un avantage pour l’entreprise, c’est aussi un facteur d’incertitude pour les salariés qui peut limiter l’attractivité du dispositif. Par ailleurs, le montant des primes de partage de la valeur s’appuie rarement sur des indicateurs économiques détaillés. En ce sens, les salariés ne sont pas toujours en capacité de comprendre le lien entre la performance de l’entreprise et le montant versé. Ils peuvent donc avoir du mal à identifier comment leur action va améliorer le montant de cette prime.

Prime de participation volontaire : un outil plus flexible mais dont les modalités peinent à convaincre

  • La participation est un dispositif obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés dont les modalités de calcul sont définies par les textes. Cependant, elle peut aussi être mise en place dans les entreprises de moins de 50 salariés à titre volontaire. Dans ce cadre, elle bénéficie d’avantages intéressants.

    Avantages du dispositif

    Lorsqu’elle est mise en oeuvre de manière volontaire, la participation bénéficie également de régimes fiscal et social attractifs : 

    • exonération de forfait social
    • exonération de cotisations sociales salariales, à l’exception de la CSG/CRDS
    • exonération d’impôt sur le revenu uniquement en cas d’affectation sur un PEE ou un PERCOL

    Contrairement à la PPV, les sommes pouvant être versées par ce biais sont bien plus importantes puisque le plafond s’élève à 34 776 euros en 2024 (75% du plafond annuel de sécurité sociale)

    De plus, ce dispositif peut également bénéficier au chef d’entreprise dans les entreprises de moins de 50 salariés ce qui peut permettre d’optimiser la rémunération de ce dernier.

    Dernier avantage, et non des moindres : depuis décembre 2023, il est possible, à titre expérimental (et jusqu’en novembre 2028), de prévoir une formule de participation moins favorable que la formule légale. Mais la mise en place du dispositif se heurte aussi à quelques contraintes.

    Limites du dispositif

    La mise en place de la participation volontaire reste tout de même relativement compliquée, notamment pour une petite entreprise. Ainsi, elle peut être mise en place en reprenant le dispositif prévu par la branche professionnelle dont l’entreprise dépend par le biais d’un accord collectif ou d’une décision unilatérale. Mais peu de branches disposent d’un tel accord à ce jour.

    Elle peut également opter pour un accord avec des représentants syndicaux, un accord avec le CSE ou la ratification du projet d’accord à la majorité du personnel.

    Enfin, une décision unilatérale de mise en œuvre est possible en cas d’échec des négociations (seulement si la formule de calcul de la participation n’est pas moins favorable que la formule légale).

    Outre ce formalisme, la formule de calcul peut s’avérer difficile à comprendre pour les salariés et le chef d’entreprise : à l’arrivée, le lien entre performance de l’entreprise et formule de calcul de la participation n’est pas toujours évident à faire.

    Dans ces conditions, il peut-être pertinent d’explorer un autre dispositif.

Intéressement : le dispositif à privilégier ?

  • Avantages du dispositif

    Tout comme la participation mise en place de manière volontaire, l’intéressement bénéficie lui aussi de régimes fiscal et social très attractifs :

    • exonération de forfait social pour les entreprises de moins de 250 salariés
    • exonération de cotisations sociales salariales, à l’exception de la CSG/CRDS
    • exonération d’impôt sur le revenu en cas d’affectation sur un PEE ou un PERCOL

    De la même manière, ce régime est ouvert au chef d’entreprise dans les entreprises de moins de 250 salariés, ce qui permet là aussi d’optimiser la rémunération du dirigeant.

    L’intéressement est également simple à mettre en œuvre dans les entreprises de moins de 50 salariés puisqu’il pourra s’appuyer sur une décision unilatérale de l’employeur, tout comme la prime de partage de la valeur.

    Le plafonnement des sommes qui peuvent être distribuées par ce biais laisse de la marge : le montant global des primes d’intéressement distribuées aux salariés ne doit pas dépasser 20% des salaires bruts versés à l’ensemble des salariés de l’entreprise dans la limite de 75% du plafond annuel de sécurité sociale (soit 34 776 euros en 2024).

    Ces primes d’intéressements peuvent d’ailleurs être versées en plusieurs fois via un système d’avances que la loi du 1er décembre 2023 encadre : ces avances doivent être prévues par un accord d’intéressement et autorisées de manière expresse par leurs bénéficiaires.

    Dernier point intéressant : la détermination du calcul de la formule d’intéressement est à la main de l’entreprise (ou plus largement des négociateurs de l’accord). Ainsi, il est pleinement possible de lier performance de l’entreprise et distribution d’un complément de rémunération. Par ce biais, l’intéressement permet de mieux associer les salariés à la performance économique de l’entreprise.

    Si le choix des indicateurs économiques pertinents pour le calcul de la formule d’intéressement n’est pas toujours aisé pour les chefs d’entreprise, votre aide pourra s’avérer précieuse. 

    Notons enfin qu’il existe une grande souplesse sur la durée d’application de l’intéressement puisque l’entreprise peut opter pour un accord d’une durée d’un à cinq ans.

    Limites du dispositif

    Les contraintes liées à ce dispositif sont en réalité assez minces : nous noterons tout de même que l’intéressement a un caractère aléatoire (c’est même une condition de validité) : ainsi on ne peut savoir de manière exacte la somme que l’on va verser. Néanmoins, comme l’entreprise définit la formule de calcul de l’intéressement, elle sera en mesure de savoir ce qui est soutenable ou non pour ses finances. Il est cependant préférable que l’entreprise s’appuie sur vos conseils dans cette évaluation.

    Notons également que, jusqu’en décembre 2026, les régimes social et fiscal de l’intéressement seront moins intéressants que ceux de la PPV pour les salariés bénéficiaires (dans les entreprises de moins de 50 salariés uniquement). C’est peut-être l’élément majeur qui fera pencher la balance encore quelques années vers la PPV.


  • En complément de ces dispositifs, il sera important de prévoir un plan d’épargne entreprise ou un plan d’épargne pour la retraite collectif pour laisser aux salariés de vos clients la possibilité de placer les sommes versées.

    Si vous avez besoin d’accompagnement dans l’ouverture de ces plans, n’hésitez pas à prendre contact avec nos conseillers Harmonie Mutuelle.


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    Le succès de la Prime de Partage de la Valeur (PPV) ne se dément pas depuis août 2022 : les entreprises du secteur privé ont ainsi versé plus de 5,2 milliards d’euros de PPV en 2023, après en avoir versé 4,5 milliards l’année précédente. La moyenne des primes perçues par les salariés s’élevait, quant à elle, à 790 euros au 4ème trimestre 2023, selon les données recensées par l’URSSAF.

     

  • 5/5
    "Pour l avenir "
    Lionel v.
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    Cette personne n’a pas laissé de commentaire.
    Avis anonymisé.
    16 mai 2024
  • Sport-santé en entreprise : 10 chiffres pour mieux en comprendre les enjeux

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    L’activité physique et sportive ayant été décrétée Grande Cause Nationale 2024, les entreprises sont donc invitées, cette année, à se mobiliser et à inciter leurs salariés à bouger. Avec à l’esprit qu’au-delà de la prévention santé, le sport en entreprise représente aussi un solide outil de management et d’attractivité.

    • 1re cause de mortalité

      Facteur de risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, de dépression et d’anxiété, l’inactivité physique ou la sédentarité serait l’une des premières causes de mortalité dans les pays développés : jusqu’à 5 millions de décès par an pourraient être évités si la population mondiale était plus active, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) !

    • 12 h

      Les jours travaillés, les adultes passent en moyenne 12 heures par jour assis et, les jours non travaillés, 9 heures, selon l’Observatoire national de l’activité physique et la sédentarité (Onadeps). Autre indicateur : 47 % des femmes sont physiquement inactives.


    • 1 adulte sur 4

      manque d’exercice selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui recommande aux adultes de pratiquer entre 2,5 et 5 heures d’activité physique à intensité modérée par semaine.

    • Entre 25 et 40 ans

      Pendant cette période, la pratique sportive est la plus basse par manque de temps, selon un rapport de Santé Publique France paru en octobre 2020.

    • 58 %

      des diabètes de type 2 seraient améliorés grâce au sport. Et 25 % des cancers du sein ou du côlon, ainsi que 30 % des dépressions, seraient également évités grâce au sport.

    • 79 %

      des salariés souhaitent travailler dans une entreprise qui favorise la pratique du sport, selon un sondage CSA réalisé en 2023 pour Harmonie Mutuelle.

    • 75 %

      des salariés interrogés lors de cette étude considèrent que le sport en entreprise améliore leurs performances au travail.

      7 %

      seulement des entreprises incitent leurs employés à pratiquer du sport, selon une enquête Décathlon pro !

    • 87 %

      d’entre eux estiment par ailleurs qu’une entreprise qui s’investit dans la mise en place d’activités sportives est une entreprise qui veille au bien-être de ses équipes.

    • 85 %

      d’entre eux pensent que le sport permet de réduire le stress et 84 %, que le sport permet aussi de renforcer la cohésion d’équipe.

    Partenaire de la Grande Cause Nationale 2024, Harmonie Mutuelle s’engage depuis toujours en faveur du sport-santé, car promouvoir la pratique d’une activité physique et sportive, c’est agir directement sur le bien-être physique et mental des salariés.

    Interventions de coachs sportifs certifiés, conseils pour la création d’une salle de sport, etc. : Harmonie Mutuelle accompagne les entreprises sur mesure dans l’élaboration de leur politique sportive et dans la mise en place d’actions qui contribuent au bien-être et à la santé de leurs salariés. Pour cela, elle s’appuie sur l’expertise de la Fédération Française du Sport en Entreprise et de son large réseau de partenaires – de quoi faire bénéficier aux entreprises de précieux avantages tarifaires.


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    « La France doit s’emparer du sujet de la prévention et du sport santé ! »

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    Michel Cymès, l’un des médecins ORL les plus connus des Français, était en avril dernier sur le plateau de l’émission spéciale « La santé d’abord » , consacrée au futur de notre santé. L’occasion pour lui de revenir sur l’un de ses principaux combats : faire en sorte que le sport santé soit véritablement perçu comme un outil de prévention à part entière.

    Lorsqu’on vous entend évoquer la question du sport santé et des actions qui devraient être menées pour en faire la promotion, on a le sentiment qu’on est assez loin du compte ? C’est une réalité ? 

    Oui… Heureusement que Paris 2024 s’en occupe depuis maintenant 7 ans, avec le Collectif « Pour une France en forme » ! Vous savez, en médecine, il faut faire passer les messages progressivement en espérant qu’un jour ça se concrétise. Pour l’instant on arrive à faire entrer dans les esprits que le sport et l’activité physique sont essentiels et vont permettre de changer la vie des Français, j’espère que dans quelques années on aura des résultats concrets. 

    Reste qu’on fait aujourd’hui plutôt moins bien que les autres ? 

    Une enquête de l’OMS a été menée sur cette question et sur 146 pays étudiés, la France se classe 119° ! Et je me permets de faire remarque que la France n’est pas un pays en voie de développement… Ce résultat est donc une catastrophe ! 

    On a laissé l’agroalimentaire prendre le dessus en nous proposant des aliments ultra transformés, on laisse des enfants sans aucune prévention avec des écrans toute la journée, cela fait maintenant des décennies qu’on n’a pas de véritable politique sportive… Tout cela, on le paye aujourd’hui, même s’il faut se dire que tout n’est pas perdu et que de nombreux acteurs tels que le Groupe VYV se sont emparés de ces sujets. 


    Quelle solution envisagez-vous pour maximiser la prévention ?

    Il faut sensibiliser, continuer à donner de l’information, même si elle est déjà très importante. Et puis répéter, répéter, répéter encore… l’éducation passe par la répétition. Enfin, les médecins traitants doivent être conscients qu’ils jouent un rôle particulièrement important, non seulement dans la détection des maladies, mais de manière plus globale dans le discours à tenir aux patients, dans l’importance qu’il y a pour notre société à lui faire comprendre que chacun doit être acteur de sa santé. Cela veut dire plus de dialogue et plus de temps passé avec le patient pour faire passer le message. Et on voit là la difficulté de l’exercice : plus vous passez de temps avec le patient qui est venu en consultation, plus les personnes qui ont déjà tendance à rester en marge des dispositifs vont avoir du mal à obtenir, elles aussi, une consultation… 

    On en revient à la question, toujours non résolue de l’accès aux soins et aux inégalités sociales qui en découlent. Si votre médecin n’a que dix minutes à vous consacrer, il va se focaliser sur ce qu’il a à traiter à court terme, sur le traitement à donner, et il n’aura bien sûr pas le temps d’engager le dialogue sur la prévention. Si on veut un jour sortir de ce cercle vicieux, il faut que les médecins disposent de plus de temps avec leurs patients et qu’on les décharge de toutes les tâches administratives qui alourdissent leur emploi du temps.

    Revoir l’émission « Ma santé d’abord »


    Des Journées pour une France en forme

    2 minute(s) de lecture
    Mis à jour le

    Jusqu’au 4 juin prochain, plusieurs grandes villes de l’Hexagone accueillent les Journées pour une France en forme, destinées à sensibiliser le grand public aux dangers de la sédentarité et aux bienfaits de l’activité physique et sportive. Tour de piste.

    En juillet 2022, lors du Conseil Olympique et Paralympique, le président de la République a décidé de faire de la promotion de l’activité physique et sportive la Grande Cause Nationale 2024, avec un marqueur simple : encourager chacun à pratiquer 30 minutes d’activité physique par jour (marche à pied, vélo, yoga, danse…).

    Car la lutte contre la sédentarité représente un enjeu majeur de santé publique. En effet, d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les personnes ayant une activité physique insuffisante ont un risque de décès majoré de 20 % à 30 %.

    Créer le déclic et mettre les Français en mouvement

    • C’est pourquoi, dans le cadre de cette Grande Cause Nationale, sont organisées les Journées pour une France en forme, du 10 avril au 4 juin. Cet événement a pour objectifs de sensibiliser le grand public aux dangers de la sédentarité et aux bienfaits de l’activité physique et sportive quotidienne. Ouvertes à tous et gratuites, ces Journées se tiendront dans 15 grandes villes de France, en métropole et en Outre-Mer.

      Au programme :

      • des conférences pour lutter contre la sédentarité et diffuser les bonnes pratiques : destinées en particulier aux acteurs de terrain (professionnels de santé, mouvement sportif et associations, communauté éducative, élus…), elles sont animées par des experts scientifiques, des professionnels de la santé et des acteurs du sport ;
      • des animations ludiques et sportives, notamment proposées par des étudiants en Sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps) ;
      • un village de partenaires pour découvrir les bénéfices d’un exercice physique régulier, ainsi que des offres de services en matière d’activité physique et sportive.

      Harmonie Mutuelle est partenaire de ces Journées qui ont été initiées par le ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, le ministère de la Santé, le collectif Pour une France en Forme, les Agences Régionales de Santé (ARS) et les Délégations Régionales Académiques à la Jeunesse, à l’Engagement et aux Sports (DRAJES).


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