Observatoire Entreprise et Santé : enseignements septembre 2015

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Consciente du rôle à jouer par l'entreprise dans les enjeux de santé, Harmonie Mutuelle et l'institut Viavoice interrogent l'entreprise en tant que lieu et acteur de santé. Nous vous présentons ici les enseignements tirés du recueil de l'opinion des salariés et des dirigeants pour le deuxième semestre 2015. 

Santé en entreprise : nécessaire, sécurisante et obligatoire

L'entreprise est bien un acteur de santé. Pour 80% des salariés et 82% des dirigeants, l'entreprise a un rôle à jouer pour « contribuer à la bonne santé de ses salariés ».

Dirigeants et salariés partagent la même vision de la santé en entreprise. 

Ils la définissent comme :

  • une nécessité (62% des salariés et des dirigeants),
  • une sécurité, c'est-à-dire un investissement pour la bonne marche de l'activité (44% des salariés et 41% des dirigeants)
  • une obligation légale, économique ou éthique (40% des salariés et 36% des dirigeants).

Généralisation de la complémentaire santé : de plus en plus connue et attendue

En vigueur au 1er janvier 2016, la Loi sur la sécurisation de l'emploi bénéficie d'une meilleure visibilité :

  • Pour les salariés : 70% en ont déjà entendu parler (contre 55% en mars dernier)
  • Pour les dirigeants d'entreprises : 93% en ont déjà entendu parler (contre 82% en mars dernier)

L'observatoire montre également que cette loi représente un investissement positif pour la santé

  • pour 57% des salariés,
  • pour 60% des dirigeants.

Un modèle tripartite pour les dispositifs de santé


Dirigeants comme salariés sont en attente d'une plus grande implication mutuelle vis-à-vis des dispositifs de santé. Ils privilégient un modèle tripartite de la santé en entreprise combinant l'action :

  • des services de santé représentants la « légitimité » et le « savoir-faire »,
  • de la direction générale devant favoriser l'« impulsion » et l'« écoute »,
  • des salariés eux-mêmes au nom de la « responsabilisation » et pour une plus grande « implication »


Les autres acteurs (RH, représentants du personnel et CHSCT, managers) sont considérés dans ce modèle comme certes utiles mais plus secondaires.

La santé connectée, un outil attractif de prévention

Les dispositifs e-santé font l'objet d'un fort intérêt de la part des salariés et des dirigeants. Les plus plébiscités sont :

  • les outils de mesure et de recommandations des postures de travail pour 75% des salariés et 54% des dirigeants,
  • les outils de mesure du stress en temps réel pour 73% des salariés,
  • les formations à distance sur la santé et les risques professionnels pour 49% des salariés et 36% des dirigeants

Enfin 45% des salariés seraient intéressés par une application de suivi de sa santé au quotidien sur mobile. Un chiffre qui monte à 60% chez les salariés de demain, les 18-24 ans.

Les chiffres à retenir

  • L'entreprise doit  contribuer à la bonne santé des salariés :

82 % des dirigeants
80 % des salariés le pensent


  • Une perception similaire entre dirigeants et salariés :

62% estiment que la santé en entreprise est une nécessité

Les actions menées pour la santé en entreprise ont un impact :

  • sur l'ambiance de travail pour

82 % des dirigeants
70 % des salariés

  • sur la productivité pour

76 % des dirigeants
71 % des salariés

Observatoire Entreprise et Santé : enseignements 2016

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Consciente du rôle à jouer par l'entreprise dans les enjeux de santé, Harmonie Mutuelle et l'institut Viavoice interrogent l'entreprise en tant que lieu et acteur de santé. Nous vous présentons ici les enseignements tirés du recueil de l'opinion des salariés et des dirigeants pour l'année 2016.

L'entreprise, « acteur » de santé

Un an après la généralisation de la complémentaire santé, l'observatoire montre que l'entreprise en tant qu'acteur de santé est une idée qui progresse :

  • 87 % des salariés (+7% par rapport à 2015) et 90% des dirigeants (+8%) pensent qu'il est du rôle de l'entreprise de contribuer à la bonne santé de ses salariés
  • 78 % des dirigeants (+8%) pensent que « beaucoup » ou « pas mal » d'actions sont menées pour la santé des salariés dans leur entreprise
  • 84 % des dirigeants (+4%) pensent que ces actions sont vraiment importantes pour les salariés
  • 80% des dirigeants (+6%) sont convaincus du bien-fondé des actions menées pour la santé des salariés sur leur motivation et 82% (+6%) sur la productivité de l'entreprise.

Conciliation vie professionnelle/vie personnelle

Un nouvel enjeu pour les entreprises

Concilier vie professionnelle, obligations familiales et bien-être de tous les membres de la famille est un nouveau défi pour les salariés comme pous les entreprises :

  • 90% des salariés considèrent comme un enjeu important au quotidien
  • 75% des salariés et 62% des dirigeants considèrent comme étant du rôle de l'entreprise

Toutefois, les avis entre salariés et dirigeants divergent sur la perception du niveau d'implication actuel des entreprises :

  • 74% des dirigeants considèrent que leur entreprise est impliquée sur ces questions
  • Alors que seuls 39% des salariés pensent que leur entreprise l'est réellement

Les actions à mener

Les salariés se disent principalement préoccupés par des problématiques d'organisation du temps de travail :

  • 65% des salariés relèvent comme difficulté l'inflexibilité des horaires de travail en cas de contraintes familiales
  • 57% citent l'aménagement des horaires et du temps de travail comme la solution la plus attendue
  • 46% attendent une meilleure sensibilisation des managers sur ces problèmes du quotidien.
  • 27 % des salariés (et 51 % des cadres) citent du télétravail comme solution aux problématiques de temps de travail.

Des services dispensés par l'entreprise et favorisant un épanouissement personnel des salariés font aussi partis des attentes révélées par cet observatoire :

  • 31% des salariés se disent intéressés par des solutions de garde d'enfants (ponctuelles ou permanentes)
  • 23 % des plus de 50 ans demandent des formations et ateliers de préparation à la retraite

Ces résultats révèlent un nouvel enjeu de santé et de bien-être au cœur des préoccupations des entreprises. Hier centrées en matière de santé sur la prévention des risques professionnels, les entreprises s'accordent ainsi aujourd'hui à agir plus largement pour aider les collaborateurs à trouver un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle au quotidien.

 

L'entreprise doit avoir pour rôle de contribuer à la bonne santé des salariés

L'entreprise doit contribuer à la bonne santé des salariés :

90 % des dirigeants 
87 % des salariés le pensent


Des avis divergents sur l'implication de l'entreprise :

74 % des dirigeants considèrent que leur entreprise est impliquée
contre 39 % des salariés

La conciliation vie pro/vie perso :

65 % des salariés souhaitent que leur entreprise soit plus flexible sur les horaires de travail
51 % des cadres citent le développement du télétravail comme solution aux problématiques de temps de travail
31 % des salariés souhaite que leur entreprise mettent en place des solutions de garde d'enfants
23 % des seniors demandent des formations et ateliers de préparation à la retraite

Observatoire Entreprise et Santé : enseignements 2017

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Consciente du rôle à jouer par l'entreprise dans les enjeux de santé, Harmonie Mutuelle et l'institut Viavoice interrogent l'entreprise en tant que lieu et acteur de santé. Nous vous présentons ici les enseignements tirés du recueil de l'opinion des salariés et des dirigeants pour l'année 2017.

Une prise de conscience des enjeux de santé dans l'entreprise


L'Observatoire Entreprise et Santé Viavoice-Harmonie Mutuelle confirme une prise de conscience des enjeux de santé de plus en plus forte dans l'entreprise avec une progression cette année de 7% et 17 % depuis 2015.

Ainsi, 85% des dirigeants interrogés déclarent que des actions de santé sont menées dans leur entreprise au bénéfice des salariés, un chiffre en hausse de 17 points depuis 2015.

Cette progression s'explique par :

  • L'idée croissante selon laquelle la bonne santé des salariés participe à l'activité économique : 76% des dirigeants pensent que les actions de santé ont un impact sur la situation économique de l'entreprise (+ 8 points depuis 2014) ;
     
  • Le sentiment que les actions de santé et de bien-être à destination des salariés fidélisent les salariés en améliorant l'ambiance de travail pour 82% des dirigeants (+6% depuis 2014) et l'attachement à l'entreprise pour 78% des dirigeants (+7% depuis 2014) ;
  • La santé en entreprise a également progressé grâce à l'Accord National Interprofessionnel. 56% des dirigeants estiment que « l'ANI a  amélioré la prise de conscience des entreprises sur l'importance des enjeux de santé ».

Droit à la déconnexion et burn-out

En parallèle, des enjeux émergents complexes apparaissent dans le monde du travail comme le droit à la déconnexion ou la prévention au risque de burn-out. Les mesures préconisées pour y remédier font débat.

La déconnexion au travail

  • 56% des salariés et 45% des dirigeants pensent qu'il faudrait « interdire totalement » l'envoi d'emails professionnels en dehors des heures de travail,
  • 77% des salariés et 83% des dirigeants privilégient une approche plus souple qui garantirait au salarié le droit de ne pas les consulter.

La France compte environ 2,3 millions de travailleurs indépendants, également préoccupés par les enjeux de santé au travail. Selon l'Observatoire Entreprise et Santé 64% d'entre eux déclarent faire attention à l'impact de leur travail sur leur santé.

Face à cette forte préoccupation, les travailleurs indépendants ne disposent cependant pas des mêmes avantages que les salariés en entreprise :

  • pour 73% d'entre eux, leur statut ne leur permet pas de bénéficier d'une bonne protection sociale
  • pour 66% d'entre eux d'être bien remboursé.

C'est pourquoi, les entrepreneurs et professionnels souhaitent la simplification des cotisations sociales ou encore l'extension du droit aux allocations chômages en cas de cessation d'activité.

  • 90% des travailleurs indépendants déclarent que leur statut leur permet une plus grande autonomie et un plus grand épanouissement au travail.

Observatoire Entreprise et Santé : enseignements 2018

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Consciente du rôle à jouer par l'entreprise dans les enjeux de santé, Harmonie Mutuelle et l'institut Viavoice interrogent l'entreprise en tant que lieu et acteur de santé. Nous vous présentons ici les enseignements tirés du recueil de l'opinion des salariés et des dirigeants pour l'année 2018.

La reconnaissance, pilier du bien-être au travail

Les composantes du bien-être au travail sont diverses, et comprennent à la fois des éléments liés aux conditions de travail, à son organisation, au stress mais aussi aux risques psycho-sociaux.


Parmi tous les indicateurs utilisés, la reconnaissance au travail ressort particulièrement en 2018. Elle prend largement le pas devant le sens que l'on reconnaît à son travail ou la perception de son utilité.


Selon l'étude, la reconnaissance au travail passe entre autres par la qualité des relations humaines et le salaire. Par ailleurs, l'enjeu de la reconnaissance est davantage lié à la reconnaissance des compétences.

  • 52% des salariés pensent que leurs compétences ne sont pas assez reconnues par leurs managers et collègues,
  • 67% des salariés jugent leur travail utile pour la société française (vs 86% des dirigeants et 70% des indépendants).

Cet observatoire met également en évidence la perception par les salariés d'une dégradation globale du bien-être au travail. Un faible nombre de personnes interrogées considère que le bien-être au travail s'est amélioré, seulement 18% des salariés, 10% des indépendants et 35% des dirigeants.

Le bien-être au travail à l'épreuve des mutations technologiques

Pour 61% des salariés et 69% des dirigeants, les nouvelles technologies ont accéléré le rythme de travail. Mais 58% des salariés, 80% des dirigeants et 66% des travailleurs indépendants estiment que les technologies ont facilité leur travail au quotidien.

Par ailleurs, l'étude révèle qu'il existe un aspect paradoxal des nouvelles technologies : pour aussi bénéfiques qu'elles soient, les technologies ne peuvent pas être la solution unique du bien-être au travail. Cette « 3e révolution industrielle » amène des inquiétudes liées aux modifications des métiers et des organisations.

Une culture d'entreprise à repenser

L'enjeu pour les dirigeants est donc d'accompagner cette transformation et valoriser les nouvelles compétences, d'abord par:

  • la formation (plébiscitée à 75% par les dirigeants)
  • le renforcement du dialogue social
  • en donnant une place prépondérante au bien-être au travail.

Ce dernier doit être élément de réassurance dans un univers en mouvement permanent. Comment donc remettre plus d'humain en entreprise face à toutes ces évolutions technologiques et changements de métiers ?

Votre emploi

Décrocher son premier emploi, changer d'orientation ou être en quête d'une opportunité sont des moments importants de vos vies professionnelle et personnelle et peuvent parfois être éprouvants. Harmonie Mutuelle s'engage a toujours mieux vous accompagner et vous proposer des solutions sécurisant vos revenus et maintenant votre pouvoir d'achat.

Découvrez les moments de vie lié à l'emploi

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L’édition 2021 revient au Bassin de La Villette, dans Paris, après l’édition 2020 exceptionnellement organisée à Pantin et propose six épreuves pour tous les niveaux : le 10 km, la distance olympique, qui fait son retour, 5 km, 2 km et 2 km palmes, et 1 km auquel s’ajoute un combiné (5+2 km) et un relais par équipe de 4 x 500 m.

A quelques jours des Jeux de Tokyo, nul doute que le 10 km, distance pratiquée par les plus grands champions lors des Jeux, attirera des adeptes des longues distances. Il démarrera de Bondy au niveau du pont de la Forêt avec une arrivée bassin de la Villette.


Le 5 km s’élancera de la Place de la Pointe à Pantin, au niveau des magasins généraux. Il comprendra une boucle de 1 km dans le Bassin de Pantin et une autre dans le Bassin de la Villette.
Les épreuves des 1 et 2 km se dérouleront entièrement dans le Bassin de la Villette, déjà connu des habitués sur les précédentes éditions.


Le relai 4X500 mètres permettra de répondre à l’enjeu des organisateurs de rendre la pratique de la nage en eau libre accessible au plus grand nombre.


Après 6 ans, l’Open Swim Stars innove encore avec une épreuve virtuelle organisée en parallèle sur les réseaux sociaux afin d’annoncer l’arrivée de l’application Open Swim, disponible gratuitement dès cet été sur IOS et Android. Cette app dédiée à la natation et conçue par des champions, des coachs et des utilisateurs, répondra aux besoins de ceux qui souhaitent être accompagnés dans leur entraînement, ou leur remise en forme, quel que soit leur niveau !

Enfin !

« Beaucoup de Français ayant été privés de sport depuis plus d’un an et n’ayant pas eu accès aux piscines, l’événement revêt un sens particulier cette année », déclare le double médaillé olympique et organisateur Stephan Caron. « Partout dans le monde, les gens se sont réappropriés les espaces naturels pour s’évader, faire leur sport ou tout simplement respirer. La nage eau libre a ainsi attiré de plus en plus d’adeptes, notamment en France. Avec encore de nouvelles formes qui apparaissent, comme la natation en eau froide ou glacée, le swim trekking… Nos événements prônent à juste titre les bienfaits du sport pour la santé, et de la natation en tout premier lieu, dont les études sont nombreuses à démontrer les bienfaits pour booster santé physique et mentale.... Nous sommes heureux d’attirer aussi bien les déjà adeptes à venir pratiquer la nage eau libre que ceux pour lesquels c’est une façon sécurisée de tester l’eau libre, et nous leur proposons ainsi plusieurs distances, accessibles à chaque niveau, ou des relais en équipe. »

Créés en 2012, afin de faire revivre l’épreuve mythique de « La traversée de Paris à la nage », les Open Swim Stars Harmonie Mutuelle sont l’initiative d’anciens champions de natation désireux de partager leur passion et de remettre à l’honneur la nage en eau libre au coeur des villes. Au-delà de la volonté de séduire de nouveaux pratiquants de tous âges et tous niveaux, l’objectif est multiple : faire découvrir un sport bénéfique pour la santé au plus grand nombre, développer la natation pour tous, ou sensibiliser les participants à la préservation de la ressource en eau et de l’environnement pour un sport durable.

Paris sera, cette année, la deuxième étape du circuit 2021, après Dunkerque et suivi par 10 autres villes. « Nous sommes heureux de proposer 12 destinations, dont 5 nouvelles, dans des environnements aussi divers qu’océan, mers, lacs, bassins, canaux, fleuves ou rivières, précise Stephan Caron. Naturellement, Paris reste notre étape-phare et pouvoir retrouver le Bassin de la Villette, mais aussi la Seine Saint-Denis avec les départs de Pantin et Bondy, est une bonne nouvelle. Paris attire chaque année de nombreux participants. Malgré la crise sanitaire que nous avons su très bien gérer dès l’an dernier avec des mesures par la suite mises en place sur d’autres événements, nous espérons compter sur de nombreux participants et le soutien de la presse. Avec des jauges encore limitées cette année, il faudra s’inscrire vite !».

Yannick Agnel sera à nouveau un parrain très attendu de l’édition parisienne, et Théo Curin, le nageur paralympique co-parrain, en pleine préparation de sa traversée du Lac Titicaca participera à l’une des épreuves. Les Open Swim Stars Harmonie Mutuelle s’associent une nouvelle fois à La Water Family, association qui agit pour sensibiliser et éduquer le grand public, les générations futures et les acteurs professionnels à la protection de l’eau et de leur santé (1 € est reversé à l’association sur chaque inscription). De plus, une collecte de déchets sera organisée dans et autour du bassin de la Villette le samedi, en collaboration avec l’antenne parisienne de Surfrider Foundation. Enfin, les nageurs du 1 km s’élanceront le dimanche au profit d’Imagine for Margo, association qui lutte contre le cancer des enfants

Informations pratiques

Samedi 12 juin :


• 17h00 : départ du 10 km à Bondy
• 18h00 : départ du Relais dans le bassin de la Villette
• 18h15 : départ du 5 km à Pantin
• 20h00 : remise des récompenses des 10km
• 20h30 : remise des récompenses des 5km


Dimanche 13 juin :


• 8h45 : départ du 2km palmes
• 10h15 : départ du 1km
• 10h15 : remise des récompenses des 2km palmes
• 10h30 : départ du 2 km 1e vague
• 11h00 : remise des récompenses du 1 km
• 12h30 : départ du 2 km 2e vague et combiné
• 13h15 : remise des récompenses du 2 km et du combiné


Inscriptions : http://www.openswimstars.com
Tarifs : 22 € pour 1 km, 28 € pour 2 km et 2km palmes, 40 € pour 5 km, 66 € pour 10km, 55 € pour combiné, 60 € pour le relais (15€ par personne)

L’Open Swim Stars de Paris en chiffres

2e, Paris sera la deuxième étape du circuit sur les 12 programmées en 2021
7 ans d’Open Swim Stars en France depuis 2015
12, le nombre d’étapes en 2021
34 %, la part de femmes participant aux événements
39 ans, l’âge moyen des participants
9 ans, l’âge du plus jeune participant en 2019
80 ans, celui du participant le plus âgé en 2019

Tout savoir sur les Open Swim Stars Harmonie Mutuelle

Pour qui ?
Ils s’adressent aussi bien aux nageurs non-licenciés qu’aux licenciés des Fédérations Françaises de Natation, Triathlon, Handisport Natation, Sauvetage et Secourisme, ou Etudes et Sports Sous-Marins. Chacun peut donc s’y inscrire, quel que soit son niveau de pratique.


Où et quelles épreuves ?
• 5 juin : Dunkerque – Port de Plaisance / Quai de Hull • 12 et 13 juin : Paris – Bassin de la Villette / Canal de l’Ourcq • 26 juin : Agde – Centre-ville / Plage du Grau d’Agde • 3 juillet : Gérardmer – Lac • 10 juillet : Le Havre – Bassin du Commerce • 17 et 18 juillet : La Baule – Plage au niveau de l’avenue Lajarrige • 24 juillet : Douarnenez - Plage des Sables Blancs à Tréboul • 1er août : Nyon (Suisse) - Plage des 3 jetées - Lac Léman • 29 août : Lyon - Berges du Rhône • 5 septembre : Toulouse – Berges de la Garonne / Place de la Daurade • 12 septembre : Strasbourg – Rivière Ill Centre-Ville / Parlement Européen • 18 septembre : Laval – Rivière Mayenne / place Boston

Après une édition exceptionnellement organisée en 2020 dans le Bassin de Pantin, l’Open Swim Stars Harmonie Mutuelle Paris retrouvera, pour le plus grand plaisir des nageurs après ces longs mois de privation, sa place dans le Bassin de la Villette et le Canal de l’Ourcq pour sa 7e édition. Cet évènement organisé à Paris le week-end des 12 et 13 juin est l’étape-phare du premier circuit de natation eau libre en France. Six épreuves sont prévues cette année : la distance olympique du 10 km qui fait son retour, le 5 km, le 2 km palmes, le 2km, le 1km et le combiné ainsi que la possibilité de faire un relais en équipe. Les participants auront la chance d’être accueillis par le double champion olympique Yannick Agnel parrain de cette étape parisienne.


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Avec un potentiel de création de valeur, estimé à près de 20 milliards d’euros annuels (source Institut Montaigne), le marché français de la santé numérique est en pleine croissance, accéléré par la crise sanitaire liée à la Covid-19, mais également par l’évolution du nombre de patients atteints de maladies chroniques et des besoins des soignants. Il reste toutefois très fragmenté.

La mise en place, sous l’égide de Bpifrance, d’un dispositif visant à accélérer le déploiement de solutions de santé numériques innovantes, marque la volonté des acteurs du secteur de développer un écosystème solide et ambitieux.

Ce dispositif s’appuie sur un continuum d’actions de financement et d’accompagnement des jeunes pousses du secteur : le doublement de la capacité d’investissement du fonds Patient Autonome, pivot du dispositif, avec l’arrivée de trois nouveaux souscripteurs, la création d’une communauté associant donneurs d’ordre et start-up et d’un incubateur national d’entrepreneurs.

« L’arrivée des nouveaux souscripteurs, acteurs clés du marché de la santé numérique, valide le modèle du fonds Patient Autonome et marque une nouvelle étape du dispositif dédié au changement d’échelle des start-up du secteur. La combinaison inédite d’un apport en capital suffisant et d’un accompagnement adapté aux besoins spécifiques des entrepreneurs accélère l'émergence de sociétés innovantes capables de se transformer en licorne. »

Paul-François Fournier,
Directeur exécutif en charge de l’Innovation de Bpifrance

Le fonds Patient Autonome, lancé en 2018, investit dans des sociétés de santé digitale en phase d’amorçage et série A, qui développe des solutions et produits innovants, répondant ainsi aux enjeux de santé publique. Il s’intéresse aux nouveaux usages à forte valeur médicale qui vont révolutionner la médecine. Ses investissements sont compris entre 500 000 et 3 millions d’euros, en primo-investissement, avec un maximum cumulé de 8 millions d’euros par société. Le portefeuille du fonds Patient Autonome est constitué à ce jour de six participations : Incepto Medical, Invivox, Mila, Nouveal Lucine et Willo (ex-Prodontis).

Avec l’appui de la Banque des Territoires, d’Harmonie Mutuelle et du Groupe Vivalto Santé, qui partagent la volonté de participer à la transformation du système de santé vers des solutions de santé numérique, Bpifrance voit la taille de son fonds, Patient Autonome, doubler, pour atteindre 100 millions d’euros. Fort de cette nouvelle dotation, Bpifrance prévoit d’investir dans 12 nouvelles sociétés.

« Avec cet investissement, qui s’inscrit dans le cadre du plan de relance de la Caisse des Dépôts, la Banque des Territoires renforce son soutien au développement et au déploiement de solutions numériques de santé qui permettront à tous les Français du territoire, même les plus isolés, d’avoir accès à des soins. Avec le Fonds Patient Autonome, la Banque des Territoires souhaite participer à la fédération et à l’ancrage territorial de l’ensemble des acteurs, publics et privés, de l’écosystème de la santé numérique, en faveur de territoires plus inclusifs et plus connectés. »

Antoine Troesch,
Directeur des investissements de la Banque des Territoires

« L'innovation technologique au service du patient est notre priorité. De nouveaux modes de collaboration sont essentiels pour renouveler notre offre. Souscrire dans le Fonds Patient Autonome est un vecteur d'accélération de notre stratégie d'innovation en santé. C'est la raison pour laquelle nous avons décidé de rejoindre Bpifrance dans cette opération, après deux ans d’un partenariat fructueux. » 

Catherine Touvrey,
Directrice générale de Harmonie Mutuelle

« Groupe privé d’établissements de Santé engagé dans une démarche d’Entreprise à mission, nous sommes ravis de travailler « main dans la main » avec Bpifrance, acteur du financement des sociétés innovantes, pour cibler et pérenniser les solutions numériques en Santé répondant aux réels besoins du terrain dont nous avons une parfaite connaissance. Le partenariat que nous signons aujourd’hui avec Bpifrance confirme et renforce cet engagement au-delà même de notre implication dans le dispositif et de notre souscription dans le fonds Patient Autonome. »

Daniel Caille,
Président directeur général du Groupe Vivalto Santé

Six mois après le lancement du dispositif visant à accélérer le changement d’échelle des start-up en santé numérique et contribuer à la transformation du système de santé français, Bpifrance annonce le doublement de la taille de son fonds Patient Autonome, qui atteint 100 millions d’euros grâce à la Banque des Territoires, Harmonie Mutuelle et le Groupe Vivalto Santé.

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Kurma Partners, acteur de référence du capital-risque européen dans le domaine des Sciences de la Vie basé à Paris et à Munich, annonce aujourd'hui le premier closing de Kurma Diagnostics 2 (KDx2), son deuxième fonds dédié aux technologies du diagnostic moléculaire et numérique, à 50 M€. Ce remier closing affiche un montant supérieur à celui récolté par le premier millésime, Kurma Diagnostics, qui avait réuni 35 M€ en 2015. KDx2 bénéficie du soutien d’investisseurs de premier plan, incluant les actionnaires historiques de Kurma Partners tels que le Fonds européen d’investissement (FEI), le Fonds national d’amorçage 2 (FNA 2), géré par Bpifrance pour le compte de l’Etat dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (PIA), BNP Paribas, mais également de nouveaux investisseurs comme le Groupe VYV, premier acteur mutualiste de santé et de protection sociale en France et Bedex & Associés, un investisseur privé.


Fort de l’expérience acquise par Kurma Diagnostics ayant permis la création ou le financement de plusieurs sociétés prestigieuses du diagnostic moléculaire1 et numérique2, Kurma Partners entend financer, via KDx2, le développement d’une quinzaine de sociétés innovantes dans ces domaines très porteurs.

1 DNA Script (Série B à hauteur de 81 M€), Stilla Technologies (Série B à hauteur de 20 M€)
2 Cardiologs (Série A à hauteur de 12,7 M€), Feetme (Série A à hauteur de 9,4 M€)

Avec le premier closing de ce nouveau fonds, le cinquième de son portefeuille dédié au financement de l’innovation en Sciences de la Vie, Kurma Partners se positionne désormais comme la seule société de gestion européenne à se consacrer entièrement au développement de nouvelles innovations associant les technologies moléculaires et numériques au diagnostic médical.

« Nous sommes ravis d’annoncer aujourd’hui le premier closing de notre fonds KDx2, qui témoigne une nouvelle fois de la pertinence de notre modèle unique de financement de l’innovation, qui fait intervenir très en amont notre réseau de partenaires experts de l’industrie pharmaceutique et de la recherche académique, » commente Alain HorvaisDirecteur associé de Kurma Partners. «Ce financement témoigne par ailleurs du franc succès de la franchise Kurma Diagnostics auprès des investisseurs institutionnels et du fort intérêt que suscitent aujourd’hui les technologies de diagnostic et les innovations numériques en santé, un secteur particulièrement prometteur que nous entendons soutenir dans son développement grâce à ce deuxième fonds. »

« Outil essentiel dans la prise en charge des maladies graves et le suivi de pathologies chroniques, le diagnostic se tourne désormais de plus en plus vers les technologies numériques, telles que l’intelligence artificielle ou les objets diagnostiques intelligents et connectés, pour développer des solutions innovantes capables d’améliorer le diagnostic précoce et le suivi des patients en dehors des établissements de soins. Ces innovations ouvrent le champ d’une médecine adaptée et personnalisée. Nous sommes convaincus que cette convergence des technologies moléculaires et numériques fournira au diagnostic médical des avancées concrètes pour répondre aux défis de santé publique dont la COVID-19 a rappelé le rôle stratégique, » poursuit Philippe Peltier, Directeur associé de Kurma Partners.

« Cet investissement aux cotés des équipes de Kurma Partners s’inscrit parfaitement dans notre volonté de participer à l’émergence de la médecine de demain, en finançant notamment le développement de nouveaux outils de diagnostic pour répondre aux besoins médicaux non satisfaits. L’un des rôles du Fonds européen d’investissement est aussi de favoriser l’émergence de fonds paneuropéens dédiés à la santé, » commente Alain Godard, Directeur Général du Fonds européen d’investissement.

Nous sommes persuadés que la médecine ne pourra pas poursuivre son développement sans que le diagnostic n’évolue en parallèle. L’approche unique de Kurma Partners dans ce domaine, à laquelle nous avions déjà fait confiance lors du lancement du fonds KDx, nous offre ainsi une véritable opportunité d’avoir un impact sur le développement de cette nouvelle génération d’outils numériques de diagnostic, » précise Myriam BequeDirectrice Innovation et New Business chez BNP Paribas en France.

« Acteur de santé, nous sommes persuadés que l’innovation médicale permettra demain des apports plus personnalisés et un mieux vivre à nos adhérents. En investissant aux côtés des équipes de Kurma Partners, nous participons à l’évolution du diagnostic médical. Plus largement, nous nous inscrivons dans l’écosystème santé-techno avec nos investissements dans le logiciel santé, la digital health ou la santé globale à travers 3/4 différents fonds. Notre particularité avec VYV et VYv3 (1200 réalisations de soins et de santé) permettra d’expérimenter dans nos établissements et dans notre offre de services les solutions de Kurma. » conclut Catherine Touvrey, Directrice Générale d’Harmonie Mutuelle et Directrice assurance et protection financière du groupe VYV.

  • Kurma Diagnostics, le seul fonds d’investissement dédié au financement des innovations dans le diagnostic médical en Europe
  • KDx2 aura pour objectif le financement et le développement d’une quinzaine de sociétés de Deeptech spécialisées dans le développement d’outils de diagnostic moléculaire de pointe, de dispositifs diagnostiques intelligents et connectés ou d’innovations utilisant l’Intelligence Artificielle
  • Un premier closing à 50 M€ significativement supérieur au montant final de 35 M€ réuni par KDx en 2015
  • Validation et reconnaissance du modèle de financement des innovations thérapeutiques, diagnostiques et numériques
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  • Piloter la prévention

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    Priorité aux professionnels de santé pour donner la bonne information

    Face à la profusion d’informations et la difficulté à les hiérarchiser, les Français se déclarent à 61% confiants quant aux informations diffusées, mais jugent prudent de ne pas mettre toutes les sources d’information sur le même plan, notamment quand elles touchent aux problématiques de santé. C’est ainsi qu’ils sont 92 % à faire avant tout confiance à leur médecin sur ces questions, un chiffre à peine supérieur aux 84% recueillis par les pharmaciens et les établissements de santé... suivis d’assez près par les mutuelles (67%)

    « Notre société est en quête de confiance. Les citoyens sont aujourd’hui noyés par l’information mais ils ont besoin d’une boussole leur permettant de s’orienter dans ce flot continu pour aller chercher la bonne information. C’est particulièrement vrai en matière de santé où les fausses nouvelles suscitent inquiétude et crise de confiance dans la médecine. Notre mutuelle a un rôle dans l’accompagnement de ses adhérents notamment pour les orienter vers des tiers de confiance sur ces sujets. » 

    Catherine Touvrey,
    Directrice Générale d’Harmonie Mutuelle

    La conscience du danger potentiel que représentent les fake news en matière de santé est largement partagée : une fausse information sur une thématique de santé peut conduire à des conduites inappropriées (abandon de traitements, refus de vaccinations, utilisation de substances dangereuses ou incompatibles avec les traitements).

    L’information de proximité l’emporte sur les médias traditionnels

    En matière de « réassurance », les Français jouent la carte de la compétence avec les professionnels de santé, mais aussi celle de la proximité. Ils sont ainsi 68% à accorder leur confiance au premier cercle constitué de la famille, des amis et des collègues de travail, au détriment des médias traditionnels et des organismes institutionnels.

    « Les circonstances entourant le COVID-19 (Coronavirus) rendent les résultats de l’étude Viavoice pour Essentiel Santé particulièrement intéressants à analyser. L’étude et le dossier publié dans Essentiel Santé Magazine rendent ainsi compte d’un véritable sentiment de « vulnérabilité » des Français à l’égard des questions liées à leur santé, un domaine particulièrement touché selon eux par ce phénomène des fake news. Deux chiffres sont à ce titre marquant : 37 % des Français affirment avoir déjà été confrontés à des « fake news » dans le domaine de la santé et, parmi eux, plus d’un tiers ont agi en conséquence. » 

    François Miquet-Marty,
    Président de Viavoice

    Dans ce contexte, on ne s’étonnera pas de voir figurer les sites internet, les forums, les blogs et les réseaux sociaux en queue de peloton de la confiance accordée, confirmant ainsi le rôle supposé des médias numériques dans la diffusion des fake news.

    Méthodologie

    Etude réalisée du 15 au 19 novembre 2019 en ligne auprès d’un échantillon de 1 000 Français, représentatifs de la population française âgée de plus de 18 ans. Représentativité par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : sexe, âge, profession de l’interviewé, région et catégorie d’agglomération.

    Essentiel Santé Magazine fait une large place à cette étude dans son numéro de mars. Vous pourrez par ailleurs trouver des articles complémentaires sur son site internet : https://www.essentiel-sante-magazine.fr

    Retrouvez l’étude complète ici

    44 % des Français déclarent avoir déjà été confrontés à des fake news et la moitié d’entre eux avoue y avoir accordé du crédit. Avec la montée en puissance de l’information digitale et des réseaux sociaux, la tendance s’accentue et la sphère de la santé est bien évidemment de plus en plus concernée. Le magazine Essentiel Santé Magazine du groupe Harmonie Mutuelle, a demandé à l’institut Viavoice, de faire l’état des lieux de ce phénomène de société.

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